histoires insolites qui ont participé à la légende du Tour de France.
1935, le stand de bières Le Français Julien Moineau gagne l’étape caniculaire entre Pau et Bordeaux en profitant d’un stand de distribution de bières installé au Barp. En effet, tout le peloton s’arrête pour s’en jeter une… sauf lui. Logique, le stand de rafraîchissements avait été monté par des copains à lui, avec son aval.!
1904, coups de matraque Vainqueur du Tour en 1903, Maurice Garin est le favori à sa propre succession. C’est d’ailleurs en leader qu’il rejoint Paris, mais sa victoire lui sera retirée… plusieurs semaines plus tard au profit du jeune Henri Cornet.
La raison? De trop nombreuses infractions commises durant la course. Une édition 1904 houleuse par ailleurs puisqu’elle avait suscité une passion sans précédent parmi les spectateurs. Une passion proche du chauvinisme, certains n’hésitant pas à abattre des arbres sur la route pour bloquer certains concurrents, d’autres se faisant frapper.
Durant la course, Garin
lance: « Je vais gagner le Tour de France à condition que je ne sois pas assassiné avant d’arriver à Paris. » Sur la première étape, il est menacé par quatre hommes masqués dans une voiture.
Le lendemain, rebelote puisqu’une centaine de spectateurs tentent d’arrêter la course pour permettre à Antoine Fauré, le régional de l’étape, de l’emporter. « À bas Garin, vive Fauré, tuez-les tous! », crie la foule. Dans la cohue, Garin, qui reçoit notamment des coups de matraque lors de ces échauffourées, est blessé à la main.
La suite? À Nîmes, des spectateurs lancent des pierres sur les coureurs avant que des clous ne soient disposés sur l’asphalte. Les débordements deviennent légion et neuf coureurs sont disqualifiés pour avoir utilisé des voitures.
Garin est d’ailleurs accusé d’avoir bénéficié de l’aide des organisateurs, en lui permettant de s’alimenter en cours d’étape. Quatre mois plus tard, il sera finalement disqualifié, comme les trois coureurs qui le suivent au classement général. Bonne ambiance.!
……….pour être la première humaine à fouler le sol sur Mars
Le rêve des géants de l’exploration spatiale est aujourd’hui axé sur la planète Mars. Récemment, la NASA a annoncé la réalisation de ce projet grandiose en mettant une jeune fille actuellement âgée de 17 ans sur le coup. En effet, Alyssa Carson fait partie des futurs astronautes qui vont participé à la mission Mars de la Nasa.
A titre de rappel, SpaceX la firme d’Elon Musk et la NASA, se lancent dans une bataille technologique très sérieuse. Ils se disputent la place de la firme qui va envoyer le premier humain sur la planète Mars. Le projet est annoncé pour l’année 2024 du côté de SpaceX. Pour la NASA on attend encore l’année 2033.
Les membres de l’équipage de la mission Mars de la Nasa incluent la jeune femme de 17 ans, nommée Alyssa Carson. Cette dernière rêve d’ailleurs d’être la première humaine à fouler la surface de la planète rouge.
Alyssa Carson vient de la Louisiane, de Baton Rouge plus précisément. Depuis qu’elle a 15 ans, elle suit des formations auprès de la NASA pour devenir astronaute. D’ailleurs, elle la personne la plus jeune à qui l’on a attribué le diplôme de l’ » Advances Possum Academy ». ( Sans ce diplôme on ne peut suivre la formation d’astronaute ) .
Alyssa estime que le plus dur dans son cas est la question du timing. Elle trouve défiant le fait d’avoir pu accomplir autant de chose à son âge pendant que les autres sont encore au lycée. D’ailleurs, elle trouve la formation assez contraignante par rapport à son âge. Toutefois, lors d’un interview, elle confie à Bored Panda qu’elle est sur la bonne voie.
Non seulement la jeune femme suit une formation pour devenir astronaute, mais aussi, elle suit des cours de langue. Elle apprend donc l’anglais, l’espagnol, le français et le chinois.
En outre, elle est tout à fait consciente des sacrifices engagés par son choix de vie. Elle sait qu’elle ne peut prétendre ni à une vie de mère ni à une vie de femme mariée pour les quelques années qui vont suivre.
