J’ai récupéré mon autre blog ! Alors , si vous le voulez , vous pouvez passer ……
https://wordpress.com/ ermiteathee.wordpress.com
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…….que je ne suis pas » remonté » ; mais…
…..J’avais écrit :
Notre vieille maison est encore très belle ,
Et semble pouvoir vivre une vie éternelle.
Je pense tendrement à notre chère maman
Qui l’astiquait si fort lorsque j’étais enfant .
En voyant le buffet , je pense à ma mère ,
je la revois cirer ce meuble centenaire .
En voyant le buffet , je pense à ma mère ,
Je la revois cirer ce meuble centenaire .
Ce bonheur ressenti , quand j’étais gamin
Se change maintenant en immense chagrin …
Je découvre en entrant un soupçon de tendresse ,
Tout en me rappelant la plus douce caresse ,
Qu’elle savait donner , avec tant de ferveur
Animant la maison en réchauffant mon coeur
Son départ sera pour moi un terrible drame ,
J’ai toujours dans les yeux une petite larme
Sa maison dont je garde intime , le décor ,
Est pour mon coeur , le plus cher des trésors .
Ce 28 juin ,çà aurait été l’anniversaire de ma mère …..Elle aurait eu 88 ans …..
Mais…Elle nous a quitté le 8/ 03/2020……
Mon père m’a téléphoné tout à l’heure : Maman est à l’hôpital , les médecins disent qu’il n’y a plus rien à faire : Ce sont ces derniers jours / heures de vie ……….Elle serait » usée » ….
mon père m’a conseillé de ne pas trop y penser ( facile à dire) , pour que je ne tombe pas malade à mon tour ( épilepsie )…Et que remonter est inutile pour l’instant ….
C’est dur , difficile …….( Elle a eu 87 ans le 28 juin )
En famille il y a longtemps ……( Manu à droite ,moi et ma mère , mon père )
Camarade bourgeois,
camarade fils à papa
la Triumph en bas d’chez toi ,
le p’tit chèque en fin de mois
regardes – toi » ah ah ah » ( bis)
Camarade bourgeois,
camarade fils- à-papa,
t’as vraiment l’air con,
quand tu sors le dimanche
ton petit complet- veston
et ta chemise blanche,
regardes – toi » ah ah ah »
Camarade bourgeois,
camarade » fils-à-papa »
tu roules en Ferrari
ou en Lamborghini,
tu roules des épaules
tu te crois super-drôle,
regardes toi ah ah ah ( bis )
Camarade bourgeois,
camarade fils -à-papa ,
je sais ,ton père est patron ,
faut pas en faire un complexe ,
le jour d’la révolution ,
on lui coupera qu’la tête .
regarde – toi ah ah ah (bis)
Camarade bourgeois ,
camarade fils-à-papa ,
tu passes ton temps au drugstore
sur les champs -Elysées
tu te crois très fort,
t’es jamais qu’un minet .
regardes – toi ah ah ah
Camarade bourgeois,
camarade fils-à-papa ,
rejoins les rangs de la pègre
tu prendras vraiment ton pied,
ne sois plus une petite » pède »,
nous sommes tous des défoncés,
regardes moi ah ah ah
La vidéo : ( première à la télé ! ) : Il avait environ 20 ans => l’émission date de 1972.
Je dormirai ce soir d’un large et doux sommeil…
Fermez bien les rideaux, tenez les portes closes.
Surtout, ne laissez pas pénétrer le soleil.
Mettez autour de moi le soir trempé de roses.
Posez, sur la blancheur d’un oreiller profond,
De ces fleurs sans éclat et dont l’odeur obsède.
Posez-les dans mes mains, sur mon cœur, sur mon front,
Les fleurs pâles au souffle amoureusement tiède.
Et je dirai très bas : » Rien de moi n’est resté…
Mon âme enfin repose… ayez donc pitié d’elle.
Qu’elle puisse dormir toute une éternité. »
Je dormirai, ce soir, de la mort la plus belle.
Que s’effeuillent les fleurs, tubéreuses et lys,
Et que meure et s’éteigne, au seuil des portes closes,
L’écho triste et lointain des sanglots de jadis.
Ah ! le soir infini ! le soir trempé de roses !
auteur ?
fralurcy085903@gmail.com
pffff ! Re le bin’ !
Et dans plusieurs » domaines » :
Le moins important : impossible d’imprimer un document via le P.C
Plus grave : Des » relances » d’huissiers » !
L’épilepsie = re malaises » à répétition »
=> mal de tête et impossible de me concentrer sur quoique ce soit .
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Je bloque les commentaires car ce billet ne devrait pas être sur le net .
Perso , je pense que c’est proche ,très proche de la réalité !
…..ou plutôt trop à dire ….Alors pour l’instant : Repos …peut- être plus tard ?
Chaque année, dans la nuit du 23 au 24 juin, partout en France, en Europe et jusqu’au Canada, de grands feux de joie s’allument dans les villes et villages et la même ambiance joyeuse et populaire enflamme le cœur des habitants :c’est la fameuse fête de la Saint-Jean !
Une tradition aux manifestations multiples depuis le fond des âges, qui a su perdurer au fil des méandres de l’Histoire.
Jules Breton, La Fête de la Saint-Jean, 1875, musée des Beaux-Arts de Philadelphie
Feux du solstice à Mäntsälä en Finlande
Depuis la nuit des temps, les civilisations de l’hémisphère nord fêtent le solstice d’été aux alentours du 21 juin : jour le plus long de l’année. Pour les peuples, cette date est l’occasion de rendre un culte au soleil, que de nombreuses cultures représentent comme un dieu.
