çà se…..


SERAIT ??? Passé en 2015 :

   Deux Polonais ( restés anonymes ) ,chercheurs de trésors amateurs Prétendent avoir découvert l’emplacement d’un train rempli d’or datant de la seconde guerre mondiale ….Ceci , dans l’une des galeries souterraines de la région de Walbrzych ? Ces galeries servaient d’usine d’armement et de cache pour les trésors nazis…galerie

   Les galeries, creusées par des prisonniers , courent sur des centaines de Kms => Certaines d’entre elles n’ont jamais été explorées …. Les deux  » héros  » auraient tenté de négocier avec le gouvernement polonais pour obtenir , conclure un accord satisfaisant ( financier ?) avant d’indiquer l’endroit précis de leur découverte , sans ( dit – on ) résultat ……….Mais , ce train chargé d’or alimente de nombreuses rumeurs dans la région , les  » études  » géophysiques que ces deux personnages auraient réalisées pour le localiser sont toujours largement contestées par les chercheurs de l’académie des Mines ….

Alors  , vrai ou faux ? Le gouvernement aurait il bien trouvé le train et le trésor et gardé sans n’en parler à personne ? N’y avait il ni train ni cargaison  » dorée » ? Mystère………..

 Si le train existe : Montant auto-estimé du butin = plusieurs millions de dollars.

Peu de détails
Zygmunt Nowaczyk s’est cependant abstenu, au cours d’une conférence de presse retransmise en direct, de toute autre précision sur la découverte qui avait relancé les spéculations sur le mystère de trains censés contenir des trésors nazis et disparus dans la région à la fin de la guerre.

« L’endroit est gardé secret », a ajouté M. Nowaczyk qui a poussé la prudence jusqu’à éviter de parler d’un train, lui préférant le terme de « trouvaille » qui, quoi qu’elle représente, appartient à l’Etat polonais, en vertu d’accords passés avec l’Allemagne.
  Le conseiller juridique des découvreurs qui souhaitent rester anonymes, Jaroslaw Chmielewski, a indiqué qu’ils avaient informé officiellement les autorités régionales et centrales et « décrit les paramètres de leur trouvaille », censée être une rame blindée longue de 120 à 150 mètres.

Quoi qu’il en soit, il est sur ,  qu’ à la fin de la Deuxième guerre mondiale, les nazis en déroute ont vraisemblablement tenté de soustraire aux armées soviétiques un fabuleux trésor amassé par le IIIe Reich. Selon d’anciennes rumeurs, colportées depuis 70 ans, 300 tonnes d’or, de bijoux, d’argent et d’armes auraient ainsi été rassemblées dans un train. Le convoi s’évanouit dans la nature entre Wroclaw (à l’époque Breslau) et Walbrzych.         D’aucuns avancent que ses traces s’arrêtent près du château de Ksiaz, à trois kilomètres seulement du cabinet d’avocats où les deux chasseurs de trésor sont allés déclarer leur découverte. 

  Une rame de chemin de fer blindée de 150 mètres de long ne disparaît pourtant pas comme ça, sans laisser de trace… Elle aurait été tractée dans de mystérieuses galeries désormais inaccessibles, construites par le régime nazi et connues sous le nom de code Riese (Géant)

pacte secret ….


D’ Achnacarry :Achnacarry

   Le 17 septembre 1928, les patrons des principales compagnies pétrolières du monde concluent un accord décisif en vue de se partager les réserves de pétrole du Moyen-Orient et de maintenir des prix élevés tout en s’évitant les désagréments d’une concurrence sauvage.

   L’accord est conclu dans le plus grand secret, sous le prétexte d’une partie de chasse au coq de bruyère, dans le superbe château d’Achnacarry, en Écosse, à une centaine de kilomètres au sud d’Inverness, loué par sir Henri Deterding  Deterling, président de la puissante Royal Dutch Shell.
Depuis la retraite de Rockefeller, d’aucun qualifient le maître d’Achnacarry d’« homme le plus puissant du monde » !
   Les invités s’y rendent en grand équipage, avec limousines secrétaires, conseillers et domestiques, mais dans la plus grande discrétion. Ils vont discuter pendant une quinzaine de jours avant de s’entendre sur les prix et le partage des productions moyen-orientales. Autant dire que les coqs de bruyère n’ont pas eu à pâtir de ces Nemrod en chambre…
Les compagnies représentées à Achnacarry sont au nombre de cinq : Standard Oil of New Jersey (Walter Teagle), Anglo-Persian (sir John Cadman), Gulf Oil (William Mellon), Esso Indiana (Robert Stewart) et Royal Dutch Shell (Henri Deterding).
   Leur accord est peu après agréé par les autres membres du cartel pétrolier. On désignera après la Seconde Guerre mondiale cet oligopole sous le nom de Sept Sœurs (« The Seven Sisters »).
   L’accord d’Achnacarry sera gardé secret jusqu’en 1952. Cette année-là, le gouvernement américain le rendra public pour obliger les firmes à jouer le jeu de la concurrence et baisser leurs prix… de façon que les crédits accordés aux Européens dans le cadre du plan Marshall ne servent pas simplement à enrichir les pétroliers !

Impôt sur…les portes et le fenêtres !


L’État a toujours fait preuve d’imagination en ce qui concerne les impôts ! Parmi l’une de ses fantaisies figure le célèbre impôt sur les fenêtres et les portes.

