Le bonheur est à la portée de tous
Dans les cartons qu’on plie
Tant qu’il est vrai que le bonheur est tolérant
Ici ,sauf exception,le dimanche n’est jamais bien gai……Mais aujourd’hui,comme on dit (ici en tout cas),ce fut « le bouquet »! Froid et sombre toute la journée……Enfin,j’ai tout de même réussi à lire un peu et …..j’ai eu le plaisir d’avoir la visite de Manu ,mon fils accompagné de sa compagne……Comme çà,sans raison…….Et çà…..c’est bon !……Il m’ont parlé de me « trouver » une chatte pour remplacer ma moumoun!!!…………Pour ce qui est de l’ordi ,du Net. J’en ai ras le bol! De plus en plus de difficultés pour me connecter……Bahhhhh,la télé et les livres sont là …..
Essayons de trouver le sommeil maintenant….Afin de commencer une nouvelle semaine « frais et dispo »…
Bonne semaine à vous ,qui par hasard passeriez…..
LES PALÉTUVIERS
Paroles et musique: Moises Simon, H. Duvernoy
L’amour ce fruit défendu vous est donc inconnu
Oui
En cela se peut-il joli petit bourgeon d’avril
Non je ne l’ai jamais vu, jamais vu ni connu
Mai[ A | B | C | D | E | F | G | H | I | J | K | L | M | N | O | P | Q | R | S | T | U | V | W | X | Y | Z | 0-9 ] Le-Parolier.Net
Paroles de chansons
Contact
Partager | Paroles / Lyrics: Christian Borel et Caroline Cler
LES PALÉTUVIERS
Paroles et musique: Moises Simon, H. Duvernoy
L’amour ce fruit défendu vous est donc inconnu
Oui
En cela se peut-il joli petit bourgeon d’avril
Non je ne l’ai jamais vu, jamais vu ni connu
Mais mon coeur ingénu veux rattraper vois-tu tout le temps perdu
Ah rien ne vaut pour s’aimer les grands palétuviers chère petite chose
Ah si les palétuviers te font tant frétiller je veux bien essayer
Ah viens sous les « pa »
J’y vais de ce pas mais j’y vais pas à pas
Suis-moi veux-tu?
Je ne suis pas têtu sous les grand « palétu »
Viens sans hésiter
Allons gazouiller sous les palétuviers
Ah oui je n’ai pas de papa, de papalétuvier, sous les palétuviers
Ah je te veux sous les « pa » je te veux sous les « lé »
Les palétuviers roses
Aimons-nous sous les « patu »
Prend moi sous les « létu »
Aimons-nous sous les « viers »
Ah ton coeur me semble encore hésiter cher trésor
Mais je veux tout oser pour un petit, tout petit baiser
Ah un baiser, je m’éblouis, un baiser c’est exquis
Mais dès qu’il l’aura pris je vais être pour lui l’objet de mépris
Non le mépris te t’en prie ce n’est pas dans mes prix car je suis pris mignonne
Mon coeur est aux abois tu peux prendre o mon roi mon coeur au fond des bois
REFRAIN:
Ah viens sous les « pa »
J’y vais de ce pas mais j’y vais pas à pas
Suis-moi veux-tu?
Je ne suis pas têtu sous les grand « palétu »
Viens sans hésiter, allons gazouiller sous les palétuviers
Ah oui sous les « pa », les papas, les papas, les tutus, sous les palétuviers
Ah je te veux sous les « pa » je te veux sous les « lé », les palétuviers roses
Aimons-nous sous les « patu »
Prend moi sous les « létu »
Aimons-nous sous les « viers »
Près des arbres enchanteurs viens goûter les senteurs
Ce cocktail où se mêlent le gingembre avec la cannelle
Oui c’est l’effet (d’un optique) qui me pique qui me pique
Je sens le muscadier, je sens les néfliers, et les orangers
Le parfum des néfliers et des doux pistachiers ne vaut les palétuviers roses
Tous ces arbres tropicaux nous invitent au bécot allons y mon coco
REFRAIN
Si je comprends bien tu me veux mon chien
Sous les grands palé-tu viens!
s mon coeur ingénu veux rattraper vois-tu tout le temps perdu
Ah rien ne vaut pour s’aimer les grands palétuviers chère petite chose
Ah si les palétuviers te font tant frétiller je veux bien essayer
Ah viens sous les « pa »
J’y vais de ce pas mais j’y vais pas à pas
Suis-moi veux-tu?
