»etxeko bixkotxa » ????


Malgrè son apparence,ce mot ( etxeko bixkotxa) n’est pas constitué de lettres tapées au hasard sur mon clavier ! En fait, il désigne un gâteau ….

……l’etxeko bixkotxa

Pour être plus précis ; un gâteau basque son nom se traduit en français par  » biscuit maison  » lol (C’est tout de même plus facile à prononcer ).Gâteau de fête du Pays basque ,de forme ronde,il est composé d’un biscuit aux garnitures variées : crème pâtissière au rhum et à la vanille ,crème d’ amande ou confiture noire d’  »ltxassou » ( ? )sont les plus courantes.

récolte de cerises d’Itxassou

Ce délicieux (parait-il)dessert s’est fait connaitre un peu partout en france .Il a même sa propre fête ,organisée en octobre dans la station thermale de Cambo-les-Bains au Pays basque.

Pays basque

Encore plus sur l'origine de ce gâteau :

Le gâteau basque : une recette familiale née au XVIIIe siècle 

De son nom basque « etxeko bixkotxa », le gâteau basque signifie littéralement  » gâteau de la maison  » ou  » biscuit maison » ( peu importe ) . C’est une recette familiale que l’on doit à Marianne Hirigoyen, pâtissière de l’unique pâtisserie de la ville thermale de Cambo-les-Bains. Encore aujourd’hui, la garniture originale de ce gâteau est controversée et le débat continue de faire rage entre les adeptes du gâteau basque à la cerise ou à la crème pâtissière. Une chose est sûre, chacun à son  »chouchou  », mais chez Maison Adam, on les aime tous. 

Gérante de la pâtisserie de Cambo-les-Bains dès 1832, Marianne Hirigoyen était également surnommée  »’ la basquaise aux gâteaux  » lors de ses passages sur le marché de Bayonne. Elle confectionnait alors un gâteau nommé le  » Bixkotxa  », à la fois croustillant et moelleux. Il a rapidement été victime de son succès, attirant les curieux de la région et des figures importantes comme Napoléon III

Napoléon III

et Eugénie de Montijo

Eugénie de Montijo

en 1856 et 1858. 

Cambo-les-Bains

Initialement appelé gâteau de Cambo, c’est bien le surnom de Madame Hirigoyen,  » la basquaise aux gâteaux  » qui donnera au gâteau basque son nom actuel. Il restera fabriqué principalement dans les foyers du Pays-Basque et dans cette pâtisserie de Cambo-les-Bains jusqu’à la fin du XIXème siècle. 

Le gâteau basque s’exporte de la maison à l’artisanat :

On le voit aujourd’hui décliné en plusieurs garnitures, tailles et formes : le gâteau basque est devenu un véritable incontournable du Pays-Basque et la Maison Adam se l’est approprié depuis plusieurs décennies afin de proposer le meilleur gâteau basque du Pays-Basque. Le gâteau basque à la crème pâtissière et son rival à la cerise ont été rejoint par les gâteaux basques à l’abricot et aux noix ainsi que par le désormais incontournable gâteau basque au chocolat, qui ravit les papilles des plus gourmands au quotidien. 

Mais  »revenons-en à nos moutons » : Comment le gâteau basque est-il passé de la Maison au sens large et à l’étal de Madame Hirigoyen

Mme Hirigoyen (en famile ?)

aux étals de tout le Pays-Basque et à ceux de la Maison Adam ? 

Maison Adam ? 

C’est à la fin du XIXème siècle et au début du XXème que le Gâteau Basque prend peu à peu sa place dans le commerce, en commençant par les boulangeries. Tout d’abord connu et commercialisé localement, c’est dans les années 40 et grâce à l’essor du tourisme balnéaire que le Gâteau Basque obtient peu à peu le succès qu’on lui connait aujourd’hui. Peu à peu, il commence à faire figure d’incontournable pour les locaux comme pour les touristes et finit par se standardiser autour de deux garnitures phares : la crème pâtissière et la cerise. 

