A force de remettre à demain ce que j’aurais du faire la veille , au lever ( tardif comme il se doit ) , je n’avais plus rien à manger ; frigo et placard étant vides ( ne me restait qu’une tranche de jambon périmée ! ) …….Une fois mon café noir avec un reste de pain tartiné d’une mince noisette de beurre avalé , je pris une douche ( froide , chaleur oblige ) et me lançais vers le super-marché en haut du village perché ….Trajet épuisant s’il en est : La montée et la chaleur y étant pour beaucoup et là , une fois arrivé sur le parking : Horreur ! Je trouvais portes closes !!!! pffffff…Pourquoi ? Je ne sais ….Bref , je suis redescendu vers le village et m’arrêtais à mon ancienne superette ,là où les prix sont plus élevés , mais nécessité faisant loi ……j’y fis mes achats ; conserves et surgelés ( dont des glaces ) en priorité vu que je ne cuisine plus beaucoup ,ajoutant à ceci quelques fruits et « produits frais » ….Après avoir échangé quelques banalités avec mon successeur dans le magasin , je rejoignis mon antre …où je trouvais le pain à ma porte comme il se doit quand je ne passe pas chez ma chère boulangère …Là , je bus un coca bien frais , mis au frigidaire les produits qui l’exigeaient et….ressorti illico pour acheter ma dose de nicotine habituelle ….( Idem : Quelques mots échangés avec le buraliste sur la pluie et le beau temps lol ) .
Enfin ,je pus m’affaler dans le canapé en gobant la télé …..Et me jurant que la semaine à venir , j’irais chez le coiffeur absolument ( non pas qu’avoir les cheveux longs me gêne , mais parce que ,là encore la chaleur m’y contraint )
Passionnant n’est ce pas ???? Félicitations et merci à vous qui vous seriez arrêtés sur ces mots sans aucun intérêt , si ce n’est de m’occuper quelques temps ….
Tous, nous voulons vivre Vivre libres nous voulons Qui peut dire je suis libre ? Dans le monde où nous vivons Dans le monde où nous vivons Dans le monde où nous vivons
Qui peut dire je suis libre ? Quand je sais une prison Un innocent doit y vivre Tant que durent les saisons Tant que durent les saisons Tant que durent les saisons
Il n’y a pas d’homme libre Un innocent meurt en prison Un innocent meurt en prison Un innocent meurt en prison
Car nous voulons, car nous voulons La liberté qui nous fait envie Et nous prendrons, et nous prendrons Et nous prendrons pour changer la vie Le poing et la rose, la rose et le poing Le poing et la rose, la rose et le poing
Tous, nous voulons dire En entrant dans la cité En échange d’un sourire J’ai connu la dignité J’ai connu la dignité J’ai connu la dignité
Que rien ne soit immobile Dans notre vie de demain Nos enfants vers l’impossible Nous montreraient le chemin Nous montreraient le chemin Nous montreraient le chemin Et je voudrais que leurs rêves Viennent un peu bousculer les miens Viennent un peu bousculer les miens Viennent un peu bousculer les miens
Car ils voudront, car ils voudront La liberté qui leur fait envie Et ils prendront et ils prendront Et ils prendront pour changer la vie
Le poing et la rose, la rose et le poing Le poing et la rose, la rose et le poing
Une autre :La grande farce :
Les paroles :
« Enfin, je vais être ce que tu as voulu Voici le jour des jours, une autre humanité Ils vont enfin savoir pourquoi ils sont venus Et le prix de la vie et de l’éternité
Je vais marcher la tête haute, me tenir droit Tu peux me regarder tu seras fier de moi Je vais chanter ton nom tout au long du chemin Pour leur apprendre à vivre, leur montrer le divin
