Ces personnages de roman qui auraient vraiment existé…?


Le comte de Monte-Cristo était cordonnier

Le comte de Monte-Cristo était cordonnier ?

Auguste Maquet, collaborateur d’Alexandre Dumas, lit vers 1840, dans les archives de la police, un incroyable fait divers. En 1807, un certain Pierre Picaud, cordonnier nîmois, est victime d’une machination. Il s’apprête à se marier lorsqu’on l’accuse d’espionnage. Jeté en prison dans une forteresse italienne, il rencontre un compagnon de cellule qui lui révèle l’existence d’un trésor. Une fois libre, Picaud récupère le magot et se venge de ceux qui ont brisé sa vie… Tous ces éléments se retrouvent dans le roman de Dumas, le Comte de Monte- Cristo (1844) – sauf que Picaud s’appelle Edmond Dantès et qu’il est marin. L’auteur change aussi le lieu où il est incarcéré : la prison n’est plus en Italie mais au large de Marseille. Enfin, le contexte historique n’est plus le même : Pierre Picaud a été séquestré par la police napoléonienne, et l’écrivain bonapartiste préfère faire d’Edmond Dantès une victime de la Restauration. L’action du livre se déroule donc en 1815, après la chute de Napoléon.

La véritable reine Margot ……

La véritable reine Margot était moins dévergondée

La véritable reine Margot était moins dévergondée ?

Lorsqu’Alexandre Dumas écrit sur l’épouse d’Henri IV, Marguerite de Valois (1553‐1615), dite  » la reine Margot  », il s’empresse de la déshabiller et d’en faire une experte en luxure. Ainsi fait-il de sa brève liaison avec le comte de La Mole une idylle tumultueuse et torride. En revanche, Dumas passe sous silence le génie politique bien réel de Marguerite. Le XIXe siècle avait des idées toutes faites à l’égard des femmes de pouvoir : On peut dire que Dumas, sur ce point, a manqué d’imagination…

Quasimodo, un ouvrier de chantier ?

En écrivant Notre-Dame de Paris (1831- 1832), Victor Hugo allait souvent observer un chantier de rénovation de la cathédrale parisienne. Or, parmi les artisans présents, il y en avait un surnommé  » le Bossu  »

par ses camarades : c’est ce qu’aurait découvert en 2010 un chercheur anglais, Adrian Glew, en lisant les mémoires d’un autre travailleur du chantier. Taciturne, le Bossu se tenait toujours à l’écart, comme Quasimodo

Quasimodo ( image du net )

. Et ce tailleur de pierre habitait à Saint-Germain- des-Prés, comme Hugo. L’écrivain l’a-t-il croisé ? A-t-il emprunté sa silhouette pour la donner au sonneur de cloches de son roman ? C’est ce que croit Adrian Glew. Il poursuit son enquête pour savoir qui était vraiment cet artisan.

Alice au pays des merveilles, la fille d’un ami ?

À l’été 1862, Charles Dodgson fait un tour de barque à Londres, sur la Tamise, avec les filles d’un ami. L’une d’elles, Alice Liddell lui réclame une histoire. Dodgson improvise le récit d’une enfant de son âge qui tombe dans le terrier d’un lapin. Trois ans plus tard, il publie Alice au pays des merveilles, sous le nom de Lewis Carroll…

La véritable reine Margot était moins dévergondée

Alice au pays des merveilles, la fille d'un ami

Sherlock, médecin comme Watson ? !

Sir Arthur Conan Doyle a donné le jour à son célèbre détective en 1887. Pour le façonner, il ne s’est pas inspiré d’un policier. Il a plutôt été influencé par un homme qu’il avait croisé une dizaine d’années plus tôt, alors qu’il était étudiant en médecine. Ce professeur, le Dr Joseph Bell, fascinait ses élèves par les déductions qu’il tirait de la simple observation de ses patients. En étudiant leur façon de marcher, leur accent, l’aspect de leurs mains, il devinait leur caractère, et ses premières impressions se révélaient presque toujours justes ! Sous la plume du romancier, cette étude méticuleuse, cette rigueur logique poussée à l’extrême sont devenues les armes privilégiées du génial Sherlock Holmes pour résoudre ses affaires

Affiche , B.D ? S.Holmes

Marie Duplessis, la Dame aux camélias !!!