Le gâteau basque Maison Adam : reconnaissable à sa croix basque

Maison Adam :  »Vous ne pourrez plus vous tromper ! Notre gâteau basque est le seul gâteau basque orné de la croix basque, ou croix « lauburu », faite en pâte sablée, créée par notre père Jean-Pierre Telleria, il y a bien des années… Elle bénéficie d’un brevet qui la rend unique et reconnaissable parmi tous les gâteaux basques

Gâteau  »Maison Adam  » avec la croix

( Vous la trouverez dans son plus simple appareil sur le gâteau à la crème pâtissière, ornée d’une cerise noire pour notre gâteau basque à la cerise noire, surmontée d’une noix sur notre gâteau basque abricot/noix et enfin couleur chocolat sur le gâteau basque au chocolat.) = Pub de la Maison Adam  

L’opération  »Greif » de 1944…..


….qu’est ce que c’est ?

On connaît les opérations d’intoxication menées par les Alliés, durant la Seconde Guerre mondiale, pour tromper les Allemands. Ils utilisèrent en effet,notamment durant le débarquement de 1944, de fausses troupes et des tanks en caoutchouc.

Mais les Allemands ne furent pas en reste. Hitler en personne pense à une opération de ce genre, dans le cadre de sa contre-offensive dans les Ardennes, durant l’hiver 1944-1945.

Cette opération, appelée  » Greif  » (Griffon), consiste à placer en position avancée des troupes sous uniforme américain, chargées de prendre certains ponts sur la Meuse. Elle est confiée à Otto Skorzeny

Otto Skorzeny

, qui s’était rendu célèbre, l’année précédente, en enlevant Mussolini dans le nid d’aigle où il était emprisonné.

Cependant, Skorzeny n’est guère enthousiaste. Il se demande quel sort sera réservé à ses hommes s’ils sont capturés alors qu’ils portent l’uniforme américain

Soldat U.S

. Par ailleurs, il se doute des difficultés de l’opération.

Et, de fait, il est difficile d’obtenir le nombre d’hommes suffisant, encore plus compliqué de trouver des Allemands maîtrisant suffisamment l’anglais. On n’en trouve guère plus d’une centaine le parlant assez couramment, les autres n’en ayant qu’une pratique scolaire.

Ce qui n’empêche pas l’opération d’être minutieusement préparée. En effet, on va jusqu’à apprendre aux soldats à ouvrir un paquet de cigarettes ou à offrir du feu comme étaient supposés le faire des Américains.

L’échec de l’opération:

Dans l’ensemble, les résultats de l’opération furent loin de répondre aux attentes. Aucune des équipes de Skorzeny ne parvint à s’emparer d’un pont ou à franchir la Meuse.

Plusieurs  » choses » expliquent cet échec : En premier lieu, le déploiement de ces faux bataillons américains fut entravé par le retard pris par la contre-offensive allemande. Par ailleurs, les Américains eurent vent de l’opération   »Greif  » et savaient donc à quoi s’attendre.

Et ce d’autant plus que Skorzeny commit des maladresses. En effet, les soldats, toujours sous uniforme américain, qu’il envoya en reconnaissance, éveillèrent les soupçons des Alliés : ils étaient trop nombreux dans des jeeps dont les phares n’étaient pas réglés comme ceux des véhicules militaires américains !? .

Confondu avec un mannequin……


……..le cadavre de ce hors-la-loi a fait carrière dans le spectacle et le cinéma

La vie du braqueur de trains ElmerMcCurdy s’est brutalement terminée en 1911. Pourtant, son corps momifié a fait l’objet d’un véritable trafic qui l’a emmené jusque sur de célèbres plateaux de tournage.

À la fois absurde, glauque et haletante, c’est une histoire qui a tout d’une   » légende urbaine  » ( une   » fake new  » ). Pourtant les pérégrinations d’Elmer McCurdy sont totalement véridiques bien que leur exactitude varie selon les sources, la principale étant une biographie signée par Mark Svenvold :   »Elmer McCurdy: The Misadventures in Life and Afterlife of an American Outlaw   ».

La vie de cet américain né en 1880 dans le Maine est digne d’un véritable western . Il grandit entouré de ses deux parents mais découvre à l’âge de 10 ans que sa mère et son père sont en réalité un oncle et une tante. Sa véritable génitrice, trop jeune pour l’élever, l’a abandonné et son père biologique ne l’a pas reconnu.

Ce choc le pousse rapidement dans l’alcool. Il décide aussi de se trouver une nouvelle famille auprès de l’armée américaine dans laquelle il s’engage pendant 3 ans. Discipline, stratégie, maniement des armes et des explosifs… de retour à la vie civile, il met à profit ses compétences pour devenir hors-la-loi et rejoindre une bande de pilleurs de banques de l’Oklahoma.