Je ne suis pas têtu sous les grand « palétu »
Viens sans hésiter
Allons gazouiller sous les palétuviers
Ah oui je n’ai pas de papa, de papalétuvier, sous les palétuviers
Ah je te veux sous les « pa » je te veux sous les « lé »
Les palétuviers roses
Aimons-nous sous les « patu »
Prend moi sous les « létu »
Aimons-nous sous les « viers »
Ah ton coeur me semble encore hésiter cher trésor
Mais je veux tout oser pour un petit, tout petit baiser
Ah un baiser, je m’éblouis, un baiser c’est exquis
Mais dès qu’il l’aura pris je vais être pour lui l’objet de mépris
Non le mépris te t’en prie ce n’est pas dans mes prix car je suis pris mignonne
Mon coeur est aux abois tu peux prendre o mon roi mon coeur au fond des bois
REFRAIN:
Ah viens sous les « pa »
J’y vais de ce pas mais j’y vais pas à pas
Suis-moi veux-tu?
Je ne suis pas têtu sous les grand « palétu »
Viens sans hésiter, allons gazouiller sous les palétuviers
Ah oui sous les « pa », les papas, les papas, les tutus, sous les palétuviers
Ah je te veux sous les « pa » je te veux sous les « lé », les palétuviers roses
Aimons-nous sous les « patu »
Prend moi sous les « létu »
Aimons-nous sous les « viers »
Près des arbres enchanteurs viens goûter les senteurs
Ce cocktail où se mêlent le gingembre avec la cannelle
Oui c’est l’effet (d’un optique) qui me pique qui me pique
Je sens le muscadier, je sens les néfliers, et les orangers
Le parfum des néfliers et des doux pistachiers ne vaut les palétuviers roses
Tous ces arbres tropicaux nous invitent au bécot allons y mon coco
REFRAIN
Si je comprends bien tu me veux mon chien
Sous les grands palé-tu viens!
Un vieux film en « noir et blanc »,mais belle histoire d’Amour
Le film (tiré d’un roman de Colette)
Se déroule dans les années 20-25:
Comme chaque année les Ferret et leurs deux filles Vinca et Lisette passent leurs vacances sur une plage bretonne en compagnie de leur amie Mme Audebert et de son fils Philippe
Afin de ne plus penser à Vinea, il devient l’amant d’une élégante estivante de trente ans son aînée, Mme Dalleray. Elle est belle, elle a vécu et souffert.
Phil trouvera auprès de » la dame en blanc » la maturité qui jusque-là lui manquait. Mais celle-ci craignant de s’attacher à son jeune partenaire, qui sera peut-être sa dernière conquête, préfère disparaître.
Vinca qui a tout compris se donne à Phil. Les vacances prennent fin. Il faut se quitter, mais se retrouveront-ils ?
Il y a une sorte de cap à passer ,mais comment ? Dans ce tournant les parents ne sont d’aucun secours. S’ils se sentent attirés l’un vers l’autre, Phil est plus réservé que son amie.
Difficile d’accuser Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee d’être technophobes. Tous les deux travaillent au MIT, au sein du Center for Digital Business, et pourtant leur dernier livre, intitulé Race against the Machine, fait froid dans le dos. Leur ouvrage explique que, bientôt, chaque emploi pourra être assuré par un robot. Et que ces derniers, de plus en plus qualifiés, deviendront difficiles à gérer. La technologie qui doit nous rendre la vie plus facile pourrait donc la transformer en cauchemar ?
