C’était il y a 20 ans !


Mark Zuckerberg fonde  » Facebook  »( Dont j’ai horreurlol )

Le 4 février 2004, sur le campus de Harvard (Massachusetts), les étudiants découvrent un système internet  baptisé  » The Facebook  » ( » Le Trombinoscope  » ) qui a vocation à permettre les échanges virtuels entre ses abonnés. 1200 étudiants s’inscrivent dans la journée sur le site.

 Cette initiative est le prolongement d’un projet de l’étudiant Mark Zuckerberg…… 

Mark Zuckerberg

….. apparu en octobre 2003 sous le nom de  » Facemash’‘ : deux photos aléatoires d’étudiant(e)s étaient présentées aux internautes et ceux-ci étaient invités à les juger  » hot  » ou  » not  » ! Un scandale s’ensuit ( ? ) et le site est fermé au bout de quelques jours. Mark Zuckerberg se rapproche alors d’un autre étudiant, Aaron Greenspan…… 

Aaron Greenspan

….qui est à l’origine d’un outil virtuel baptisé  » The Face Book  » et déjà utilisé par 7 000 étudiants. Mark Zuckerberg lance son propre site et dépose en janvier 2004 le nom de domaine  » thefacebook.com  ».

  Très vite, ce premier réseau virtuel (à vrai dire très peu  » social ‘‘) va s’étendre à l’ensemble des écoles du pays puis à la planète. En 2020, Facebook compte 3 milliards d’abonnés et génère grâce à la publicité un chiffre d’affaires de 86 milliards de dollars, ce qui fait de son fondateur Mark Zuckerberg, encore détenteur de 60% du capital, l’un des hommes les plus riches et surtout les plus influents du monde. Il n’a pas de scrupule à pervertir la jeunesse du monde entier dans le seul objectif d’engranger un maximum de profit, ainsi que l’a dévoilé la lanceuse d’alerte Frances Haugen

Frances Haugen

en octobre 2021 devant le Congrès américain.

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 Mr Mark Zuckerberg….Qui est un multi-milliardaire américain …..âgé de 28ans!!!!! (Né en 1984)

Ce jeune homme ,fils d’un père dentiste et d’une mère psychiatre…Il fait ses étude à Harward  en psychologie mais surtout en informatique  qui le passionne au point de « pirater  » le réseau de l’université collectant ainsi toutes les informations concernant les étudiants et crée un réseau où peuvent se connecter tous les étudiants de l’université…..qui sont très heureux de pouvoir utiliser ce moyen de communiquer,partager ….Ce réseau c’est …….Facebook. Facebook dont le réseau s’étend bientôt aux autres universités U.S  ….Puis ….nous connaissons la suite..

Il a tout de même eu ,je crois quelques problèmes avec la concurrence car il tentait de financer en partie son entreprise via des publicités sur facebook …..Il est amusant de noter que Bill Gates ,il y a 5 ou 6 ans ,via Microsoft ,lui apporta des fonds en achetant des parts (1,5/2 % )de facebook…

Avec un chiffre d’affaire d’au moins 150 million de dollars , M.Zuckerberg  devient le milliardaire le plus jeune du monde….

Sans grand intérêt….


D’où vient le signe @ ?

  La lettre @, (si on peut appeler ça une lettre), était utilisée au moyen âge par les moines copistes comme abréviation du son « ad ». Ils ont donc fusionné le « a » et le « d » pour donner une lettre dans ce style:

Puis, au fil du temps la barre du « d » a été enlevée pour donner @.

  Aujourd’hui, on dit « arobase » car, lorsque l’imprimante a été inventée, les caractères d’imprimerie étaient placés de sorte que les minuscules se trouvaient en haut du tableau et les majuscules et caractères spéciaux en bas. L’arobase se trouvait donc en bas du tableau et, pour se retrouver, les imprimeurs appelaient cette lettre:  »a-rond-bas  ». Car elle se trouvait en bas du tableau et il y avait un rond autours du « a ». Au fil du temps, cette appellation s’est transformée pour devenir Arobase.

 » fake news » ????