Marie Duplessis, la Dame aux camélias

En 1848, le jeune Alexandre Dumas, homonyme et fils de l’auteur des Trois Mousquetaires, publie un roman qui fait sensation. Derrière son héroïne, Marguerite Gautier, tout le monde reconnaît une courtisane sublime et bien réelle, Marie Duplessis, foudroyée par la tuberculose l’année précédente, à 23 ans. Marie a été la reine du Tout-Paris, collectionnant les amants… dont Alexandre Dumas. Elle portait toujours des camélias, d’où son surnom, car ces fleurs sans parfum ne lui causaient pas de migraines. Dans le roman, l’écrivain reprend ce détail vestimentaire en lui donnant un tour scabreux. Les camélias que porte Marguerite lui servent à alerter ses amants de ses indisponibilités : d’habitude blancs

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, ils sont rouges

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quand elle a ses règles.!!!

Jean Valjean, alias Pierre Maurin

Jean Valjean, alias Pierre Maurin

( Image =  » J. Valjean et  » Cosette ?  »)

   En 1801, un certain Pierre Maurin écope de cinq ans de bagne pour avoir volé un pain. Le malheureux voulait simplement nourrir ses sept nièces et neveux, qui mouraient de faim… Lorsque Victor Hugo découvre ce fait divers, il y voit l’image même de l’injustice. Ce sera le point de départ des Misérables (1862), et Maurin deviendra Jean Valjean.

Phileas Fogg

Phileas Fogg .

, pas le plus rapide ?

    » Phileas Fogg,

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 » Phileas Fogg ?  »=( affiche )

c’est moi !   » se serait écrié George Francis Train

(1829-1904) en découvrant le Tour du monde en quatre-vingt jours, paru en 1872.Effectivement , deux ans avant le héros de Jules Verne (l’Anglais Phileas), ce milliardaire américain accomplit un tour de la planète en quatre-vingts jours exactement. Avant de se lancer dans cette aventure, le bien-nommé George Train a fait fortune dans le transport maritime, puis ferroviaire. Il a notamment développé le chemin de fer au Far West et le tramway en Angleterre. En 1870, c’est dans un but publicitaire, pour démontrer la rapidité des moyens modernes de locomotion, qu’il se lance dans son voyage. Vingt ans plus tard, en 1890, l’Américain ira encore plus vite, faisant le tour du monde en soixante-sept jours.

Robinson et Selkirk, deux destins solitaires :

   L’histoire d’un homme, échoué sur une île déserte et tentant de s’en échapper, semble trop folle pour être vraie. Et pourtant, pour écrire les aventures de Robinson Crusoé, le romancier Daniel Defoe s’est inspiré d’un fait réel. En 1704, lors d’une escale au large de Valparaiso, l’aventurier Alexandre Selkirk souhaite qu’on le débarque sur une île jugeant que le navire est hors d’usage. Son intuition est juste : le bateau fait naufrage peu de temps après. Mais son sort ne vaut guère mieux. L’île sur laquelle il se trouve est loin des routes maritimes. Il survit seul, pendant quatre ans. Finalement secouru en 1709, Selkirk rentre en Écosse où il devient un héros. C’est alors que Defoe s’empare de son histoire. Il publie Robinson Crusoé en 1719. Selkirk, lui, décède en 1721, l’esprit dérangé par ses années d’isolement. Et dire que, dans le roman, Robinson reste pas moins de vingt-huit ans sur son île !

( Statue de  » Robinson / Selkirk  » ) ?

Malin comme Lupin ……..

Jacob, malin comme Lupin

Jacob malin comme Lupin ?