L’automatisation de la société se comprend aisément pour les tâches répétitives. Cela fait longtemps que le poinçonneur des Lilas, remplacé dans le métro par un composteur automatique, n’évoque plus, dans le meilleur des cas, que la chanson de Serge Gainsbourg. À Hong- Kong, le sous-traitant Foxconn, qui produit pour Nokia, Apple ou encore Motorola, a ainsi réaffirmé qu’il souhaitait remplacer 500 000 ouvriers par des robots dans les trois années à venir. Son responsable Terry Gou voudrait même embaucher un million d’automates.
Un robot capable d’écrire des articles sportifs
Mais nos deux chercheurs vont plus loin, et soulignent que les emplois que l’on croyait uniquement réservés aux hommes sont remplaçables. Pour eux, les expériences réussies de voitures sans conducteurs menées par Google dans le Nevada (le véhicule truffé de capteurs a moins d’accidents qu’un homme !) menacent à terme les chauffeurs de taxi ou de bus. Et les récents progrès d’intelligence artificielle permettront de remplacer un jour les comptables, les traducteurs, ou encore les conseillers juridiques. Le conseil national des barreaux a d’ores et déjà lancé une initiative en ce sens. À quand le robot capable de soutenir une plaidoirie ? Aux États-Unis, même l’écriture d’articles sportifs est expérimentée !
Ce qui est nouveau dans cette étude, c’est qu’elle met en lumière un processus d’accélération des capacités des machines, notamment avec la généralisation de capteurs plus fins. Au Japon, il existe déjà un robot capable de détecter un ronflement, et de déplacer légèrement la tête du dormeur pour faciliter son sommeil (et celui de ses proches). Un capteur que le dormeur peut garder dans sa main permet également d’observer le rythme cardiaque. Comment alors éduquer ces robots de plus en plus agiles ? Né en Russie et devenu prof de biochimie à l’université de Boston, Isaac Asimov avait détaillé dans son ouvrage « Runaround », publié en 1942, un code de bonne conduite à destination des robots. » La première de ses recommandations ? « Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, permettre qu’un être humain soit exposé au danger. »
Pour l’instant,vu mon état …..disons fatigué ,je ne vais pas rester sur le net….Comme je suis incapable de me concentrer sur un livre ces derniers temps,je vais « gober » la télé avant d’essayer de dormir..(Si j’y parviens )…..La nuit est déjà bien entamée mais le sommeil ,lui,ne m’attire pas…..Pfff la vie est dure lol !espérons que la semaine qui commence ne va pas continuer dans ce sens….
Cette nuit ,je ne vais sûrement pas traîner longtemps…….Pourquoi????
Ben :Ce matin (ou plutôt en début d’après-midi ),la sonnerie du téléphone m’a réveillé…..Dur,dur,mais comme « ça » insistait ,je suis descendu car seul un ami ou la famille me connait au point de savoir que je dors le jour lol……Bref:C’était mon « bonhomme » qui me dit tout de go : « Papa,ça te dirait de faire un peu de peinture? »
Ceux (celles) qui me connaissent imaginent facilement ma réaction….. »Hein qu’est ce que tu veux dire???? » (la tête dans le pâté) …….. »Et bien,je vais à la maison (celle qu’il fait construire ) ,et « je veux mettre la première couche de peinture « apprêt » sur les murs (pour info,cela signifie peindre les parois avec une première couche de peinture après avoir colmaté les joints et fait ce qu’il faut pour protéger le carrelage )……Pour résumer……J’ai tout juste eu le temps de faire une toilette rapide ,prendre une « petit déjeuner » et nous sommes partis à sa maison :Un moment merveilleux!!!!!!!
Difficile à expliquer,mais l’entendre me demander des conseils et en même temps me donner des consignes lol ….Une foule de souvenirs me sont revenus (mon ancienne maison bien sur….)….Mais le « top »:Un après-midi seul avec mon fils à parler de tout et de rien…..
