



POUR UNE AMOURETTE
Pour un amourette qui passait par là J ‘ai perdu la tête et puis me voilà Pour une amourette qui se posait là Pour une amourette qui m’tendait les bras
Pour une amourette qui me disait "viens" J’ai cru qu’une fête dansait dans mes mains Pour une amourette qui f’sait du bonheur J’ai fui la planète pour la suivre ailleurs
Alors je m’suis dit "t’es au bout du chemin Tu peux t’arrêter là te reposer enfin" Et lorsque l’amour s’est noyé dans ses yeux J’ai cru que j’venais d’inventer le ciel bleu
Pour une amourette qui m’avait souri Je m’ suis fait honnête j’ai changé ma vie Pour une amourette qui savait m’aimer Pour une amourette qui croyait m’aimer
Pour une amourette l’amour éternel Dure le temps d’une fête le temps d’un soleil Et mon amourette qui était trop jolie Vers d’autres conquêtes bientôt repartit
Le premier adieu a gardé ses secrets Elle emportait l’amour me laissant les regrets Mais le vieux printemps au loin refleurissait Tout contre mon cœur déjà il me disait
Une p’tite amourette faut la prendre comme ça Un jour deux peut-être longtemps quelquefois Va sécher tes larmes un nouvel amour Te guette et désarme les peines d’un jour
Une p’tite amourette un jour reviendra Te tourner la tête te tendre les bras Jouer la romance du rêve joli Et je sais d’avance que tu diras oui
Alors les amours pour toi refleuriront Tu aimeras encore à la belle saison Une p’tite amourette n’est jamais trop jolie Quand on sait d’avance ce que dure la vie |
Il a vécu tantôt gai comme un sansonnet,
Tour à tour amoureux insoucieux et tendre,
Tantôt sombre et rêveur comme un triste Clitandre.
Un jour il entendit qu’à sa porte on sonnait.
C’était la Mort! Alors il la pria d’attendre
Qu’il eût posé le point à son dernier sonnet;
Et puis sans s’émouvoir, il s’en alla s’étendre
Au fond du coffre froid où son corps frissonnait.
Il était paresseux, à ce que dit l’histoire,
Il laissait trop sécher l’encre dans l’écritoire.
Il voulait tout savoir mais il n’a rien connu.
Et quand vint le moment où, las de cette vie,
Un soir d’hiver, enfin l’âme lui fut ravie,
Il s’en alla disant: Pourquoi suis-je venu?
La police et le gouvernement supportant de moins en moins la facilité avec laquelle ils opéraient et leur mythification par les médias, tous les moyens furent déployés pour les contrer. Ainsi fut mis au point un dispositif anti-postiche dans les agences bancaires parisiennes. Ce système était loin d’être efficace, mais les postiches sentirent que l’étau se resserrait autour d’eux. Ils devinrent plus méfiants, plus nerveux et moins courtois avec les otages.
Le 14 janvier 1986, le dispositif se déclencha, impliquant la BRB et la BRI autour de l’agence du Crédit Lyonnais du 39 rue du Docteur-Blanche, dans le 16e arrondissement de Paris et, cette fois, il fut efficace. Les policiers encerclèrent discrètement la banque en sachant que le gang était à l’intérieur, pour les arrêter après leur sortie. Cependant, quand ils sortirent la situation dérapa, du fait de l’action inconsidéré du chef de la BRB, Raymond Mertz. En effet, comme à l’habitude dans ce genre de situation, et comme la hiérarchie en avait elle-même donné l’ordre, il était convenu de ne pas interpeller les malfaiteurs à leur sortie de la banque, mais de les filer pour procéder à l’arrestation dans un environnement plus propice. Mais le policier décida d’interpeller, seul, les malfaiteurs au moment où ils s’apprêtaient à quitter les lieux en voiture. Il y eut une fusillade, un des gangsters, Bruno Berliner, et le policier Jean Vrindts furent tués. De plus, il y eut 3 policiers blessés. Certains braqueurs réussirent à s’enfuir. Ce fiasco révélera de graves dérives au 36 quai des Orfèvres. Bruno berliner, pendant quelques années au vert dans la campagne ornaise, ne finira pas sa maison du "champs de la pierre"
Jean-Claude Myszka, André Bellaïche et Patrick Geay furent arrêtés en décembre 1986 dans une villa à Yerres après presque un an de cavale.
L’un des policiers:, Dominique Loiseau, présent le 14 janvier 1986 fut accusé d’être un policier ripoux. Il fut jugé et condamné pour cela. Mais il existe des doutes sur la réalité des faits. Après presque 7 ans de prison, ce dernier fut gracié par François Mitterrand en 1993.
Le destin des anciens membres du gang des postiches :
En 2004, l’affaire du gang des postiches rebondit. Le tueur en série Michel Fourniret avoue que sa fortune est celle du gang des postiches dont il s’est emparé à sa sortie de prison. En effet, après s’être lié d’amitié avec l’un des membres du gang durant un séjour en prison, M.Fourniret a assassiné la femme de celui-ci pour voler le butin. Les lingots d’or volés durant les années 1980 par le gang étaient dissimulés dans des cimetières.
Il l’aurait alors utilisé pour financer ses meurtres.!!!!!!!
Bien entendu toutes cesinfos sont sujet à caution…………….Mais celà m’aura permis de faire un billet cette nuit….