Avec son profil de » jeune astronaute » en formation, Alyssa a fait la déclaration suivante : » Tous les astronautes, spécialement les femmes, ont tracé cette voie que j’ai choisi de suivre ». Aujourd’hui, elle endosse le rôle de l’ambassadrice de la conquête spatiale chez les plus jeunes. Elle estime pouvoir inculquer le même rêve que celui qu’elle a longtemps porté auprès de ces derniers. Ils pourront à leur tour participer sur des missions de conquête spatiale en vue d’une autre planète plus tard.
Le 27 août 1859 : Du pétrole à Titusvilleen Pennsylvanie !
Le 27 août 1859, du pétrole jaillit pour la première fois du sous-sol des États-Unis. La découverte survient à point nommé, à un moment où les besoins d’éclairage n’arrivent plus à être satisfaits avec les bougies traditionnelles et les lampes à huile. Le » pétrole lampant » va révolutionner la vie quotidienne ! Oubliées les bougies sales, coûteuses et fumantes lol ; voici, en attendant la lampe à incandescence , un éclairage propre, de bonne luminosité et relativement économique.
Le » miracle » se produit au nord-est du pays, en Pennsylvanie, au lieu-dit Oil Creek (le ruisseau d’huile !) près de Titusville. ( C’est aujourd’hui un parc national ).
Son auteur est un bourlingueur du nom d’Edwin L. Drake
(39 ans). Il se fait abusivement appeler » colonel Drake ». Après avoir pratiqué tous les métiers y compris celui de conducteur de train, il s’établit avec sa famille à Titusville.
Contre l’avis des experts, il est convaincu qu’il pourrait extraire le pétrole du sous-sol par simple forage et s’est adjoint pour cela le concours d’un puisatier. Ensemble, ils ont creusé un puits grâce à un trépan suspendu à un câble et mis en mouvement par une machine à vapeur. Le » précieux liquide » aurait jailli lorsque le trépan a atteint 23 mètres de profondeur seulement.
Dès le premier jour, avec une production de l’ordre de huit ou dix barils, Drake multiplie la production mondiale de pétrole par… deux !
Drake devant son puits (1866 )
Comme on peut s’y attendre, la découverte de Drake donne lieu à la première » ruée vers l’or noir » avec une particularité propre au droit américain : le sous-sol et tout ce qu’il renferme appartient au propriétaire de la surface.
La ruée vers l’or noir
Du coup que chaque propriétaire de parcelle se donne pour objectif prioritaire de pomper le sous-sol… du voisin. C’est ainsi que chacun érige des puits en bordure de son terrain en réservant à plus tard l’exploitation du centre que personne ne peut lui voler. D’où un gaspillage énorme de ressources et une multiplication à l’infini des puits de forage.
La région se couvre de derricks et procure la fortune à de nombreux audacieux. Quand au » colonel » Drake, dépourvu du sens des affaires, il néglige de faire breveter son système de forage et sombre dans la pauvreté. Compatissants, les habitants de Titusville finiront par verser une pension à lui-même et à sa veuve.
Les raffineurs ramassent la mise
Mais » la mélasse noire et malodorante » qui émerge des puits n’est pas utilisable en l’état. Il faut la raffiner. Le raffinage, indispensable, a pour premier but de produire du » pétrole lampant »,( autrement dit à l’usage des lampes à pétrole ) .
Ce qui implique que très vite, la domination du secteur pétrolier va passer des exploitants de puits aux raffineurs ou, plus précisément, à un raffineur :Davidson Rockefeller
, fondateur de la Standard Oil, un homme d’affaires rigoureux, rusé et sans état d’âme, caractéristique des grands entrepreneurs américains de la fin du XIXe siècle.
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Le pétrole est devenu l’énergie vitale de nos sociétés. Mais aujourd’hui, c’est non plus dans l’éclairage mais dans les transports et la production d’énergie qu’il trouve ses principaux débouchés. Jusqu’à quand ?
Le pétrole fait l’objet d’une prospection toujours plus intense. On l’extrait des fonds sous-marins (offshore), jusqu’à six mille mètres sous le niveau de la mer (3000 mètres d’eau et autant de couches sédimentaires). On l’extrait désormais aussi des schistes bitumineux du Canada et des États-Unis, au prix de grands dégâts écologiques. C’est au point que les États-Unis sont redevenus massivement exportateurs d’hydrocarbures.