Ils peuvent me frapper et me jeter des pierres Ils peuvent rire de moi, de ma bouche tordue C’est vrai que ça fait mal sur les reins la lanière C’est vrai que ça fait mal qu’ils me crachent dessus
Mais surtout n’aie pas peur, aie confiance en moi Je sais je vais tenir parce qu’il faut que je tienne Et chasser le désordre pour que ton ordre vienne Pour qu’ils sachent enfin qu’ils ont besoin de toi
Mais ça fait mal tu sais, ça tourne dans ma tête Mais ils frappent trop fort, je n’en peux plus déjà Et ils chantent, ils rient, ils se croient à la fête Parce qu’ils ne savent pas, parce qu’ils ne savent pas
Je ne sais pas non plus et je ne comprends pas Mais je ne renie rien, j’ai accepté le rôle Mais je ne savais pas le prix de chaque pas Ton dessein est trop grand, trop grand pour mes épaules
Arrêtons maintenant et dis-leur s’il te plait Oui dis-leur qu’ils me laissent m’en retourner chez moi Surtout ne m’en veux pas, j’ai essayé tu sais Le chemin est trop long et trop lourde la croix
Oh, viens je t’en supplie, viens pour que tout s’arrête Et dis-leur maintenant ce qu’ils doivent savoir Dis-leur tout si tu veux, mais maintenant arrête ! Je vais pleurer, je vais crier, j’ai peur du noir
Mais dis-leur maintenant, dis-leur que tu es Dieu Dis-leur que tu es bon, généreux et puissant Garde pitié de moi et regarde mes yeux Deux trous d’éternité et de larmes de sang
Mais tu n’écoutes rien du haut de ton empire Mais je suis à leurs pieds et je vais te maudire Arrête maintenant ! Arrête, je n’en peux plus ! Je vais te faire honte et me pisser dessus
Non ça n’est pas Judas qui m’a trahi le plus Même trente deniers, la pauvreté est garce Judas criait famine, Judas marchait pieds nus Mais toi, dis, toi, c’est pour la sainte farce !
Je voudrais maintenant, je voudrais qu’une femme Me fasse enfin crier, tout comme au premier jour Et tant pis pour l’enfer et tant pis pour mon âme Mais avant de mourir, mourir aussi d’amour
Tu m’as fait fils de Dieu, sur l’épaule une croix Et moi, je voulais vivre et avoir des enfants Et vieillir près d’une femme qui me dirait parfois «Tu t’en souviens dis, tu t’en souviens d’avant ?»
Enfin tu as gagné, enfin je me résigne Je vais dire les mots, tous les mots que tu veux Je vais jouer le jeu, je vais faire le signe Pour que le feu enfin me délivre du feu
Je vais parler d’espoir et de miséricorde Dire qu’il n’y a que toi quand on parle d’amour Oui, mais je t’en supplie qu’ils tirent sur la corde Et qu’ils frappent plus fort et qu’ils frappent plus lourd
Je sais que c’est la fin, que tu ne viendras pas Moi je suis jeune encore et je suis vieux déjà La parole donnée, c’est vrai j’ai cru en toi Mais tu veux qu’on te craigne et tu ne m’aimes pas
Regarde-moi mon père, j’ai rempli mon office Je t’ai suivi en tout, jusqu’au dernier supplice Mais je crie maintenant, mais je crie maintenant Sois maudit, sois maudit jusqu’à la fin des temps !
Oh non, je te le jure, je n’ai pas dit cela Oh non, je t’aime, je t’aime et je n’aime que toi Mais j’ai si peur, mais j’ai si peur et j’ai si froid ! » Ainsi parlait Jésus sur son chemin de croix.
Et puis monsieur, madame, mademoiselle. [BIS x4] Sachez qu’en ce moment, je suis bien fatigué J’en ai marre[BIS x4] Je voudrais bien me reposer J’en ai marre d’aligner des paroles et des paroles Pas compris… J’en ai marre d’aligner des paroles et des paroles C’est ma façon faire de la musique sans musique Je suis bien fatigué J’en ai marre[BIS x4] Je voudrais bien me reposer Et puis monsieur, madame, mademoiselle[BIS x4] Sachez qu’en ce moment, je suis bien fatigué J’en ai marre[BIS x4] Je voudrais bien me reposer