Seulement, son groupe de braqueurs ressemble plus aux  » Daltons  »qu’aux  »7 mercenaires  ». Dans leurs méfaits, ils planifient l’attaque d’un train et s’emparent d’un coffre contenant 40 000 dollars. McCurdy, décide de l’ouvrir à la nitroglycérine mais réduit l’intégralité du butin en cendres. Pour se rattraper, ils relancent l’opération mais se trompent de convoi et repartent avec la coquette somme… de 46 dollars. Sa tête mise à prix, le bras cassé se fait pister par la police qui remonte jusqu’à son ranch un jour d’octobre 1911 et le tue d’une balle dans la poitrine.

Une momie trimballée à travers les États-Unis

Pour n’importe qui ce coup de feu fatal aurait été synonyme de fin. Mais pas pour Elmer McCurdy dont le corps n’est réclamé par aucun proche et finit entre les mains du croque-mort  du coin. Il se trouve que le fossoyeur est un expert en embaumement à l’arsenic. Il décide de mettre son art au service du criminel et le travail est tellement bien réalisé qu’il expose la momie dans son magasin comme preuve de son savoir-faire. Encore mieux, il fait payer la visite aux plus curieux et l’attraction connaît un tel succès qu’elle commence à attirer les convoitises.

En 1916, deux demi-frères d’Elmer McCurdy finissent par faire surface pour réclamer la dépouille et lui offrir des funérailles. Il s’agit d’un coup tordu, les deux proches sont en réalité des forains et font du cadavre (acquis gratuitement) la pièce maîtresse de leur cirque ambulant qui sillonne les États-Unis. Devenu professionnel du spectacle malgré lui, McCurdy change plusieurs fois de propriétaire : un réalisateur l’utilise comme élément de décor lors d’une avant-première, le conservateur du Musée du Crime l’ajoute à sa collection, un accessoiriste lui donne même un rôle dans le film d’horreur   »She freak   » sorti en 1967.

Un bras se décroche dans un train fantôme

La folle épopée du macchabée se termine en 1976. À ce moment-là, son parcours a été tellement sombre et chaotique que tout le monde a oublié qu’il s’agit d’un véritable cadavre . Personne ne s’étonne donc de le voir surgir de l’obscurité dans le train fantôme du parc d’attractions de Long Beach en Californie.

C’est aussi l’époque d’une série culte,  ‘l’homme qui valait trois milliards », qui investit le parc pour le tournage de son épisode Carnaval d’espions. Pour les besoins d’une scène, un technicien décide de déplacer ce qu’il croit être un mannequin mais dans la manœuvre, un bras se décroche et laisse apparaître un os humain . Stupeur.

Le pauvre Elmer McCurdy arrive finalement sur la table d’un médecin légiste qui examine consciencieusement le corps et découvre, dans sa bouche, un ticket d’entrée pour le musée du Crime ainsi qu’une pièce de 1 cent datée de 1924. Ces quelques éléments ont permis de retracer son incroyable parcours qui s’est achevé 66 ans après sa mort dans un cimetière de l’Oklahoma. 300 anonymes se sont rendus à ses funérailles et une dalle de béton a été coulée sur son cercueil pour dissuader des personnes malintentionnées de relancer sa carrière.

Corps/momie d’E.McCurdy ?
La tombe du hors-la-loi

Une deux CV en bois …..


….unique au monde et prête à rouler, à vendre aux enchères

Dimanche 4 juin 2023, à Montbazon, près de Tours, cette deudeuche, fabriquée pendant cinq ans par un menuisier à la retraite, sera en vente à partir de 150 000 euros.

Aymeric Rouillac, le commissaire-priseur et Michel Robillard, le concepteur de la 2CV
Aymeric Rouillac, le commissaire-priseur, et Michel Robillard, le concepteur de la 2CV

C’est un petit bijou, qu’on aura peut-être l’occasion de conduire. Une magnifique 2CV totalement en bois, fabriquée par un menuisier à la retraite, va être vendue aux enchères le dimanche 4 juin 2023, à Montbazon, près de Tours (Indre-et-Loire).

Prix de départ : entre 150 000 et 200 000 euros, selon le commissaire-priseur Aymeric Rouillac , en charge de la vente. Il s’est basé sur le  » record mondial pour une 2CV  » adjugée à 176 000 euros et espère bien le battre. 

