Sur le départ


   Cette journée fut consacrée aux préparatifs pour le départ de demain .Je doit me coucher tot car ,je dois encore faire quelques trucs avant de partir pour le Nord avec Manu en début d’aprs midi.
   Je serais absent jusqu’au 1er ou 2 mai.Passer une nuit chez mon ex épouse (la maman de Manu) ne m’enchante pas,et la semaine chez me parents dépendra :Si le temps est beau,retrouver mon petit patelin ne sera pas désagréable,en espèrant que mon père ne soit pas trop ch…
   Enfin,le parcours avec Manu avec sa nouvelle voiture sera,je n’en doute pas ,agréable.Et la semaine de "vacance" reposante.
   Cependant,laisser moumoun (même si la copine de Manu passera pour la nourrir) ne m’enchante pas!
   Mais ce qui va me manquer le plus:C’est VOUS!!!!Ces heures passées sur mon blog et les votres vont me manquer.
   Se soir,j’au vu Sarko à la télé,mais je dois avouer que je n’ai pas écouté,il me fatigue trop!
   Voilà,pâssez tous une bonne semaine,en espèrant que la mienne sera bonne également.
  Accolade gaucheAccolade droiteBisou
 

Escroc où anar?


Le « casse du siècle » Spaggiari,"sans haine ni violence"

Albert Spaggiari mène une vie calme, il travaille à son studio de photographie à Nice et vit dans une bergerie isolée dans les collines Nicoises, proche du village de Bezaudun sur les flancs du mont Cheiron. La bergerie est surnommée « Les Oies sauvages », en l’honneur du chant de la Légion étrangère.  Mais il va vite se lasser de cette vie monotone, pour cette raison il conçoit et dirige une opération qui sera nommée par la suite le « casse du siècle » de Nice.

L’idée de s’attaquer à la Société générale de Nice lui vient des romans à suspense qu’il dévore à cette époque, et notamment de Tous à l’égout de Robert Pollock qui décrit le cambriolage d’une banque dans laquelle, les malfaiteurs s’introduisent en empruntant les égouts. Un ami conseiller municipal et employé à la Société générale, lui apprend que la salle des coffres de l’agence de Nice avenue Jean-Médecin, est dépourvue de système d’alarme.

Spaggiari se prend alors à rever à un cambriolage de l’agence empruntant, les égouts de la ville.

Pour évaluer la faisabilité de son projet, deux ans avant le casse, il loue un coffre à la Société Générale dans lequel il place un réveil, qu’il régle pour sonner la nuit. Le but de la manœuvre vise à s’assurer de l’absence de systèmes de détection (sismique ou acoustique) à l’interieur de la salle des coffres. Dans le meme temps, il commence une exploration minutieuse des égouts en empruntant l’entrée du canal souterrain du fleuve Paillon sous le Palais des Expositions de Nice et qui rejoint aprés 2 kilomètres, les égouts de la ville.

Après plusieurs nuits de visite il se persuade qu’il est possible de creuser un tunnel d’accés depuis les égouts passant sous la rue Gustave Deloye, jusque à l’intérieur de la salle des coffres.

Albert Spaggiari décide alors de constituer une équipe pour mener le casse. Il se met en contact avec deux malfrats Alain Bournat et Francis Pellegrin, qu’il charge de recruter une équipe dans le milieu de la pègre de Marseille

Bien que cela n’ait jamais pu être prouvé, il reçoit probablement également, l’aide de Gaëtano Zampa le grand caid marseillais, pour bâtir son équipe, à laquelle s’ajoutent d’anciens amis de l’OAS, notamment Enzo Linhio, Gaby Anglade et Jean Kay.

Les travaux qui vont s’avèrer titanesques commencent. Le premier coup de burin de creusement du tunnel, est donné le 7 Mai 1976. Pendant presque trois mois, une quinzaine d’hommes, dont vraisemblablement des professionnels du terrassement, empruntent de nuit, les égouts depuis l’embouchure du fleuve "le Paillon" portant jusqu’à 50 kg de matériel (forets, burins, masses) à travers les 3 km de trajet sinueux dans les boyaux des égouts. Leur tache : creuser dans un sol fait de terre, de poudingue et de pierre, un tunnel de 8 m de long aboutissant directement dans la salle des coffres.