   Le fameux gentleman cambrioleur, qui naît en 1905, sous la plume de l’écrivain Maurice Leblanc, présente bien des ressemblances avec un bandit anarchiste qui défraie la chronique, Marius Jacob. Il est lui aussi un voleur ingénieux et non violent. As du déguisement, il laisse sa carte de visite sur les lieux de ses forfaits ( un geste repris par Lupin. Marius commet des centaines de cambriolages ) s’arrangeant toujours pour faire parvenir une part de son butin à la soupe populaire !. Hélas, il est arrêté en 1903. C’est là que son chemin et celui de son frère de fiction se séparent. ……    

    Tandis que Jacob croupit au bagne de Cayenne, Arsène Lupin deviendra au gré de ses aventures, légionnaire, espion ou détective

………etc……( il y en a d’autres ! )

C’était il y a environ…..


Long , trop long

……232 ans :

Un évènement capital pour la France , même pour toutes les nations ( dont certaines , malheureusement ne tiennent aucun compte ) :

Le 26 août 1789 exactement

Du 20 au 26 août 1789, à Versailles, l’Assemblée nationale constituante,( qui remplace les états généraux ), discute la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen . ( préambule à la future Constitution que préparent les députés ) .

Ce n’est pas la première déclaration solennelle de ce genre mais c’est la première qui s’inscrit dans une optique universelle et pas seulement nationale.

   » Il ne s’agit pas d’une déclaration des droits qui doive durer un jour. Il s’agit de la loi fondamentale des lois de notre nation et de celle des autres nations, qui doit durer autant que les siècles  », déclare le député Dupont de Nemours

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Dupont de Nemours

Mirabeau

au cours de la séance du 8 août. Elle est aussi écrite dans une langue belle et relativement courte . Tous ces éléments font qu’elle reste aujourd’hui un document inégalé propre à rallier les hommes de toutes les nations.

Alors que débute la Révolution française, sous le  » regard bienveillant  » du reste de l’Europe, les députés veulent offrir au monde un texte qui résume leurs aspirations. Ils y réussissent d’une façon remarquable en s’inspirant des textes anglo-saxons.

En efet ,un siècle plus tôt, au cours de la  » Glorieuse Révolution  » , les Anglais ont en jeté les bases de la démocratie parlementaire moderne en imposant à leurs souverains le  »Bill of Rights et l’Habeas Corpus  ». Et le 4 juillet 1776, les habitants des colonies anglaises d’Amérique ont proclamé leur indépendance dans une très belle Déclaration qui a énoncé pour la première fois le  »droit au bonheur ». (???)

La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen est pratiquement la synthèse de ces textes et des idéaux politiques du  »Siècle des Lumières ». Elle s’applique à l’ensemble des êtres humains, hommes et femmes réunis.  ( Ce qui , comme chacun sait , découle du genre neutre du mot Homme, qui désigne aussi bien les femmes que les hommes dans la langue française ). Le genre neutre a d’ailleurs été repris en 1948 par les rédacteurs français de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme (en anglais : Universal Declaration of Human Rights)…

Le texte ne fait référence à aucune religion ni aucun régime politique particulier. Il ne cite ni le christianisme ni le roi. Rédigé sous le règne de Louis XVI, trois ans avant sa chute, par des députés tous royalistes, il peut être considéré comme le testament de la monarchie… ou comme son acte de décès.

Le roi, qui s’oppose de toutes les façons possibles à l’Assemblée nationale, se résout à ratifier la Déclaration le 5 octobre, sous la pression de la foule qui s’est précipitée de Paris à Versailles et sur les instances de La Fayette.

Une déclaration d’application universelle

Parmi l’Assemblée Constituante, un comité de cinq membres a été chargé de préparer le texte de la Déclaration. Ses plus remarquables animateurs sont Mounier, l’abbé Sieyès et Mirabeau

D’emblée, ils se donnent un double objectif :

– trouver  » une forme populaire qui rappelle au peuple non ce qu’on a étudié dans les livres ou dans les méditations abstraites, mais ce qu’il a lui-même éprouvé  » (Mirabeau),

– s’adresser à l’ensemble du monde et pas seulement aux Français en vue de faire  » renaître une fraternité universelle  » (Mirabeau).

Ces deux objectifs sont atteints :

Par sa clarté et sa précision, la Déclaration est un chef-d’oeuvre de la langue française et un texte de droit exemplaire.