Comme je lui avais dit : »O.K ,mais il faut que je passe acheter des cigarettes »,lui: »Pas de problème,on y passera »…..En fait,il est arrivé avec une cartouche de gitanes!En plus,il m’a rappelé de ne pas oublier mes comprimés « en cas de bsoin »
Je sais,tout cela n’a aucun intérêts ,mais……..
P.S:Leur maison va être magnifique!
Ensuite,le repas (chez moi,malgré son invitation) =une boite de conserve…..Et là :Repos…..
Surement au lit tôt….
http://www.pacte2012.fr/video.html. Klikez sur le lien pour atteindre la vidéo: Révoltant!
Madame, Monsieur,
Je m’appelle Joël Censier, j’ai 52 ans et trente ans de police derrière moi.
En vous envoyant cette vidéo, j’ai conscience de commettre un acte grave.
Mais c’est une question de conscience.
Un de mes enfants, Jeremy, a été tué par un groupe de jeunes, alors qu’il rentrait à la maison. Ces jeunes, pour certains « bien connus des services de police », se sont déchaînés sur Jeremy, simplement parce qu’il était « fils de flic ». A dix contre un, ils l’ont tué avec une « barbarie inimaginable », selon les témoins et les médecins légistes.
Vous en avez sans doute entendu parler à la télévision, ou dans les journaux. C’était à Nay, une ville du Sud-Ouest, le 22 août 2009.
Pour Corinne, mon épouse, et pour moi, la vie s’est arrêtée ce jour-là. Nos nuits et nos jours ne sont plus qu’une succession de cauchemars insupportables. Jusqu’à la fin de nos jours, nous pleurerons cet enfant que rien ni personne ne pourra nous rendre.
Mais cette vidéo n’a PAS pour but de vous raconter notre histoire, et encore moins de vous demander de nous plaindre.
Ce n’est pas parce que notre enfant est mort que nous avons décidé de lancer cet appel. Si je vous parle aujourd’hui, c’est à cause de ce qu’il s’est passé après. Car cela concerne tous les citoyens qui, un jour peut-être, auront affaire comme nous à la Justice. Et nous ne voulons pas que d’autres connaissent ce que nous avons connu.
Nous ne voulons pas que d’autres traversent les terribles épreuves que nous avons vécues après la mort de notre fils.
Comme beaucoup de victimes, nous avons cru que la Justice allait nous défendre. Qu’elle allait tout faire pour poursuivre les assassins. Ou qu’elle allait, au minimum, essayer de les empêcher de recommencer. Mais non, ce fut TOUT LE CONTRAIRE.
Dès les premières heures de la procédure, la Justice s’est rangée du côté des assassins. D’abord, le juge chargé de l’enquête a déclaré que, comme ils étaient dix, on ne pouvait pas savoir avec certitude qui avait donné les coups qui ont tué notre enfant.
Il a donc immédiatement libéré sept des voyous, ne gardant que les trois plus dangereux.
Peu de temps après, sur les trois, ils en ont relâché deux, sans raison.
Toute poursuite pour meurtre a été abandonnée contre eux. Les magistrats ont déclaré qu’ils ne retiendraient que le délit de « violences volontaires ayant entraîné une interruption de travail supérieure à huit jours ».
Oui, vous avez bien lu : une « interruption de travail supérieure à huit jours ». Un des délits les moins graves du code pénal. Alors que notre fils est mort !
Mais le pire était à venir.
Le 16 septembre dernier, c’est-à-dire il y a un mois, la Justice a décidé de relâcher pour « vice de forme » le dernier qu’elle détenait encore. Cet individu est pourtant le danger public qui a avoué être l’auteur de multiples coups de couteau sur notre fils : un coup qui a transpercé son cœur, un coup qui a traversé sa boîte crânienne, et d’autres encore qui l’ont défiguré.
Mais la Justice l’a libéré pour « vice de forme » !
Et quel « vice de forme » ? Ses avocats ont demandé une « mise en état du dossier de leur client, le 25 octobre 2010 ». Il s’agit d’une formalité purement juridique, sans aucune conséquence pratique sur la culpabilité de l’accusé.