En bois fruitier

Comme on peut lire sur le détail de la vente, il s’agit d’une  » automobile quatre places entièrement réalisée en bois fruitier : noyer pour les ailes avant et arrière, poirier et pommier pour la carrosserie, merisier pour le remplissage des portes et le coffre arrière, loupe d’orme pour le tableau de bord  », ainsi qu’une  » capote noire en alpaga  » et la  » sellerie en tissus gris  ».

Si jamais quelqu’un compte rouler avec, c’est tout à fait possible : la  »deudeuche » est passée au contrôle technique cette année et possède un certificat d’immatriculation (en date de 1957) en règle (GN 597 TV). 

Cinq années de travail

Mais ce qui encore plus unique pour cette voiture, c’est sa conception. Elle le fruit du travail acharné de Michel Robillard, 74 ans, qui a passé 5000 heures dessus, nuit et jour, pendant cinq ans. 

Michel Robillard, 74 ans, a passé 5000 heures à construire cette voiture
Michel Robillard, 74 ans, a passé 5000 heures à construire cette voiture 

Pour réaliser son projet, il s’est basé sur un châssis de Diane 6 de 1966 et un moteur de 3CV, mieux adapté pour accueillir la carcasse en bois (600 kilos). Il a terminé son œuvre en septembre 2017. Sur route, sa  »Belle Lochoise  », comme il l’appelle, atteint 80 km/h. Mais elle n’est pas vraiment destinée au transport. 

Un autre projet en tête

Ces dernières années, elle a enchaîné pas moins de 150 salons automobiles et d’artisanat. Elle est même mise à l’honneur dans la collection  » Citroën Origins  » du musée virtuel de L’Aventure Citroën ….

Mais chaque aventure a une fin et Michel Robillard, qui cède sa 2CV avec  » un pincement au cœur  », a d’autres projets : ‘ réaliser une DS21 Cabriolet coupé Chapron, dans 27 mois, pour fêter les 70 ans de la DS.  »

A quand la Traction Avant ? 

Pourquoi les cafards…..


……….. seraient-ils plus vieux que les dinosaures ?

Les cafards sont des hôtes plutôt gênants, qu’on ferait tout pour chasser de nos maisons. Mais même les insecticides les plus puissants ont du mal à venir à bout de ces bestioles qui s’adaptent à tout.

Et c’est bien pourquoi les cafards peuplent la terre depuis si longtemps. De fait, ils y seraient apparus bien avant les dinosaures. La récente découverte d’un fossile de cafard, qui vivait dans les marais tropicaux d’Amérique du Nord, vient de le confirmer.

I l s’agit d’un cafard de 9 centimètres, donc bien plus grand que l’insecte actuel. Mais il lui ressemble beaucoup et appartient bien à la même espèce. Et, d’après les spécialistes, ce fossile aurait environ 300 millions d’années. Ce qui fait du cafard l’une des espèces vivantes les plus anciennes que la terre ait portées.

Non seulement les cafards

un cafard

étaient là bien avant les dinosaures,

dinosaure

mais, on le sait, ils leur ont survécu. Ils ont donc résisté au cataclysme provoqué par l’astéroïde de 10 kilomètres de long qui, voilà 66 millions d’années, s’est écrasé sur la terre.

Ce choc prodigieux a provoqué de très puissants séismes et des éruptions volcaniques. Le ciel, rempli de poussières, s’est voilé durant les longs mois d’un hiver sans fin. On estime qu’environ les trois quarts des plantes et des animaux, dont les dinosaures, ont péri dans cette catastrophe.

Mais le cafard, lui, a survécu. Comment expliquer son extraordinaire résistance ? D’abord par sa morphologie. En effet, le corps du cafard est extrêmement plat, ce qui lui permet de s’introduire dans le moindre interstice.

Il s’est donc réfugié dans une crevasse ou une anfractuosité de la roche, en attendant des jours meilleurs. Et la nourriture n’a pas non plus été un problème. En effet, cet insecte omnivore se nourrit de tout : d’un peu de graisse, des cadavres d’autres insectes ou même d’excréments.

Et il aurait même pu se réfugier dans une oothèque, ( terme désignant la coque), très résistante, qui contient les œufs de certains insectes, comme le cafard ou la mante religieuse.

Il a (j’ai) le cafard ,s’enuuie ….

Insolite …..


1. Des chameaux botoxés disqualifiés d’un concours de beauté !

chameaux  » botoxés » ?