Fake news : les meilleures astuces pour distinguer le vrai du faux…..

Une information en ligne interpelle ? Vigilance, vous êtes peut-être confronté à une fake news ! Si la diffusion de fausses informations n’a rien de nouveau, le phénomène a pris une ampleur inédite avec l’essor d’Internet et des réseaux sociaux. D’où vient leur incroyable succès, comment démêler le vrai du faux ?

Kylian Mbappé ……

….. aurait-il une dent contre le Japon ? Dans une interview sur YouTube, le célèbre footballeur a cette étrange réponse quand on l’interroge sur le foot japonais : « Cela ne m’intéresse pas ! » Visionnée 12 millions de fois, la vidéo a fait un énorme  » buzz » . Sauf qu’il s’agit d’un grossier montage mélangeant des images de 2021 à un commentaire enregistré bien après. L’exemple rappelle combien ces informations mensongères , ou « infox », peuvent avoir une dimension politique forte sous leur air innocent : cet entretien bidonné visait en réalité à attiser la rivalité entre la Corée du Sud et le Japon, dont les relations sont tendues depuis 1953.

Fake news

Entré dans le langage courant en 2016, lors de la campagne de D. Trump .…..

 ….. pour la présidence américaine et celle pour le  » Brexit  », au Royaume-Uni, le terme de « fake news  » couvre un large éventail de pratiques : Depuis le régime miracle vanté par tel charlatan jusqu’à l’opération de déstabilisation orchestrée par des États comme la Russie ou la Chine visant à orienter un vote ou à affaiblir des échanges économiques. Parfois aussi, il s’agit de « rumeurs spontanées qui naissent d’incompréhensions et ne sont pas malveillantes »,(selon Florian Dauphin, sociologue à l’université de Picardie, spécialiste de la désinformation sur Internet ). Exemple : cette photo de  l’incendie de Notre- Dame de Paris ….

….où la présence d’une silhouette sur le toit de l’édifice (en réalité une statue) avait nourri la thèse d’un attentat. « La désinformation en ligne repose sur trois types de motivations : l’idéologie, l’argent et l’erreur. »

Se méfier des informations virales:

En instillant le  » poison du doute  », les fake news creusent des clivages profonds au sein de la société. Dans cette opération de sape, l’arrivée des réseaux sociaux  a été décisive. « Les fausses nouvelles ont toujours existé, rappelle l’historien David Colon

David Colon ?

(spécialiste de la propagande). Ce qui a changé, c’est la possibilité de les diffuser à grande échelle et de façon ciblée. » Désormais, en quelques clics, chacun peut fabriquer ou relayer de l’infox, partageable instantanément par des millions d’internautes. Ainsi, aux États-Unis, 12 personnes seulement seraient responsables de 73 % des fausses informations ‘‘antivax’, a établi l’ONG . « À la différence de la rumeur classique transmise par le bouche-à-oreille, qui mettait des mois à circuler, les techniques numériques ont un effet immédiat de démultiplication et de caisse de résonance, confirme Florian Dauphin ( ?), pour qui « la forme la plus aboutie de la désinformation est le  » complotisme ». » Un mouvement qui est à la fois cause et conséquence d’une perte de confiance généralisée envers la parole des experts et les médias traditionnels, supplantés peu à peu par les réseaux sociaux. Alors qu’elles n’étaient pas conçues au départ pour ce rôle, les plateformes telles Facebook ou TikTok deviennent aux yeux de leurs utilisateurs des sources d’information à part entière. En 2022, 73 % des 16-30 ans s’informaient sur un réseau social quotidiennement .