Au grand dam des experts qui prédisent l’épuisement du précieux fluide depuis les années 1950, le fameux peak oil ( » pic pétrolier ») à partir duquel la production mondiale doit décliner est repoussé de décennie en décennie. Et contre toute attente, sous l’effet de la surproduction et de la baisse relative de la fiscalité, le prix de vente des produits pétroliers diminue depuis les années 1980. Ce qui n’est pas sans conséquence sur le réchauffement climatique.
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HISTOIRES DE NOMS – À sa naissance, en 1924, l’entreprise avait été baptisée Compagnie française des pétroles. Le nom Total apparaît en 1953, mais ce n’est qu’en 1991 que la CFP s’effacera complètement.
C’est l’histoire d’une enseigne de stations-service devenue le nom du premier groupe pétrolier français. Une histoire qui s’est écrite en deux temps. En 1985, la CFP (Compagnie française des pétroles) a été rebaptisée Total-Compagnie française des pétroles. En 1991, exit la CFP, la signature initiale aux connotations trop techniques et le groupe devient Total.
Ce style de nom a l’avantage de la simplicité. Il est compréhensible dans le monde entier ou presque. Il peut aussi avoir l’avantage de rappeler que le groupe est présent à tous les stades : de la prospection pétrolière à la vente d’essence en passant par l’extraction, le raffinage et le transport. » En plus, Total est un nom de leader, analyse Pierre-Louis Desprez, cofondateur de Kaos Consulting, société de création de noms de marques. Il exprime la dimension internationale de la firme. »
Mais cette dénomination est aussi le fruit d’une longue évolution. Au cours des décennies, l’entreprise a changé cinq fois de nom. Au départ, il y avait donc la Compagnie française des pétrole son sigle: CFP. L’entreprise a été créée en 1924 à l’initiative de l’État et introduite en Bourse dès 1929. La France avait alors besoin d’une entreprise pétrolière qui devienne actionnaire de la toute nouvelle Iraq Petroleum Company et participer ainsi à l’exploitation de l’or noir irakien après la chute de l’Empire ottoman.
Ce nom ne fait pas rêver ? Qu’importe. Jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, son activité se limite à l’extraction de pétrole. Changement de décor en 1947 avec le développement d’un réseau de stations-service et l’implantation hors des frontières en Europe, mais aussi en Afrique et en Australie.
Le sigle CFP n’est pas jugé très adapté pour conquérir des consommateurs. En 1953, ses dirigeants décident de créer une marque plus simple, Total, qui fait son apparition en 1954, accompagnée d’un logo bleu-blanc-rouge.
Elle chapeaute toutes les activités tournées vers le grand public (stations-service, huile…). Très vite, le succès est au rendez-vous. La marque Total gagne une visibilité mondiale.
Quelques coups d’accordéon…………
Si la dénomination CFP disparaît officiellement au profit de Total en 1991, le patronyme du groupe va encore connaître quelques »coups d’accordéon ». En 1999, Total rachète le belge »Petrofina » . Pour ménager les susceptibilités, le groupe devient » TotalFina ». En 2000, TotalFina lance une OPA sur l’autre champion français de l’or noir, Elf Aquitaine. Là encore, pour ménager les susceptibilités internes, il devient »TotalFinaElf ». Comme un tel nom à rallonge n’est pas très facile à manier, Total redevient Total en 2003. Le groupe troque alors son logo tricolore pour une sphère composée de bandes de couleur et censée représenter la Terre, dans toute sa complexité et sa diversité
P
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Croisade et cannibalisme : » la faim »justifie les moyens!
Alexis Commène tenait à employer les croisés pour récupérer ses villes, puis à s’en débarrasser aussi vite, par crainte de leur convoitise. Il leur fournit tout le nécessaire et un petit contingent pour passer en Asie. En mai-juin 1097, les Francs attaquèrent Nicée avec succès, mais les Turcs se rendirent aux Grecs, frustrant ainsi les croisés des pillages escomptés. Après cette désillusion, ils poursuivirent leur marche vers Jérusalem : elle durera deux ans ! Elle devint un enfer en raison de la chaleur insupportable sur les chemins d’Asie Mineure brûlés par le soleil, qui accablait particulièrement les chevaliers engoncés dans leurs lourdes cottes de mailles. Foucher de Chartres raconte que « les hommes les plus robustes se couchaient sur le sable, fouillaient la surface brûlante pour trouver en dessous le sol frais et y coller leur bouche desséchée. Les animaux eux-mêmes ne résistaient pas ». Nombre de chevaux moururent de soif et d’épuisement. On vit des chevaliers monter des bœufs ; des moutons, des chèvres, des porcs ou des chiens servaient de bêtes de somme. Dans ces conditions, les Turcs, montés sur des chevaux légers et rapides, harcelaient aisément l’armée franque. L’arrière-garde de celle-ci était composée de pauvres. Assoiffés et affamés, armés seulement de bâtons, ils massacraient les musulmans et se rassasiaient de leurs cadavres. En février 1098, quand les Byzantins eurent complètement cessé d’approvisionner l’armée, la famine s’en empara à son tour. Les hommes mangeaient des herbes de toutes sortes, qu’ils ne pouvaient même pas cuire, faute de bois. Des profiteurs de guerre syriens ou arméniens se rendaient dans les camps pour vendre quelque boisson ou denrée à des prix exorbitants.