C’était début décembre 2022: des dizaines de chameaux victimes d’injections de botox. Quarante-trois animauxont été exvlus du concours organisé parle roi d’Arabie saoudite . Des disqualifications en cascade qui ont causé un scandale au niveau local. Avec des prix allant jusqu’à 58,5 millions d’euros, le festival organisé par le roi saoudien est un rendez-vous annuel ancré dans la tradition bédouine alors qu’il accueille des éleveurs venant de tout le Golfe.

Un concours de beauté qui départage les chameaux sur quelques critères principaux : la forme et la taille des lèvres, celles du cou et celles de la bosse. Et c’est justement sur ces zones que se sont portés les soupçons des organisateurs de l’événement. A la suite de l’examen physique, un passage aux rayons X a montré que plusieurs dizaines d’animaux avaient subis des injections de botox. 

2. Une drôle de grenade

En avril , la police allemande de Bavière a été alertée par un joggeur pensant avoir trouvé une grenade à main dans un sac dans la forêt. 75 ans après la Seconde Guerre mondiale, il peut être fréquent de tomber sur d’anciennes munitions dans la forêt. Mais sur place, les policiers inspectent le contenu du sac et s’aperçoiventqu’il s’agit en fait d’une réplique de grenade  en caoutchouc. 

Ils trouvent également du lubrifiant et des préservatifs dans le sac, ne laissant plus beaucoup de doutes sur  »la réelle fonction  » de l’objet. Après des recherches sur internet, ce qui semblait être une arme de la Seconde Guerre mondiale était en fait un sextoy

sextoy /grenade ?

. La police n’a en revanche pas précisé si quelqu’un s’est manifesté pour récupérer le sac égaré.

3. Un fan un peu trop fan

Le 25 novembre 2021, soit pile un an après la mort de la légende du football Diego Maradona

Maradona

, Walter Rotundo, un Argentin de 39 ans, est devenu l’heureux père d’un petit garçon, son troisième enfant, qu’il a appelé …Diego »  Ce qui est plus fou, c’est que le petit « Diego » a rejoint au foyer ses deux soeurs de 10 ans, prénommées… « Mara » et « Dona ».

Walter Rotundo a expliqué à l’AFP qu’il n’avait jamais rencontré Maradona, mais lui avait envoyé, il y a dix ans, une photo de ses jumelles nées d’une précédente union, en lui expliquant que leurs prénoms constituaient un hommage. 

4. Grossesse XXL

Autre histoire insolite autour des naissances, ( au Mali cette fois). Début mai, une jeune Malienne qui pensait être enceinte de septuplés a finalement accouché au Maroc de NEUF bébés  , cinq filles et quatre garçons. Le porte-parole du ministère marocain de la Santé, Rachid Koudhari, a dit à l’AFP ne pas avoir connaissance d’une telle naissance multiple dans un hôpital du pays.

Originaire de Tombouctou au nord du Mali, Halima Cissé avait été prise en charge à Bamako, puis transférée le 30 mars au Maroc pour un meilleur suivi de cette grossesse qui « sort de l’ordinaire », selon le ministère malien de la Santé. 

5. Un titre pas comme les autres

La Belgique n’est toujours pas championne du monde de football mais peut se targuer d’un autre titre : celui de champion du monde décorticage de crevettes grises .

La compétition s’est tenue en août près de Dunkerque et c’est donc la Belge Katty Vanmassenhove qui a été sacrée en décortiquant 116 grammes de crevettes grises en 10 minutes. 

6. Un croissant dans un arbre

Dans la catégorie « fausse alerte », direction la Pologne . En avril, des inspecteurs en charge de la protection animale ont fait part de leur perplexité après avoir été contactés pour interpeller un animal qui présentait une allure dangereuse. La Société de protection des animaux de Cracovie a raconté avoir reçu un appel désespéré d’une habitante : « Cela fait deux jours qu’il est dans un arbre en face de la maison ! Les gens n’ouvrent pas leurs fenêtres parce qu’ils ont peur qu’il entre chez eux. Il est marron, il est posé dans un arbre ».