Se méfier aussi des  »chatons  »

L’historien David Colon

…….s’inquiète, lui, d’une automatisation accrue de la propagation des infox. L’utilisation de robots, ou « botnets », pour fabriquer de faux comptes ou de faux articles se traduit par une « nuée de désinformation », dit-il. Et celle-ci est de plus en plus pernicieuse, notamment sur l’appli chinoise TikTok, « l’outil le plus addictif de l’histoire des technologies ». « Au bout de quarante secondes, l’utilisateur entre en contact avec de la fake news. C’est une technique vieille comme la propagande : pour être efficace, la désinformation doit être accompagnée d’un contenu divertissant : On poste d’abord des photos de chatons, et ensuite on glisse de l’infox. »

Selon l’historien, les régimes autoritaires sont engagés dans une « entreprise systématique de destruction du socle de nos sociétés occidentales, dont la désinformation est le vecteur essentiel ». La Russie,

…. surtout, passée « maître dans l’art de diffuser des informations visant les personnalités fragiles ». « Durant les semaines qui ont suivi l’invasion de l’Ukraine , les comptes russes ont basculé de la diffusion massive d’info antivaccins à de la désinformation sur le climat, si bien que le nombre de  » climatosceptiques » en France a augmenté de huit points depuis février 2022 pour atteindre 43 % (Ipsos) ; rien d’autre ne peut expliquer une telle progression. Il faut se préparer à un univers informationnel où le faux aura supplanté le vrai, en quantité comme en crédibilité. » (Inquiétant ).

Les géants du Net tentent de faire le ménage

Longtemps, les  »mastodontes » du Web ont jugé qu’ils n’avaient pas à contrôler les vidéos et les articles qu’ils hébergeaient. « Au nom de la liberté d’expression, ils estimaient n’être que des canaux, non-responsables de ce que les gens y faisaient circuler ». Puis sont survenues la crise du Covid-19 et l’élection américaine de 2020, avec leur lot d’infox sur les vaccins ou sur la victoire prétendument truquée de Joe Biden  . « Leur position étant devenue intenable, ils ont dû fermer des milliers de comptes », reprend Jonathan Parienté. La clôture de 70 000 profils liés à » la mouvance complotiste QAnon » ( ?)par Twitter a réduit de 73 % le nombre de fake news sur le réseau. Déjà, en 2017, Facebook avait suspendu 30 000 faux comptes suspectés d’influencer l’élection présidentielle française. « Le problème, selon les journalistes, c’est que ces personnes n’ont pas pour autant disparu. Elles se retrouvent sur la messagerie Telegram ou sur des micro réseaux sociaux plus confidentiels, tels Odysee ou Truth Social. »

La censure par les géants du Net provoque donc cet effet pervers : l’apparition de nouvelles plateformes à vocation complotiste, qui sont « des univers totalement clos ». « Les gens s’enferment de plus en plus, avec l’impossibilité de se confronter à des idées différentes des leurs. »

Lutter contre les tours joués par notre cerveau

Autres processus qui augmentent les capacités de persuasion des fake news : les  » biais cognitif « , des mécanismes de pensée qui altèrent notre jugement. Par exemple, le phénomène dit « d’influence persistante » : un faux récit initial, dès lors qu’il est cohérent, continuera de nous influencer même s’il est contredit par des données ultérieures plus fiables. Ou encore la « vérité illusoire » (plus une info est répétée, plus elle est considérée comme crédible) et la « dissonance cognitive » (on évite de s’exposer à des arguments qui nous contrarient), deux tendances qui peuvent nous conduire à ne retenir que les faits qui confortent nos idées et à occulter les autres.

Alors se met en place un « effet puzzle », soit l’excitation ressentie quand des éléments épars s’imbriquent entre eux pour révéler ce que l’on croit être une vérité cachée. Autant d’effets entretenus et amplifiés par les « algorithmes de ciblage » qui permettent aux sites Internet d’ajuster les contenus fournis à chaque internaute selon ses habitudes de recherche.! Résultat : les croyances auxquelles chacun est déjà sensible en seront renforcées.

Gare aux émotions !