En décembre, les croisés prirent Ma’arrat An Noman, en Syrie. Selon la chronique d’Ibn al-Athir, les Francs, qui réussirent à pénétrer dans la place au moyen d’échelles, tuèrent pendant trois jours plus de 100 000 personnes et firent un grand nombre de prisonniers. Cette fois, les croisés eux-mêmes se livrèrent à des actes de cannibalisme, ! Comme l’atteste un témoin anonyme franc, évoquant la journée du 11 : »il ne restait pas un coin de la cité qui ne fut vide ; il y avait tant de cadavres qu’il était à peine possible de circuler dans les rues. Tous les soldats souffraient, ils étaient morts de faim. Ils sciaient les cadavres et faisaient cuire leur chair et leurs boyaux. »Raymond d’Aguiller que ce spectacle jeta l’épouvante chez beaucoup de gens tant race que celle des étrangers »Selon Raoul de Caen,’ des nôtres faisaient bouillir des païens adultes dans des marmites . Selon Albert d’Aix, « les nôtres ne répugnaient pas à manger non seulement des Turcs et les Sarrasins, mais aussi des chiens ». Selon d’autres encore, des enfants étaient embrochés et dévorés grillés. Dans une lettre officielle adressée au pape, les chefs francs, embarrassés, se contentèrent de rapporter les faits avec sobriété : » Une famine terrible assaillit l’armée à Ma’arat et la mit dans la cruelle nécessité de se nourrir des cadavres des Sarrasins. » Dans tout le monde musulman, ces atrocités amenèrent plusieurs villes à se rendre sans combattre à l’approche des Francs.
Souvent, l’eau faisait encore plus cruellement défaut, comme l’atteste notamment ce témoin durant le siège de Jérusalem : » Les Sarrasins infectaient les fontaines et les sources. Nous cousions des peaux de bœufs et de buffles dans lesquelles nous apportions de l’eau pendant l’espace de six milles. » Il fallait payer cher une seule gorgée d’une eau boueuse » puisée dans les marais puants et les antiques citernes », pleine de sangsues, » espèces de vers qui glissent dans les mains ».
Les désordres qu’engendrait la multitude obligèrent les chefs à prendre des mesures disciplinaires, par exemple : » On renvoya de l’armée toutes les femmes, afin que nos gens corrompus par les souillures de la débauche n’attirassent sur nous la colère du Seigneur. Ces femmes alors cherchèrent un abri dans les châteaux d’alentour et s’y établirent. »
Le 26 août 1970 ( je croyais que le M.L.F était plus » ancien » ) .
Le M.L.F est fondé pour améliorer le sort des citoyennes françaises . L’association revendique le droit à disposer librement de son corps , à la contraception et à l’avortement , elle remet en question une société dominée par les hommes .
Ce jour là , les militantes déposent une gerbe sur la tombe du soldat inconnu , avec le slogan : » Il y a plus inconnu que le Soldat inconnu : Sa femme . » !
Si l’ambiance se veut légère, les manifestantes sont arrêtées par la police. Cathy Bernheim , militante présente à l’époque, se rappelle très bien de la scène, qui « n’était pas si tendre ».