Le texte réussit le tour de force d’énoncer les droits de l’individu en  » faisant fi  » du régime politique (monarchie constitutionnelle ou république), de la religion (il se contente d’invoquer l’Être suprême et garantit la liberté religieuse de chacun) ainsi que des différences sexuelles. Il convient aussi à toutes les époques et à toutes les sociétés.

L’Article premier, le plus beau et le plus important ( à mon avis ), énonce :  »Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune. » En deux phrases tranchantes, il récuse les privilèges et est précurseur de la condamnation de l’esclavage comme des ségrégations sexuelle, religieuse ou raciale.

( Ce texte ,  » affiche  » est  » collé  » , sur un mur de mon salon depuis ……X temps ! )

Petite vidéo :

Petit rappel :

Le texte de la déclaration :

Article premier :

– Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune.

Article 2 :

– Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l’oppression.

Article 3 :

– Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément.

Article 4 :

– La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.

Article 5 :

La loi n’a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n’est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas.

Article 6 :

– La loi est l’expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les citoyens, étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.

Article 7 :

– Nul homme ne peut être accusé, arrêté ou détenu que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu’elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l’instant ; il se rend coupable par la résistance.

Article 8 :

– La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu’en vertu d’une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.

Article 9 :

Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.

Article 10 :

– Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi.

Article 11 :

– La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.

Article 12 :

– La garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique ; cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux à qui elle est confiée.

Article 13 :

– Pour l’entretien de la force publique, et pour les dépenses d’administration, une contribution commune est indispensable ; elle doit être également répartie entre les citoyens, en raison de leurs facultés.

Article 14 :

– Les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.

Article 15 :

– La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration.

Article 16 :

– Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

Article 17 :

– La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité.

Comme je n’ai rien ….


.…..mis sur mes blogs ( ni ailleurs ) cette nuit ,si c’était dire / parler , on pourrais dire que ce fut  » motus et bouche cousue  »

Je me suis demandé d’où venait cette expression ?

motus et bouche cousue:

motus ; pas un mot ! ; reste discret ; ne rien dire  ; garder le secret

Origine et définition :

On comprend facilement l’utilisation de la formule « bouche cousue ! » pour demander à quelqu’un de se taire, car celui qui a son orifice buccal fermé par du fil à coudre a forcément beaucoup de mal à prononcer le moindre mot (ou à hurler de douleur).
Cette version initiale ,parait il ,daterait du XVe siècle.
Quant à  »motus », apparu en 1560, ce n’est pas du véritable latin, mais une simple transformation plaisante de  »mot » (peut-être par rapprochement avec  »mutus » qui veut dire  »muet »). Car dès 1480, ce mot s’emploie aussi seul sous la forme d’une exclamation avec le sens de « pas un mot ! »

Le mot signifiait  »chut! pas un mot! » au XVe siècle. Un sens que l’on retrouve seul, jusqu’au XIXe siècle.  »Motus! Je veux jouer ce jeu-là sans qu’on n’en sache rien (…) n’en dites rien aux Cruchot, ça les taquinerait », écrivait par exemple Balzac dans Eugénie Grandet, en 1834.
Il est fréquemment utilisé en renforcement de la locution initiale pour donner notre expression.

Compléments heuuuuu !

À ceux qu’on voudrait sevrer de leur fâcheuse habitude de ….sodomiser les mouches, on dirait plutôt « botus et mouche cousue ».

Exemple :

 »Hitler, son grand truc, quand les ouvriers rouspètent, c’est de les foutre sous les drapeaux. Comme ça, motus, bouche cousue !  »
Jean-Paul Sartre ( Le sursis – 1945 )

La vie …..


La vie vaut-elle la peine d’être vécue ?

On nous dit que c’est la vie……..
Mais on sent qu’elle ne vaut pas la peine d’être vécue
Heureusement qu’il y a parfois les amis
Sinon on aurait déjà tenté de passer au dessus

Mais on part de travers, on fait des erreurs
Pour essayer de créer du bonheur
Ça échoue, on fait rapprocher notre heure
On fait tout pour que s’arrête ce maudit cœur

Mais devant les gens on sourit
Pour masquer tous les soucis
Ça marche, certains croient qu’on mène la belle vie
Ne sachant pas à quel point elle est pourrie

On est nerveux et souvent angoissé,
Il y a des moments où on a envie de tout casser
On s’est loupé et là on nous suit de très près
On n’ose pas leur demander de nous foutre la paix

Reste avec ta folie et tes imperfections..