De même serons nous tentés de juger le bien-fondé d’un propos moins en fonction de sa vraisemblance que du statut de la personne qui s’exprime (« argument d’autorité« ) ou de la qualité de son argumentation (« paresse cognitive« ). Or, comme le souligne Samuel Buisseret dans son livre  »Arrêtez de croire n’importe quoi !  «  une affirmation convaincante n’est pas forcément fiable ou vraie ». Ce complotiste repenti dénonce certaines rhétoriques fallacieuses, telles que l’appel à la tradition, au bon sens ou à la nature (« comme le faisaient nos grands-mères », « neuf parents sur dix l’utilisent », « un produit 100% naturel »). Des arguments qui ne sont pour lui que des « opinions » et non des garanties de véracité. L’amanite phalloïde , par exemple, est un « laxatif naturel » : faut-il pour autant préférer ce champignon toxique à un médicament de pharmacie ? Surtout, l’auteur rappelle le rôle des émotions  dans la circulation des fausses nouvelles : « Plus une hypothèse provoque en vous une émotion forte et plus vous aurez tendance à la considérer comme vraie. » Une peur trop intense va éclipser de notre raisonnement tout ce que cette idée pourrait avoir d’irrationnel. D’où le conseil de Julie Charpentrat, journaliste à l’Agence France Presse (AFP) : « Si vous êtes scandalisé par une info, amusé, attristé, sous le coup de la colère, ne partagez pas automatiquement ! Faites une pause, rebranchez votre cerveau ( lol), et demandez-vous si la chose est plausible.« 

Vérifier, vérifier et revérifier les informations

Un petit tour sur les sites de  »fact-checking  », comme les  » Décodeurs du Monde  » ou » AFP Factuel », sera également utile. Adossées aux grands médias, ces cellules de journalistes spécialisés dans la vérification des faits se sont multipliées après 2008, d’abord pour corriger les erreurs dans la parole politique. Puis elles ont élargi leur action à l’ensemble des infos trouvées sur le Net. Leur efficacité ? « Impossible à évaluer de façon scientifique tant la quantité de désinformation est massive, multiple et protéiforme, admet Julie Charpentrat, qui codirige le service de  » fact-checking  » à l’AFP. Si on compare la campagne présidentielle de 2022 à celle de 2017, on note toutefois une plus grande vigilance dans la prise de parole des politiques. On a moins entendu de choses carrément fausses. Nous voulons occuper le terrain, ne pas laisser le champ libre à un flot d’intox qui pourrait être sans limite. »

À la rédaction du  » Monde », on admet que le format a souffert de son côté professoral. Néanmoins, Jonathan Parienté insiste : « Nous ne sommes pas là pour convaincre, mais pour décrypter des éléments complexes de l’actualité. Par exemple, on va lire le rapport du Conseil d’orientation des retraites en détail pour le lecteur et le lui expliquer. Et on va aussi démonter des infos dangereuses comme celle sur le citron congelé qui serait prétendument un anticancer : beaucoup de malades ont arrêté leur chimio en croyant cela… et en sont morts. »

La propagation d’informations bidons peut coûter cher. En effet, la loi de 1881 sur la liberté de la presse punit de 45 000 euros d’amende toute « publication, diffusion ou reproduction de nouvelles fausses », « faite de mauvaise foi », et qui aura « troublé la paix publique ou aura été susceptible de la troubler ». Un texte renforcé en 2018 par la loi sur la manipulation de l’information, dite « loi fake news« , qui crée un « devoir de coopération » des plateformes dans la lutte contre les infox. Mais certains craignent que ces mesures deviennent une entrave à la liberté d’expression. Plus inquiétant : des États se saisissent du prétexte des fake news pour interdire des journaux ou des chaînes de télévision. Ce fut le cas dans douze pays lors de la pandémie de Covid-19, indique l’ONG Human Rights Watch. « On assiste à une panique morale autour de la désinformation, déplore le sociologue Florian Dauphin. Le complotisme devient un anathème lancé pour disqualifier n’importe quel individu dès qu’il émet un doute sur un sujet de société. Bien sûr que les fake news existent, mais enfermer tout le monde dans le même sac en les traitant de crédules, cela pose problème en démocratie. »

Éduquer plutôt que réprimer

La parade ? Beaucoup pensent que la solution réside moins dans l’interdiction que dans l’éducation aux médias. Surtout quand on connaît la propension des plus jeunes à céder aux sirènes des ragots en ligne : dans une étude de l’université de Cambridge (Royaume-Uni) mesurant la vulnérabilité aux fake news, 36 % des 11-29 ans ont obtenu une mauvaise note (moins de 10/20) contre 9 % des plus de 65 ans. Suite aux attentats de 2015, l’éducation aux médias est devenue une vraie préoccupation au sein de l’institution scolaire. De plus en plus de professeurs ou documentalistes assurent des formations en classe, où l’on discute des faits avec les élèves, afin de mieux comprendre l’information en ligne et identifier les sources.