Les agents de la SPA ont aussitôt pensé qu’il pouvait s’agir d’un oiseau de proie. Sur place, les inspecteurs sont tombés nez-à-nez avec l’objet de toutes les attentions, installé dans un lilas. Un bien drôle d’animal, puisque celui-ci n’avait « ni pattes ni tête ». Et pour cause : la mystérieuse créature était un croissant

7. Il retrouve son portefeuille perdu en Antarctique en 1968

Si quelqu’un a perdu son portefeuille récemment, qu’il garde espoir : un Américain de 91 ans a réussi à retrouver le sien, égaré en Antarctique il y a plus d’un demi-siècle ! Paul Grisham,

Paul Grisham, ( avec le porte feuille ? )

ex-météorologiste de la Marine américaine, ne se souvenait même plus d’avoir perdu l’objet quand des inconnus l’ont contacté pour le lui remettre par courrier . 

La découverte fortuite s’est faite au moment de la destruction en 2014 de la base scientifique sur l’île de Ross où était stationné le marin en tant que prévisionniste d’octobre 1967 à novembre 1968. Le portefeuille de Grisham était ainsi caché derrière un vestiaire et contenait, entre autres, sa carte d’identité de la Navy, son permis de conduire, des consignes en cas d’attaque biologique ou chimique, et… un ticket de rationnement pour la bière.

NUL!!!!!!

C’était il y a environ 91 ans


Albert Londres, le Georges Philippar et les mystérieux agents  » bolchéviques  »

Le 16 mai 1932, le Georges Philippar 

le Georges Philippar 

.….achève tragiquement sa (  »courte » ) carrière dans le golfe d’Aden. Le somptueux paquebot, lancé 18 mois plus tôt à Saint-Nazaire , vient en effet d’être ravagé par les flammes alors qu’il s’apprêtait à achever le long voyage qui le mena, quelques jours plus tôt, en Chine et au Japon. Très vite les experts déclarent qu’un court-circuit serait à l’origine du drame. Pourtant, dans la presse, une toute autre théorie voit le jour : il pourrait s’agir d’un attentat. Si cette hypothèse est aujourd’hui écartée, elle est encore largement répandue pour expliquer les conditions mystérieuses entourant la mort de l’un des passagers, Albert Londres. Ce dernier, qui venait tout juste de réaliser une enquête sur les trafics d’armes et d’opium en Chine, aurait indiqué à de nombreux proches qu’il était sur le point de publier d’importantes révélations dont il conservait jalousement le secret. Était-ce un motif suffisant pour mettre le feu au paquebot ? Cette thèse n’est pas retenue par la presse bretonne qui préfère, au moment des faits, incriminer les  » bolchéviques  » dont l’activisme menace, depuis plusieurs années, la flotte française.

Les rescapés du Georges Philippar.

L’annonce de la terrible tragédie, le 17 mai, fait naturellement la une de l’ensemble des quotidiens bretons. Devant se contenter des informations partielles ( souvent contradictoires )qui leur sont délivrées par télégrammes, les rédactions ne peuvent que fournir un contenu approximatif à leurs lecteurs. Ainsi, quand L’Ouest-Eclair annonce que 675 passagers auraient été sauvés, La Dépêche de Brest n’en recense que 541… Même la présence d’Albert Londres

Albert Londres

sur le paquebot est sujette à débats entre les différents journaux. Certains, comme L’Ouest républicain, continuent d’affirmer, plusieurs jours après le drame, qu’il demeure encore un espoir que le journaliste s’est finalement embarqué sur un autre navire.

Au fil des jours, la publication des premiers témoignages de rescapés permet de mieux comprendre le déroulement du naufrage. De terribles détails sont alors portés à la connaissance des lecteurs bretons, . L’Ouest-Eclair révèle notamment que des scènes  » indescriptibles et inimaginables se sont déroulées dans les cabines et dans les salles de première classe où le feu, alimenté par les boiseries et les tentures, s’est propagé avec une rapidité foudroyante  ». Pour échapper à l’asphyxie et aux brûlures, certains passagers n’ont alors pas d’autres choix que de se jeter dans les eaux chaudes du golfe d’Aden où, détail glaçant, ils aperçoivent de  » manaçantes silhouettes de requins  »..

Mais le la publication de certains témoignages vient très vite semer le trouble quant à l’origine accidentelle de l’incendie. Dès le 22 mai, L’Ouest-Eclair reproduit  la déclaration faite à Marseille par le commandant Vicq

commandant Vicq ?????

….qui assure avoir lui-même constaté plusieurs départs de feu.