…..il suffit d’y croire / Moi je n’y crois plus depuis longtemps ….


Il y aura toujours quelqu’un qui t’aimera pour ce que tu es, c’est-à-dire toi-même !

Quelqu’un qui t’aime vraiment… Pas quelqu’un qui t’envoie cent cœurs par seconde sur les réseaux sociaux !
Je ne veux pas dire quelqu’un qui te paie tout ce que tu veux, non surtout pas.

Oh, mon cher ( ma chère ) , l’amour c’est plus, bien plus !

Je veux dire quelqu’un qui t’appelle sur ton portable à point d’heure du matin, quand les étoiles sont rares et qu’elles ne brûlent pas assez pour chauffer la nuit… Lorsque tout est si sombre et si froid et que tu ressens toutes tes peurs…

Quelqu’un à qui tu peux parler, à voix basse et entre les larmes. Quelqu’un à qui tu peux confesser tes cauchemars et ce sentiment ennuyeux qui coule dans tes veines, qui rampe dans tes os et qui te fait sentir comme si tout devait s’écrouler…

Je veux dire quelqu’un qui veut te décoiffer, et  »sans maquillage  », avec ton sweat préféré et ces baskets que tu n’as pas encore jetées, même si elles sont usées, parce qu’elles restent trop confortables.

Quelqu’un qui te veut avec tes pires facettes, les ébréchées, les rayées et les déchiquetées.
Parce qu’à ses yeux, elles sont magnifiques et parce qu’elles font partie de toi.

Et qui ne veut vraiment rien changer, même pas tes erreurs, même pas tes mauvais choix, même pas ta façon de parler en rafale quand tu es énervé, et toute la folie dont tu es fait!

Quelqu’un qui, quand tu parles, te caresse les cheveux et fait en sorte de te faire sentir en sécurité. Quelqu’un qui, quand tu te perds, te prend dans ses bras, et te serre fort contre sa poitrine. Il t’embrasse le front, les joues, le cou, les lèvres, et te fait te sentir comme à la maison…

J’espère vraiment,
Que tu trouveras quelqu’un comme ça,
Parce que, , tu le mérites…

Le vendredi 13 ……


…….porte bonheur ou malchance ?

Le vendredi 13, les clients jouent un loto en plus ou bien ils risquent dans les billets de loterie. Ils se disent ‘‘on va toujours risquer’ » (pas moi ! )

Une superstition venue en partie des religions : « Le vendredi, pour la chrétienté, on célèbre un vendredi la mort du Christ. Et en plus, le 13 est combiné avec la mort du Christ trahi par Judas qui, après, a reçu le numéro 13 », explique Bruno Dekrem ( prêtre )

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Bruno Dekrem

Pour Alain Hosselet, un marchand de volailles sur le marché d’Andenne ( Belgique ), le vendredi 13, c’est surtout le jour des pattes de lapin

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patte de lapin !

, porte-bonheurs selon lui. « Je peux vous dire que ce matin, nous en avons vendu beaucoup parce qu’il y a beaucoup de gens qui sont superstitieux. ‘‘Ah mais aujourd’hui, nous mangeons nos cuisses de lapin. Nous sommes vendredi 13’’ m’ont dit certains clients », raconte Alain Hosselet…

Alors jour de chance ou de malheur ? Il ne reste plus qu’à croiser les doigts lol

La phobie du vendredi 13 ( çà existe ) !

Le nom de cette phobie est :  » Paraskevidékatriaphobie  » !

Cette peur tirerait aussi son origine d’une phrase qu’aurait proférée le vendredi 13 octobre 1307 l’un des templiers

templier …
templier ( image du net )

arrêté et mis au bûcher sur l’ordre de Philippe Le Bel

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.  » Vous serez tous maudits, jusqu’à la 13e génération  » .

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marin-francis08@outlook.com