Les travaux réalisés entièrement à la main (pour des raisons évidentes de discrétion), sont très durs, les ouvriers passant parfois plusieurs nuits à essayer d’entamer la même pierre.

Lorsqu’enfin les travaux se terminent, Albert Spaggiari, fixe le week-end du 17 juillet au 18 juillet 1976, pour donner l’assaut final aux coffres. L’électricité est installée dans la galerie, de gros chalumeaux et leurs bouteilles de d’acetylène, des barres a mine, un verrin sont amenés pour ouvrir les coffres. A 22h30, le vendredi 16 juillet, le dernier morceau de mur menant dans la salle des coffres tombe. Le verrin est utilisé, pour renverser le coffre qui s’appuyait sur le mur juste forcé. L’équipe qui va camper tout le week-end dans la salle des coffres, ouvre en 2 jours et trois nuits, 317 coffres (sur un total de 4000). Le butin est évalué à 50 millions de francs (l’équivalent de 25 millions d’euros). Spaggiari s’offre même le luxe de laisser ses complices travailler seuls le samedi soir et aller manger dans un restaurant de la ville avec une amie. Il revient dans la salle des coffres un peu plus tard.

Selon certains témoignages, Spaggiari amena à ses hommes dans le coffre du vin et du pâté pour fêter leur victoire. Ils trouvèrent dans les coffres des photos dénudées de certaines célébrités locales qu’ils affichèrent sur les murs du coffre pour qu’elles soient vues par ceux qui y rentreraient. Mais un grain de sable va se mettre dans l’engrenage de la mécanique bien huilée de ce casse : il pleut ce week end là à Nice : un détail en apparence, mais qui va devenir franchement préoccupant.

En effet le niveau de l’eau est fortement monté dans les égouts et devient susceptible de les bloquer dans leur retraite. Albert Spaggiari qui ne veut pas prendre de risque inutiles, sonne alors sagement la retraite le dimanche 18 juillet vers 2h du matin.

L’équipe, avant de partir, prend le soin d’effacer toute empreinte et ne laisse qu’un maigre indice bien loin d’aider la police, le message inscrit sur le mur du coffre par Spaggiari « ni armes, ni violence et sans haine ».

De nombreux aller-retour et prés de 3 heures de travail et de trajet dans les égouts seront encore nécessaire pour sortir tout le butin à la surface avant le lever du jour en ce lundi 19 juillet 1976. Un 4×4 Land Rover a été placée par un complice dans l’embouchure du paillon utilisée comme voie d’entrée et de sortie des égouts. Elle est chargée avec les 50 millions de francs du butin qui sera partagé dans la journée par les complices dans une villa de l’arriére pays.

Développements ultérieurs

Dans un premier temps, la police française piétinera dans l’enquête faute d’indice. Spaggiari parti en cavale Japon quelques jours aprés le casse est en mal de reconnaissance. Il va commettre sa premiere imprudence. A Washington, il propose ses services à la CIA, en se présentant sous le surnom de "Bert", comme le cerveau du casse du siècle de Nice. La CIA alerte la police française par telex. La police arrête bientot Francis Pellegrin et Alain Bournat qui avaient tenté de négocier des lingots provenant du casse à l’agence du Credit Agricole de Roquefort-les-pins. Ils avouent rapidement et dénoncent Albert Spaggiari comme étant le cerveau du casse. La police reste incrédule, car Spaggiari, petit bandit qui n’a commis pour l’instant que des délits mineurs, n’a apparemment pas la carrure pour commander ses complices marseillais, qui relevent eux, du grand banditisme. Il subsiste d’ailleurs actuellement un doute sur le fait qu’il ait été le seul cerveau de l’opération dite du "Gang des egouttiers". Il y aurait peut être eu plusieurs cerveaux, Spaggiari s’étant peut être mis plus en avant du fait de son égo surdimensionné. (sources : émission "Faites entrer l’accuse" France2 du 22 Avril 2008). Spaggiari, qui ignore avoir été dénoncé, se trouve alors au Japon, dans un voyage organisé par Jacques Médecin. Albert Spaggiari, est arrêté le 27 Octobre 1976 à son retour à l’aéroport de Nice, il niera les faits dans un premier temps, avant de les reconnaître enfin et après avoir insisté pour les avouer uniquement en présence d’un représentant officiel, en l’occurence un des plus importants policiers de France, Honoré Gévaudan . Il choisira pour sa défense l’avocat Maître Jacques Peyrat, membre du Front national et futur maire de Nice. Selon ses dires de l’époque, le casse aurait été destiné pour sa part, à financer une organisation politique secrète d’extrême droite italienne qu’il voulait créer, la "Catena" (Chaîne en italien), et dont le but était de contrer les attaques de la gauche militante italienne de l’époque qui se livrait à des attentats.