La chambre d’instruction avait trois mois pour leur répondre. Mais elle a dépassé ce délai. Alors les avocats ont exigé la libération du jeune. Et la Cour de Cassation leur a donné raison. Il a donc été immédiatement libéré.
« Cette décision de remise en liberté pour non-respect des délais est une première en France dans l’application du texte concerné. C’est un immense soulagement », a déclaré l’avocat du tueur, Maître Sagardoytho.
« Un immense soulagement » ; « une première en France ».
Pour Corinne et pour moi, ces mots victorieux sont insupportables. Nous avons pensé à tous les autres parents qui, désormais, risquent de voir eux aussi les assassins de leur enfant libérés pour ce « vice de forme ».
Alors nous avons décidé de lancer cet appel à toute la population pour protester auprès des autorités afin que cette affreuse injustice ne touche pas d’autres familles. Pour nous, c’est trop tard, la Justice ne reviendra pas en arrière.
Mais si vous ne faites rien, le monde judiciaire et les hommes politiques considéreront que ce fonctionnement là de la Justice est accepté par l’opinion publique. Et le même scénario frappera d’autres familles.
Il faut savoir que le jour de la reconstitution, toute la bande est arrivée le sourire aux lèvres, les mains dans les poches. Ils se sont amusés à raconter et re-raconter le meurtre, en changeant de version à chaque fois, pour se moquer de gendarmes, ou de nous. Ils étaient parfaitement décontractés et désinvoltes. Ils savaient qu’ils n’avaient rien à craindre. De mon côté, je pleurais de douleur. J’ai commencé à comprendre que la Justice était en train de nous lâcher.
Sur le pont, à l’endroit de la reconstitution, un gendarme s’est approché de moi. Ce n’était pas pour me dire un mot de sympathie.
Non. Il m’a présenté une convocation à la Gendarmerie. Une plainte avait été déposée contre moi pour « subornation de témoin », et je devais être entendu par les gendarmes. Je me suis retrouvé sur le banc des accusés parce que j’avais demandé à un témoin du meurtre de se manifester auprès des autorités. On m’a expliqué que ce n’était pas à moi de le faire, je devais « laisser la Justice faire son travail »…
J’ai même risqué des poursuites pénales car j’avais parlé d’un des meurtriers de mon fils en disant que c’était un « enfoiré ». Son avocat me menaçait d’un procès en « diffamation ».
C’est alors que mon épouse et moi avons décidé de ne plus nous laisser faire. Au lieu d’attendre passivement le procès, nous avons décidé de rejoindre l’Institut pour la Justice.
L’Institut pour la Justice est un organisme indépendant qui regroupe des juristes, des victimes et des citoyens, qui œuvrent pour réformer la Justice française. Cet Institut a élaboré un Pacte 2012, qui sera présenté à tous les candidats à l’élection présidentielle, pour demander des réformes urgentes du système judiciaire.
Vous pouvez contribuer aujourd’hui à faire passer ces réformes, et à sauver des victimes futures, en signant le Pacte 2012 pour la Justice, en cliquant sur le bouton ci-dessous. Car si nous sommes des centaines de milliers de citoyens à soutenir ces propositions de réforme, les candidats seront obligés de nous écouter ; c’est une question de poids électoral. Mais c’est aussi une question de conscience et de justice.
Lorsqu’on n’y est pas personnellement confronté, on pense souvent que la Justice fait bien son travail. On n’ose pas demander qu’elle soit plus rigoureuse envers les délinquants et les criminels, de peur d’être accusé de manquer d’humanité.
Mais je peux vous dire, après trente ans d’expérience dans la Police, que vous n’avez pas à craindre cela. Il est rarissime qu’un vrai délinquant soit traité trop sévèrement en France. La plupart des délinquants bénéficient même d’une impunité à peine croyable.