Il n’en fallait pas plus pour agiter les médias qui décident de mener leurs propres enquêtes. Ainsi, quelques jours plus tard, le Quotidien catholique  recueille les propos  »suspicieux » d’un officier-mécanicien qui, de son côté, certifie qu’un court-circuit n’aurait pas pu entraîner une propagation aussi rapide du feu. Plus loin, dans la même édition, une rescapée,  » Madame Valentin  », lâche pour la première fois le mot : il s’agirait, selon elle, d’un  » attentat  ». Cette thèse prend d’autant plus d’ampleur qu’un inspecteur de la Compagnie du Canal de Suez assure, pour sa part, que peu après son départ de France, quelques semaines plus tôt, une  » machine infernale  » avait été découverte, à bord du navire, avec un minuteur réglé pour exploser  » au moment où le Georges Philippar se serait retrouvé au milieu du Canal de Suez  ». Autre détail troublant, selon les journalistes, le commandant aurait lui-même reçu plusieurs lettres de menaces dont il n’aurait pas tenu compte. Si tous les passagers ne partagent pas cette version des faits ( y compris le commandant Vicq qui tente, après sa sortie médiatique remarquée, d’apaiser les esprits ), c’est bien la rumeur de l’attentat qui prend le pas sur l’information dans la presse bretonne.

 » Madame Valentin  » interrogée par les journalistes ?

Pour tenter d’expliquer la motivation d’un tel acte, L’Ouest-Eclair exhume même les dossiers de deux autres paquebots français, Le Fontainebleau et le Paul Lecat, qui auraient sombré, en 1926 et 1928, dans des conditions similaires et inexpliquées. Selon le quotidien, la probabilité  » qu’un tel fait soit dû au hasard  » n’est certes pas  » rigoureusement impossible  » mais  » elle est sûrement improbable  ». Les coupables sont immédiatement désignés puisqu’il s’agirait des  » bolchévistes  » qui possèdent des  » cellules  » dans chaque port où le bâtiment a fait escale, aussi bien en Chine qu’à Marseille. Quant à la présence d’Albert Londres, elle n’est pas encore évoquée comme une motivation possible de l’attentat même si un témoin rapporte, le 3 juin, que le journaliste était enfermé  » on ne sait comment  » dans sa cabine.

LE COMBAT DES GARÇONS DE CAFÉ POUR…..


…..POUVOIR PORTER LA MOUSTACHE !!

garçons de café paris zigzag

Quand on pense au garçon de café parisien , il vient une certaine image en tête. Le cliché est celui d’un homme bien habillé, de noir et blanc vêtu, portant un plateau  où les verres s’entassent dans un équilibre plus ou moins certain. Dans sa version  » hipster  », il porte barbe et moustache. Mais ,chose à savoir : Au début du XXe siècle, les serveurs ont dû faire grève pour avoir le droit de porter cette fameuse moustache ?  Etonnant combat…..

La moustache ,un signe de distinction sociale :

En avril 1907,les limonadiers se mettent en grève,dans un climat de tension sociale .

Leurs revendications ? Un jour de congé hebdomadaire et….le droit de porterla moustache ! A cette époque,le visage d’un garçon de café parisien doit être  »immaculé pendant son service :Interdiction absolue de laisser pousser barbe ou moustache !

La pilosité faciale est aussi un signe de distinction sociale …..

 

garçons de café - paris zigzag (2)
garçon de café dans les années 1900…

En effet, depuis Napoléon III

Napoléon III

, la moustache est  de mise dans les hautes-sphères de la société. Elle est réservée aux aristocrates et aux militaires, socialement bien vus. Les domestiques, eux, doivent se raser. La raison ? La moustache étant un symbole de virilité forte, seuls les mieux lotis y ont droit. C’est donc un sacré combat que gagnent les garçons de cafés parisiens le 4 mai 1907 en obtenant le droit de porter la moustache et de mettre le rasoir à la poubelle ! Les gendarmes, eux, auraient pu manifester pour l’inverse, puisque le port de la moustache leur était obligatoire jusqu’en 1933.

garçons de café - paris zigzag

Question vitale lol …..


Qui a inventé le papier toilette ?

Le tout premier papier hygiénique a été fabriqué par les empereurs chinois de la dynastie Song au Xe siècle. Auparavant, les techniques différaient selon les civilisations. Au Ve av. J.-C. , les Grecs utilisent leurs doigts, des cailloux lisses ou leurs vêtements. A Rome, au Ier siècle, les nantis disposent de serviettes en tissu ou en laine. Au Moyen Age, en Europe, on se sert de foin, de feuilles ou de terre. Puis au XIVe siècle, les nobles anglais disposent d’étoupe (fibres de chanvre ou de lin).