En mars dernier, l’Éducation nationale a fixé l’objectif que tous les collégiens bénéficient d’au moins une action par an en matière d’éducation aux médias et à l’information, à travers notamment des rencontres avec des journalistes ou la création de web-radios (363 sont nées dans les collèges en 2022). Dans un monde où les enfants se retrouvent de plus en plus tôt devant les écrans , le ministère a fait le choix de renforcer ces pratiques dès le primaire, en développant un réseau de référents au sein de chaque académie. (Enfin un barrage efficace pour endiguer le flot grandissant des infox ) ?

Ce qu’il faut retenir

Si certaines infox relèvent de la bonne foi, d’autres sont créées et diffusées par des gouvernements, des partis politiques ou des conspirationnistes dans des buts politiques.

Les fausses informations sont favorisées par la puissance des réseaux sociaux. L’utilisation de robots pour fabriquer de faux comptes ou des articles bidons va accroître le phénomène.

Nos émotions et nos biais cognitifs nous desservent dans l’analyse d’une information. Il existe de nombreux sites de  » fact-checking » pour en vérifier l’authenticité.

Les fakes news qui font l’actu:

13 juin 2023 : la France annonce avoir déjoué une vaste campagne de désinformation russe, appelée « Doppelgänger ». Elle consistait en une diffusion massive de faux articles hostiles à l’Ukraine, imitant les maquettes de journaux français.

18 juin 2023 : le maire de Bordeaux, Pierre Hurmic, crée un tollé en Turquie : un tweet à 5 millions de vues lui prête des propos imaginaires dans lesquels il aurait dénigré le raki,( l’alcool national turc ).

La fin ????


J’ai régulièrement des  » notes  » de Word Press prévenant que ce blog va être  » inutilisable  » ( car pas payé ) …là la  » note  » dit :  »fralurcy.blog expires in less than 7 days!  » Dans 7 jours ..? Alors, j’espère que cet  » avertissement  » n’est pas valable pour mon autre blog sinon ..???

Bien sur , çà n’intéresse pas mes rares lecteurs , mais …..il y a tout de même quelques visiteurs assez fidèles alors , autant les avertir …

KLIK

Mise au point…..


….Pour ce qui est de mes blogs  :Résultat d’images pour illustration écran pc

1) Encore quelques temps et je les arrête , pourquoi quelques temps ? Parce que  j’ai payé un abonnement , et n’ai pas les moyens de  » jeter l’argent par les fenêtre  »

2) Pourquoi les arrêter ? Parce qu’ils n’intéressent pratiquement plus personne…( Pratiquement plus de commentaire ) et si je passe sur un blog que j’apprécie pour mettre un mot , souvent je récolte une remarque disons  » négative  »

3) En attendant la fermeture , je mettrais certainement encore quelques billets , mais après les avoir  » mis  » , si pas de commentaire intéressant dans les 5 jours suivant la publication , je bloquerais les commentaires …..

4) Possible que je reprenne mon blog sur Facebook ( c’est gratuit et certain(e )s ami(e)s qui passaient sur mes espaces , que j’apprécie  y sont ) ….

5 ) Avant de fermer , si je mets un billet , j’ajoute mon adresse mail = fralurcy.marin@gmail.com , comme çà si les commentaires sont bloqués et que ( ce qui m’étonnerait ) , quelqu’un veut mettre un mot : Il pourra m’envoyer un mail et si le com. mis dans ce mail me semble  » adéquat  » , conforme à ce qui est noté en tête ( pas intolérants, fasciste raciste ) etc…Je le mettrais en com. sur le billet .

Voilà , je crois que c’est tout ……