On entend souvent parler de « violation des Droits de l’homme » dans nos prisons. Mais savez- vous pourquoi 225 détenus, dans une prison de Lyon, viennent de lancer une pétition pour dénoncer « des conditions de détention inacceptables » ? Ces conditions « inacceptables » c’est qu’il leur est interdit d’utiliser… la Playstation 3 dans leur cellule !!
Il n’est pas rare que la Justice relâche un délinquant arrêté des dizaines, voire des centaines de fois par la Police. Le Préfet de Police de Paris, lui-même, en a témoigné dans la presse, le 8 septembre dernier.
Il a cité le cas d’un homme qui venait d’être arrêté pour la 97eme fois. Peut-on imaginer pire mépris pour les victimes ?
Des dizaines de milliers de personnes âgées sont cambriolées chez elles chaque année, sans qu’on ne se donne même plus la peine de rechercher les coupables, parce qu’on sait qu’ils seront de toute façon relâchés par la Justice.
Des femmes se font violer, ou disparaissent, et on laisse leurs agresseurs libres de recommencer sous des prétextes dérisoires.
Aujourd’hui, il est grand temps que les candidats aux élections s’en aperçoivent.
Mais si nous voulons être sûrs qu’ils se prononcent officiellement, alors il est indispensable que nous soyons des centaines de milliers à signer le Pacte 2012 de l’Institut pour la Justice. J’espère que vous allez le signer et transmettre cette vidéo à tout votre entourage.
Il ne s’agit pas de mesures « répressives », et encore moins de réclamer un retour en arrière. Il s’agit simplement de recentrer la Justice sur sa mission première de protection des citoyens. Instaurer un fonctionnement normal, moderne et juste de l’institution judiciaire, adapté à la réalité d’aujourd’hui, dans lequel les citoyens puissent avoir confiance.
Nous demandons:
– que les peines de prison soient vraiment appliquées quand elles sont prononcées ; il faut savoir en effet qu’actuellement, 80 000 peines de prison restent non exécutées, faute de place.
– que les victimes aient au moins autant de droits que les accusés, car aujourd’hui la triste réalité est que les délinquants ont souvent plus de droits et de considération que les victimes ;
– qu’aucune atteinte aux personnes et aux biens ne reste impunie, car les plaintes classées sans suite sont une invitation à la récidive;
– que les lois nous protègent vraiment des criminels récidivistes ; aujourd’hui, la perpétuité dure 20 ans en moyenne. Même les prédateurs les plus dangereux ont vocation à sortir de prison ;
– que la justice et les magistrats soient responsables devant les citoyens, parce que leurs décisions sont prises au nom du peuple français ;
La mise en œuvre de ce Pacte serait un changement considérable pour la protection des citoyens et des victimes.
Mais même si ces mesures peuvent vous paraître évidentes, elles n’ont aucune chance d’être reprises par les candidats à la présidentielle et votées dès 2012 si des centaines de milliers de citoyens ne se manifestent pas pour les demander maintenant.
C’est pourquoi je vous demande de cliquer sur le bouton ci-dessous pour signer votre Pacte 2012, puis de transférer ce message à vos amis, votre famille, vos collègues.
De notre côté, nous mobilisons d’importants moyens humains et financiers pour :
– rassembler des dizaines, des centaines de milliers de signatures ;
– préparer des dossiers précis, justifiant le coût et la faisabilité de chacune de nos réformes, avec des avocats et des juristes spécialisés ;
– mobiliser la presse, pour que cette action soit médiatisée le plus largement possible ;
– organiser des rencontres officielles avec chaque candidat, pour obtenir leur engagement à mettre en œuvre nos réformes, en cas d’élection.
Mais quoi que nous fassions, nous ne serons entendus que si des milliers de citoyens comme vous exprimez votre soutien. C’est une question de légitimité.
C’est pourquoi votre signature est cruciale aujourd’hui.
Au nom de mon enfant, de ma famille, et de mon pays, je vous dis merci.
Joël Censier
J’en dis si souvent des sarkonneries
|