L’évasion

Albert Spaggiari est incarceré à la prison de Nice en attendant son jugement. Ses copains d’Indochine et de l’OAS Robert Desroches et Michel Brusot, décident de la faire évader en prennant la solution la moins risquée, qui est d’intervenir alors qu’il se trouvera dans le bureau du juge d’instruction Richard Bouazis, au palais de justice de Nice. Pour cela, Robert Desroches, transmet un croquis de l’évasion à Spaggiari en prison. Il y représente un individu en train de sauter par la fenetre du bureau du juge au palais de justice. Le 10 mars 1977, Albert Spaggiari met à exécution son plan d’évasion, il fournit au juge qui l’entend trois gribouillis sur trois feuilles, en les présentant comme une preuve, et alors que le juge est occupé à examiner le document, Spaggiari saute par la fenêtre du bureau du juge et atterrit huit mètres plus bas sur le toit d’une voiture garée sous le palais. Il parvient à s’échapper grâce à un complice qui l’attend en moto. Beau joueur, il envoie au propriétaire de la Renault 6 endommagée un chèque de 5 000 francs, en guise de remboursement. Spaggiari, en cavale, devient le premier bandit médiatique.

Des journaux de gauche affirmèrent que Spaggiari avait bénéficié d’aides parmi ses amis hommes politiques, et en particulier de la part de l’ancien militant de l’OAS et maire de Nice, Jacques Médecin. Ces accusations compliquèrent la tâche de Médecin au second tour des élections municipales de 1977.

En 1995, Jacques Peyrat accuse Christian Estrosi, futur ministre, actuel maire de Nice, et ancien champion de moto d’avoir été le complice à moto de Spaggiari. Mais Estrosi parvient à prouver que ce jour là il était engagé dans une course à Daytona

Il meurt le 8 juin 1989, à 55 ans, d’un cancer de la gorge (source : Faites entrer l’accusé" du 22 avril 2008) alors qu’il se trouve en exil en Italie, après douze années passées à se grimer et à fuir. Sa compagne remonte en France en caravane sans éveiller les soupçons des douanes et dépose son corps à Hyères (Var) chez sa mère le 10 juin. Il est enterré à Laragne-Montéglin.

    N.B:Je met ce texte suite à une émission télé vue ces derniers jours,qui m’a amené à voir plus de détails sur Spaggiari.Ce qui m’avait frappé c’es le "sans haine ni violence"  Cependant,je crois savoir qu’il adhèrait aussi aux idées d’extrèmes droite,ce qui me "défrise" un peu,dommage car je trouvais que ce "casse" avait un côté anar non violent qui me plaisait bien! lol (par ex. le remboursement de la Renault 6! et aussi "l’aide d’homm–es politiques"……)

De l’avantage de vivre à la campagne…


    Hier,une chose ,qui ,à priori n’a aucun intérêt,m’est arrivée:Le bracelet de ma montre a cassé;pas grave,je vais en acheterun ………Et ben non,pas
moyen de trouver un bracelet pour montre dans Lurcy!J’ai donc "rafistolé" le bracelet avec de la bande collante blanche! (encore un truc qui va me rendre "original "aux yeux des gens et de la maman de Manu les jours prochains!Rire

Voilà;j’ai tout fait…..