» un homme sur deux est une femme »
Un slogan marquera particulièrement les esprits en cette journée des années 70 : « Un homme sur deux est une femme ». Une façon de dénoncer le machisme de la société française. À l’époque, le viol est rarement puni par la justice, et l’avortement est considéré comme un délit. De grandes manifestations féministes suivront cet événement. Cinquante ans plus tard, des féministes revendiquent toujours leur héritage …
Dès octobre 1968, les premières réunions de femmes. En avril 1970, la première apparition publique du mouvement de femmes à la faculté de Vincennes. En mai 1970, la publication d’un article intitulé “Combat pour la libération des femmes” dans le journal L’idiot International. Un ferment révolutionnaire hérité de mai 68 qui a rendu possible l’émergence du mouvement
Entre 1967 et 1970, plusieurs groupes de travail se forment. Une association mixte, Féminin, Masculin, Avenir (FMA), créée au sein du Mouvement démocratique féminin par Anne Zelensky et Jacqueline Feldman, organise depuis 1967 des réunions sur les relations entre les hommes et les femmes. Cette association tient une grande réunion dans la Sorbonne occupée de mai 68 sur le thème des femmes, puis prend son indépendance, devient non mixte et, en , se rebaptise Féminisme, Marxisme, Action. Pour Michelle Zancarini- Fournel, spécialiste de l’histoire française contemporaine, le groupe FMA « constitue le socle généalogique du MLF
Le vendredi 25 août 1944, à 15h 30, le général Philipe Leclerc de Hauteclocque
(43 ans) reçoit à Paris, devant la gare Montparnasse, la capitulation des troupes d’occupation de la capitale.
Le document est signé par le général Dietrich von Choltitz
, commandant du 84e corps d’armée. Il est aussi contresigné par le colonel Henri Rol-Tanguy,
chef régional des FTP-FFI (Francs-tireurs et partisans des Forces Françaises de l’Intérieur).
Une heure plus tard, le général Charles de Gaulle lui-même arrive à la gare et Leclerc lui remet l’acte de capitulation.……
Il se rend ensuite à l’Hôtel de Ville où il est reçu par Georges Bidault
, président du Conseil national de la Résistance. Comme celui-ci lui demande de proclamer le rétablissement de la République, de Gaulle rétorque qu’elle n’a jamais cessé d’exister.!
Sur le perron, devant une foule enthousiaste et joyeuse, sous un beau soleil , il célèbre en des » termes flamboyants » la Libération de Paris : Le fameux » Paris martyrisé ! mais Paris libéré » . Aussitôt ,son discours improvisé est retransmis à la radio.
Le soir, de Gaulle s’installe au ministère de la Guerre en qualité de chef du gouvernement provisoire de la République française et le lendemain, le chef de la France libre descend en triomphe les Champs-Élysées, suivi de Leclerc et de ses fidèles de la première heure auxquels il a recommandé de se tenir derrière lui.….? !
Dans une joyeuse pagaille, acclamé par deux millions de Parisiens, il arrive à la Concorde. Là éclatent des coups de feu sporadiques. Puis le général gagne Notre-Dame pour un Te Deum passionné.???
S’insurger ou attendre ?
La Libération de Paris avait débuté le 10 août 1944 avec la grève des cheminots, tandis que les troupes allemandes commençaient de plier bagage.
Le général Pierre Koenig, chef d’état-major des Forces Françaises de l’Intérieur, souhaite qu’un soulèvement populaire précède l’arrivée des troupes alliées dans la capitale mais il est conscient des risques qu’il représente.
En effet, quelques jours plus tôt, le 1er août, les résistants de Varsovie ayant fait le même choix ont subi une répression d’une extrême violence. D’autre part, le risque existe d’un affrontement entre les gaullistes pilotés par Jacques Chaban-Delmas
et les communistes sous les ordres du colonel Rol-Tanguy.
Des combats sporadiques éclatent un peu partout. Le 19 août 3.000 policiers de Paris rejoignent la Préfecture de police de l’île de la Cité, au cœur de la capitale, en tenue civile et avec leur arme de service et le drapeau tricolore est hissé au sommet du bâtiment. Mais les Alliés n’étant pas attendus dans la capitale avant le 1er septembre, les gaullistes jugent l’insurrection prématurée. Ils le font savoir à Rol-Tanguy par le biais d’une note transmise par l’intermédiaire de Jacques Chaban-Delmas…
Après une violente discussion, les représentants du Comité national de la Résistance décident de négocier une trêve avec l’occupant. ( Dans les faits, elle ne sera appliquée que de façon sporadique puis plus du tout.)
Lourd bilan :
Entre le 10 août et l’entrée des troupes du général Leclerc le 25 août suivant, la Libération de la capitale aura causé la mort de 76 soldats de la 2e division blindée ainsi que de 901 résistants des FFI et de 3.200 Allemands (12.800 soldats allemands sont aussi faits prisonniers).