Jusqu’au Moyen Âge, il est coutume d’allumer dans la nuit de grands feux à la croisée des chemins, afin de chasser les sorcières qui errent dans la pénombre et de protéger les récoltes des orages et des tempêtes.
Comme pour de nombreuses fêtes antiques, l’Église catholique intervient au début du Moyen Âge : voyant dans ces feux solsticiaux des rites païens répréhensibles, elle tente, avec le concours des empereurs romains d’Orient et d’Occident, d’y mettre un terme.
Pour transformer la fête en célébration religieuse, l’Église met l’accent sur le jour de la Saint-Jean-Baptiste, un saint fondateur de la religion chrétienne, que l’on vénère le 24 juin. Messes, jours de jeûnes, solennités et octaves sont proclamés, mais rien n’y fait, les traditions ont la vie dure, et aux quatre coins de l’ancien Empire, on continue à allumer de grands brasiers.
L’Église décide alors de christianiser complètement ce rite, fermant les yeux sur les feux de joie et autorise la liesse populaire en l’honneur de Saint Jean-Baptiste.
Le Bal à Bougival, par Pierre-Auguste Renoir
Bals du village, valse des amoureux, jeunes gens qui sautent par-dessus les feux, sont autant d’images d’Épinal que l’on garde de la Saint-Jean.
En effet, si les traditions diffèrent, on retrouve en France des éléments communs:
La fête commence souvent par une grand-messe célébrée par le curé de la paroisse pour la Saint-Jean-Baptiste. Dans de nombreuses régions, une veillée s’ensuit, où un immense feu de joie est allumé sur un bûcher soigneusement construit au préalable.
La Saint-Jean est aussi une fête qui célèbre la jeunesse, aussi élit-on souvent un roi et une reine de la Jeunesse parmi les jeunes gens et les jeunes filles du village. La coutume veut, une fois que le brasier s’est affaissé, que les amoureux sautent ensemble par-dessus en guise de porte-bonheur. La soirée se finit dans la joie générale avec un bal, parfois costumé.
Les feux de la Saint-Jean, ( peut-être à Plougastel ), par Charles Cottet, 1901
En Bretagne , la Saint-Jean prend parfois un aspect des plus impressionnants, car plus qu’ailleurs en France, le culte du soleil reste présent. À Brest, à Saint-Jean-du-Doigt, ou encore sur l’île d’Ouessant, les brasiers sont préparés avec le plus grand soin par les jeunes gens, et sont allumés par le curé du village.
C’est sans doute sur l ‘ île de Sein que se déroule la forme la plus spectaculaire de la Saint-Jean. On y entoure le bûcher d’un cercle de neuf pierres, appelé le Klec’h an tan, “cercle du feu” en breton. Les jeunes gens soulèvent alors les jeunes filles et les balancent par-dessus le bûcher avant de courir à travers la campagne avec leurs torches enflammées.
Le brandon de la Saint-Jean à Luchon en 2015
Dans les régions frontalières de l’Espagne, où la culture catalane est encore très présente, la Saint-Jean est une fête très importante. Elle se prépare environ une semaine à l’avance, lorsque les villageois montent avec des sarments et des fagots, au sommet du Pic du Canigou, montagne emblématique des Pyrénées.
Avec ce bois, on allume un feu à la veille de la Saint-Jean, et un montagnard par village enflamme une torche et la redescend jusque dans la vallée pour allumer le brasier communal.
Dans le pays de Comminges , (qui recouvre l’Ariège et la Haute-Garonne ), on a une manière particulière de préparer le bûcher, que l’on appelle brandon . Celui-ci est fait à partir d’un tronc de conifère fendu dans lequel on insère des morceaux de bois avant d’y mettre le feu.
Cette tradition est depuis 2015 inscrite au Patrimoine culturel immatériel de l’humanité
Pourquoi Georges Sand s’appelait » George »
Comme moi ,vous ne le saviez peut-être pas mais la romancière s’appelait en réalité Amantine Aurore Lucile Dupin. Pourquoi a-t-elle choisi ce nom ? La réponse, ici. En bonus, quatre infos à connaître sur cette femme de lettres à la pensée et aux écrits avant-gardistes.
Son pseudonyme naquit de la volonté de semer le trouble quant à son identité pour augmenter ses chances d’être publiée dans un univers de l’édition alors résolument masculin. En 1831, elle choisit d’adopter le prénom George, féminin méconnu de Georges, et y ajoute “Sand”, diminutif de “Sandeau”, nom de Jules, son amant de l’époque.
Engagée dans la lutte pour l’égalité hommes – femme, la romancière marque son époque par ses engagements politiques forts. Elle défend le droit au divorce et encourage les femmes à prendre le contrôle de leur vie financière et sexuelle. Des idées visionnaires acclamées et encensées par ses amis écrivains parmi lesquels Hugo et Balzac.
Comme elle l’explique dans son roman »Histoire de ma vie », la robe et les talons, d’usage pour une femme, ne lui conviennent pas. Ni pratiques, ni confortables. Alors, George Sand décide d’adopter la redingote. La mode masculine pour femmes est lancée.
Romancière, George Sand s’essaye aussi au journalisme. Elle participe notamment au lancement de trois journaux: La Cause du peuple, Le Bulletin de la République, et l’Éclaireur. En 1831, c’est au Figaro qu’elle est engagée. Quelques mois seulement avant la sortie de son premier roman à succès, Indiana.
Elle entretient de 1833 à 1835 une histoire des plus tumultueuses avec le poète Alfred de Musset. Cette histoire, digne d’un roman, elle l’écrira quelques années plus tard, et la publiera, en 1859, sous le titre de Elle et lui. Engagée pour l’égalité, elle l’était aussi pour la passion.