    Ce matin ,après avoir été "boosté" ici par "à fleur de peau",j’ai décidé de faire tout ce qu’il y avait de "chiant" pour moi.Je suis allé chez mon médecin (passant par la porte "dérobée"Clin d'oeil),et il m’a rempli sur le champs le document de "déclaration du mèdecin traitant",suis repassé chez le taxi pour le reserver afin qu’il m’emmène pour ma visite chez mon spécialiste en revenant de chez mes parents.Je suis allé aussi commander le "paté aux
pommes de terre" (spécialité du coin)pour Manu (il veut l’emmener chez sa mère).Par contre,j’ai décidé de remettre le coiffeur à mon retour (rien que pour faire sensation  dans le village et auprès de mes parents!,et aussi,parceque il y a une histoire qui m’a marqué dans mon adolescence:Quand
j’ai commencé à faire des malaises épileptiques;après de nombreux examens (Electroencéphalogramme,I.R.M,ponctions lombaires).Il fut question d’nvisager une opèration ("trèpanation"),c’est à dire :ouvrir le crâneConfus ,evidemment celà aurait impliqué de me raser les cheveux que j’avais déjà longs à cette époque.Je me suis alors promis que si on ne m’opèrait pas ,je n’irais chez le coiffeur que le plus rarement possible!C’est assez ridi-
-cule ,j’en conviens,mais ça m’est resté……………
    Comme j’aime assez paraitre "bizarre",ça ne me déplait pas…………….Clin d'oeil

Signy (suite)


pierre à la vierge (Signy)"Pierre à la vierge"
 
eglise SignyEglise

 

 

Dommage que toutes les photos n’apparaissent pas (il faut aller sur : http://www.signy-le-petit.com  pour les voir! (en klikant directement d’ici sur l’adresse on y arrive) Clin d'oeil

L’Eglise de Signy fut construite au XVII ème siècle, après l’incendie de l’édifice précédent, brûlé en 1636 par les espagnols.

La construction demanda 6 années de travail, entre 1680 et 1686, comme le montrent les dates situées, pour l’une dans la façade de la Tour (1680), et l’autre à l’extérieur, au dessus d’un machicoulis (1686).

 

Elle a la forme d’une croix latine de 36 mètres de long, 10 mètres 66 de largeur dans la nef et 12 mètres de hauteur sous les voûtes. La flêche du clocher s’élève à 30 mètres au dessus du sol.

 

Les murs, épais de 3 mètres à la base de la Tour, sont en schiste quartzeux. Par la tour-porche, flanquée de deux échaugettes de guets à poivrières, on pénètre dans la nef voûtée de briques sur croisées d’ogives de pierres jaunes.

Le bâtiment est à la fois une église et une maison forte, bâtie en un temps ou subsistait encore les souvenirs d’invasion… Elle figure en bonne place dans le circuit des églises Fortifiées de Tierache.

 

C’est un important rocher de quartzite en forme de table situé dans la vallée du Gland à proximité de l’ancien chemin de Signy à Brognon.

La cavité creusée à la surface et les sorties de marches à l’arrière, laissent supposer un aménagement humain. Cette cavité présente par ailleurs la particularité d’être emplie d’eau, même en période de sécheresse la plus intense. Certains y voient sans preuves, un autel druidique. D’autres prêtent à l’eau qui stagne des vertus anti-eczémateuzes…

 

La légende prétend qu’au cours d’une procession, une statue de la vierge transportée de Gland à Brognon, fut déposée sur la pierre et qu’ensuite il ne fut plus possible de la soulever. Par la suite, le lieu est devenu l’objet d’un culte populaire (voeux, offrandes) et a reçu le nom de "Pierre de la Vierge".

 

Le Hameau de Gland est le plus ancien établissement humain historiquement connu.
En 1132, le Baron de Rumigny fit une donation aux moines pour y assurer un service religieux régulier dans une chapelle qui y était construite. Plus tard, le service revint à l’Abbaye de Bucilly.
Au 18 ème siècle, la chapelle étant ruinée, le service fut transféré au chateau de Signy.

 

C’est l’un des plus vieux chemins de Signy.

Connu sous le nom de "Chemin d’Antheny à Gland", il existait déjà en 1214 puisqu’il est précisé comme limite du territoire du village dans la charte.