Au XVe siècle, l’usage du papier pour l’écriture se répand pour tous, parallèlement à l’accroissement du nombre de clercs et de copistes. Le premier papier toilette moderne est né en Angleterre en 1850, et sa fabrication industrielle a été lancée en 1857, aux Etats-Unis, par  »un petit malin » nommé Joseph Gayetty

Joseph Gayetty

qui dépose le brevet du Gayetty’s Medicated Paper. Voilà le premier papier toilette moderne ! Lubrifié à l’aloès, il est avant tout présenté comme un traitement contre les hémorroïdes. Hélas, le produit fait un gros flop

La naissance des rouleaux de papier toilette

En juin 1891, un autre Américain du nom de Seth Wheeler dépose un autre brevet pour l’invention de papier toilette en rouleau que l’on connaît si bien de nos jours. Et trois mois plus tard, il améliore le système en imaginant des lignes de perforations pour détacher plus facilement les feuillets. D’ailleurs, selon la note explicative ci-dessous, le papier de toilettes se déroule par le dessus ; et non par le dessous comme certains le font. Sachez que d’après unerecherche un peu loufoque mais très sérieuse du docteur Gildas Carle

docteur Gildas Carle ?

, votre façon de dérouler le papier hygiénique en dit long sur votre personnalité…

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A partir des années 1890, d’autres industriels vendent des versions en chanvre, en coton ou encore en fibres de cellulose. Ces produits séduisent peu à peu les Américains au début du XXe siècle, puis les Européens dans les années 1960, remplaçant le papier journal couramment utilisé à cette époque

Ain : le village de Mogneneins…..


…….. cherche un nom pour ses habitants !!!!

Depuis plusieurs années, les habitants de Mogneneins, petite commune situé dans l’Ain, n’ont pas encore de nom. Après un vote d’ici la fin d’année, Mogneneins aura enfin un gentilé.( un » gentilé  »= Dénomination des habitants d’un lieu, relativement à ce lieu.)

Dans l'Ain, les habitants de Mogneneins cherchent un gentilé.

Dans l’Ain, les habitants de Mogneneins cherchent un gentilé.

Dans le département de l’Ain, la commune de Mogneneins, situé entre Villefranche-sur-Saône et Mâcon, ne sait toujours pas comment nommer ses habitants. Le village a beau exister depuis l’époque gallo-romaine, il n’a pourtant jamais eu de gentilé. 

Une situation peu banale que la mairie  souhaite rectifier en lançant une consultation auprès de ses habitants. Milla et sa maman Lucie ont réfléchit à la question : « Mognenoise ? Et Mognenois pour les garçons ! » Dans le village tout le monde en parle et y va de sa proposition : Il y a  »les Mognegasques » qui passe en ce moment !  »Par rapport àMonaco , je trouvais ça marrant », commente un habitant. « Peut-être que ça amènerait des milliardaires et que la maison prendrait de la valeur ! » 

Gare aux mauvaises langues, certains gentilés sont écartés d’office de la liste : « Les  »Moignons » ! Ça circulait pendant un moment à Peyzieux, le village à côté du nôtre, qu’on s’appelait comme ça », ajoute, de bonne guerre, ce résident de la commune.

Une initiative insolite mais très sérieuse

Si l’initiative prête à sourire, elle est prise très au sérieux par la mairie de Mogneneins. Une commission de six personnes va travailler plusieurs mois sur l’histoire de la commune, afin de proposer quatre ou cinq noms aux habitants. 

« Ce n’est pas du tout anecdotique ! C’est vraiment un besoin qu’on ressent, pour l’appartenance, pour s’enraciner sur la commune », explique Jean-Pierre Champion, l’ancien maire du village. « On veut vraiment que ce nom soit issu d’une recherche historique, transposable au féminin comme au masculin et surtout facile à retenir et à prononcer ! »

Les habitants recevront les propositions dans leur boîte aux lettres et pourront voter vers la fin de l’année. Le gentilé de Mogneneins sera ensuite dévoilé, au plus tard, au 1er janvier.

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Quelques images / photos du village :

Calvaire gothique de Mogneneins
L’église (elle possède des peintures classées.)
Un des pigeonniers ?
L’école
calvaire ( carte postale ancienne)
puits  » obus »