Parmi les drames les plus désolants : 35 garçons et filles qui avaient maladroitement confié à un agent double leur désir de combattre. Dans la nuit du 16 au 17 août, ils sont livrés par celui-ci à la Gestapo qui les fusille sans délai près de la cascade du bois de Boulogne.
Tout le monde , ou presque connait » Le reblochon », ce célèbre fromage produit en Savoie et qui bénéficie d’une AOC depuis plus de 50 ans ! Autant dire un élément fondamental de la gastronomie française, ne serait-ce qu’en raison de son importance dans la tartiflette.lol
Et bien , je viens de lire qu’aussi étonnant que cela puisse paraitre, il tirerait son nom d’une véritable fraude pour échapper à l’impôt. Et cela ne date pas d’hier puisque la manœuvre avait lieu au 13e siècle.
Quelle manœuvre exactement ?
Il faut savoir qu’à l’époque , “re-blocher’ signifiait » pincer de nouveau » ou » traire une deuxième fois ».
En quoi consistait la fraude ? A l’époque et plus encore à la Renaissance, les fermages étaient dus en nature. C’ est à dire que que le fermier avait le droit de cultiver la terre de son propriétaire et en retour il le payait non pas en argent mais ave une partie des produits cultivés.
Dans le cas du reblochon le fermier devait donner un certain nombre de fromages; (un nombre calculés en fonction du volume de lait trait.)
Donc le propriétaire ou son contrôleur vérifiait la traite pour en déduire le nombre de fromages dus par le fermier.
Alors , pour avoir à donner moins de fromages aux propriétaires , les fermiers faisaient une première traite pour eux et une deuxième traite une fois la nuit tombée cette fois pour leur propre compte.
Donc la première traite était volontairement incomplète. Il l’achevait le soir venu.
Et les propriétaires y perdaient presque doublement car le lait de la seconde traite, était en plus petite quantité bien sur mais ne pouvait qu’ être riche en crème, avec davantage de matières grasses supérieur. Bref tout simplement meilleur !
Un dernier mot sur le fermage : Au Moyen Age il se substitua progressivement au servage que se définit comme la condition d’une personne qui est tenu de vivre et de travailler sur une terre appartenant à une autre personne et de fournir à cette autre personne, contre rémunération ou gratuitement, certains services déterminés, sans pouvoir changer sa condition. Si on le compare, le fermage était donc à l’époque une évolution positive.
Il y a longtemps que » çà » ne m’était pas arrivé , quand j’étais adolescent et quelques temps après , il ne se passait pas une nuit sans que je fasse un » rêve cauchemardesque …Cette nuit ( plutôt la nuit dernière , de samedi à dimanche ) , c’est » revenu » ……
Ma défunte mère est apparue dans mon sommeil !Elle me dit : » Tu n’est pas venu à mon enterrement, tu ne changes pas , tu te fous de tout , au fond t’es un salaud »
Je ne savais pas quoi lui répondre ……. Soudain , Léone ma défunte grand-mère est aussi apparue ! Et elle a dis : » Arrêtes , c’est toi qui est méchante , tu sais bien que Francis ne va jamais aux enterrements , il n’est pas venu au mien non plus et pourtant !……En plus tu lui avais dis que tu ne voulais pas qu’il soit là , que du moment que ton autre fils ( Alain ) soit là , ce serait suffisant, je suis certaine que même si il ne crois pas en dieu , il passera sur ta tombe
dès qu’il le pourra , alors arrêtes tes méchancetés et laisses le tranquille ! » Je me suis enfin éveilléen sueur et avec un fort mal de tête .Bien entendu , me rendormir fut impossible , je suis descendu , ayant peur de me recoucher , de dormir ….Pourtant, je me suis endormi sur le canapé et ai dormi jusque 16h 30 !!!!
Probablement pour s’occuper un peu durant la quarantaine, certains se sont amusés à réaliser des châteaux en carton pour chats.
De grandes constructions fortifiées avec des passages et des ouvertures multiples, de vraies aires de jeu pour petits minets.
On sait que les matous domestiques adorent les cartons, mais ils ne sont pas les seuls puisque même les gros félins adorent jouer avec…
On peut d’ailleurs trouver sur le web toutes sortes de jouets en carton pour chat …
Une petite série de châteaux en carton pour chats, des bricolages maison qui pourrait inspirer votre créativité pour votre matou. ( Si vous en avez un évidemment )