Dèbut d’article sur mon village de naissance


Site de Signy-le-Petit (avec photos ,que je ne parviens pas à mettre)=http://www.signy-le-petit.com/

En 1214, le Baron Nicolas de Rumigny fonda le village de Signy

dans une région forestière, n’abritant jusque-là qu’une population dispersée (Hameau de Gland, 1132).("le gland"=Une rivière et un étang au milieu de la forêt)

Village frontalier, Signy, qui devint plus tard "Signy Le Petit", fut souvent ravagé par les guerres : brûlé en 1340, dévasté en 1521, brûlé et son église détruite en 1636.

Au 16ème siècle, la seigneurie de Signy appartenait à la famille de Stavelle qui s’efforça de développer l’industrie : hauts fourneaux, forges, fours à verre, moulins. L’usine SAHFFF a ainsi pour origine un haut fourneau créé vers 1550.

L’Eglise, typiquement fortifiée, fut reconstruite de 1680 à 1686, et beaucoup de maisons datent du début du 18ème siècle.
Le domaine seigneurial, resté intact au cours de la Révolution, passa aux mains de la famille Barrachin au début du 19ème siècle.

Vers 1840, Signy est un bourg de 2300 habitants, près de 1000 dispersés dans les hameaux à caractère agricole, petit centre commercial et artisanal (Brasseries, moulins, poteries, briqueteries,( etc…).("la briqueterie" =un lieu dit près de "la gruerie" autre lieu dit où est née ma mère)
Mais les transformations industrielles du siècle amènent l’exode rural : Les hameaux se dépeuplent peu à peu, les activités artisanales s’éteignent les unes après les autres. Dans le même temps, l’implantation de 3 fonderies de 2ème fusion (plus de 400 ouvriers en 1900) accentue le caractère industriel du bourg et favorise le développement d’une population strictement ouvrière.

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Pendant de nombreuses années, la municipalité lutte contre l’interdit militaire qui empêche l’établissement de routes permanentes à la frontière. Le réseau routier actuel s’établit progressivement entre 1850 et 1890.(frontière avec la Belgique=à "La Gruerie)

Les travaux de modernisation sont réalisés dans le bourg, en particulier le dégagement de l’église sur la place et l’alignement des rues.

Les deux grandes guerres sont marquées par une longue occupation allemande mais n’apportent pas de destructions importantes.

Clin d'oeilMes parents!Avec les fils de ma soeurs. photo_signy_an2008_015

Après 1945, Signy se trouve confronté aux problèmes connus par de nombreuses municipalités rurales et ardennaises en particulier : Dépeuplement des hameaux dû aux transformations agricoles, arrêt des fonderies qui provoque le départ des jeunes et qui entraine un vieillissement de la population.

La SAHFFF, au prix d’une transformation audacieuse mais difficile permet, par la création de la marque "OLFA" , de conserver un pôle d’activités industrielles dans le bourg.

 

Depuis, deux nouvelles implantations industrielles, et, surtout une volonté affirmée de favoriser le Tourisme par la mise en valeur des atouts naturels de Signy, laissent augurer un développement favorable …

Remettre à demain……….


"Remettre à demain ce qu’on aurait pu faire le jour même" C’est ce que j’ai fait aujourd’hui:Jene suis pas allé voir mon mèdecin pour "La déclaration
du choix du médecin traitant",ne suis pas allé chez le coiffeur,n’ai fait aucune course pas de "mènage"………….Bref,rien fait du tout (tout juste mangé)
     Je n’ai même pas lu………..seulement trainé dans l’appart.,regardé vaguement la télé ……………Alors ;je verrais demain.Il faut dire que je suis enrhumé,un peu fièvreux.Ceci dit,je ne me plains pas,j’ai de la chance,suis libre de vivre comme je veux;et en voyant ce qui est arrivé à Marie(à fleur
de peau"),je me dis que j’ai de la chance,l’accident qui lui est arrivé aujourd’hui montre bien l’absurdité des lois de notre socièté,elle n’avait vraiment pas "besoin" de ça en ce moment……….J’espère que ça va s’arranger pour elle.
 
     En ce moment,je regarde une émission sur Spaggiari,très interessant de mieux connaitre ce personnage…Je vais voir de ce pas si il y a quelque
chose sur lui sur le net.Ensuite,je trainerais surement sur les blogs amis,essayant de me coucher avant le lever du soleil.