Dominique Ramel, alors ministre des finances du Directoire en 1796, a besoin d’argent. Le nouvel État, au sortir de la Révolution Française, a besoin d’argent. C’est alors que Monsieur Ramel a l’idée de s’inspirer d’un des plus vieux impôts du monde, à savoir l’ « ostiarum » initié par Jules César lui-même !

  L’idée est on ne peut plus simple : les riches ont de grandes maisons, et plus la maison est grande, plus il y a  de portes et de fenêtres. Pour simplifier le système, l’État a donc l’idée de faire compter les portes et fenêtres par ses agents du fisc et d’établir une assiette fiscale. Par exemple, voici ci-dessous l’un des articles de la loi sur cet impôt :

« Article 3 : Les portes et fenêtres, dans les communes au-dessous de cinq mille âmes, payeront 0,25F; de cinq à dix mille, 0,25F ; de dix à vingt-cinq mille, 0,30F; de vingt-cinq à cinquante mille, 0,40F; de cinquante à cent mille, 0,50F; de cent mille et au-dessus, 0,60F. Les portes-cochères et celles de magasins, de marchands en gros, commissionnaires et courtiers, payeront double contribution. »

La conséquence de cet impôt, qui n’a d’ailleurs rapporté que peu de recettes, sera tragique d’un point de vue sanitaire. En effet, cette contribution poussa à la construction de bâtiments insalubres, certaines fois sans fenêtre ! D’ailleurs beaucoup de propriétaires, pour garder leur statut de « riche » tout en évitant l’impôt, se mirent à peindre de fausses portes et fenêtres sur leurs maisons, à la grande surprise des agents du fisc. Mais la première retombée de cet impôt concerne une hausse des maladies liée au manque de lumière et au manque d’espace dans les habitats.

En effet, les propriétaires, étant poussés à construire le moins de fenêtres et portes possibles, entassèrent bon nombre de familles dans des espaces privés d’air et de lumière. Ce qui eut pour conséquence des cas de rachitisme chez les nouveau-nés notamment, maladie des os très grave due au manque de vitamine D. La France n’a pas été la seule touchée par ce mal, puisque l’Angleterre mit en place l’impôt sur les portes et fenêtres un siècle plus tôt sous Guillaume III et eut pour surnom «  le Malade Anglais », étant donné la catastrophe sanitaire qu’entraîna cet impôt.

Bien heureusement, ce même impôt disparut en France en 1926, soit 12 ans après la création de l’impôt sur le revenu.

L’impôt sur les portes et les fenêtres n’a pas été le seul impôt loufoque : il y eut un impôt sur les perruques et les chapeaux, sur le savon et même sur les abeilles ! L’État est si créatif…

Ramel

Un sourire……….


Pour finir……..

Trois généraux discutent lors d’un congrès militaire et vantent les mérites de leur meilleur soldat ….

    Le général américain fait avancer son meilleur soldat , prend un poignard et …..lui plante dans le pied ! Le G.I , malgré la douleur , ne bronche pas ..

  Le général :  » Soldat ,avez vous mal  ? 

                          » Non mon général , je n’ai pas mal , car je suis un soldat américain « 

Vient le tour du Japonais :

     Le général japonais fait avancer son meilleur soldat , sort un sabre et ……lui coupe le pied en deux ! Malgré la douleur , le soldat ne dit rien .

     Le général :  » Soldat , avez vous mal ?  » 

                              » Non mon général , je ne souffre pas car je suis un soldat japonais  » 

Enfin , vient le tour du français :

    Même scénario : Le général sort son revolver et lui tire une balle dans le pied . Aucune réaction du soldat français ! Très fier , le  général demande au soldat :  » Soldat avez vous mal  ?  » 

                                                          » Non mon général , je n’ai pas mal « 

                                                          » Et pourquoi n’avez vous pas mal ? « 

                                  » Parce que je chausse du 39 , et comme il n’y avait plus de chaussure à ma taille , on m’a donné une paire ….en 47 !

 

P

Curieux animal ………….


   Le Basilics plumifrons est un petit lézard à crête particulièrement surprenant. Son incroyable capacité à courir sur l’eau lui a valu le surnom de lézard Jésus-Christ. . Il  vit dans les forêts tropicales d’Amérique centrale. Pouvant atteindre une taille de 70 cm avec sa queue, le reptile à la peau verte et à la gorge blanche a une extraordinaire faculté : il peut courir sur l’eau !lézard J.C

   Même les jeunes individus, qui restent brun et noir jusqu’à l’âge de 5 mois environ, ont cette capacité divine qui a valu à l’animal le surnom de lézard Jésus-Christ ou basilic Jésus. Lorsque le saurien se sent en danger sur son piédestal, il n’hésite pas à se jeter à l’eau et à commencer une course effrénée pour fuir ses prédateurs.


   En courant sur la surface liquide, le Basilics plumifrons peut atteindre une vitesse d’environ 10km/h grâce à l’étonnante morphologie des doigts de ses pattes arrières. Une vitesse qui suffit bien souvent à échapper à ses prédateurs.
Une foulée, trois étapes
  Le secret de la course du basilic se trouve dans chaque foulée de ses pattes arrières, qui se divise en 3 étapes. Tout d’abord, le pied du lézard frappe fermement la surface de l’eau. L’enfoncement de la patte crée une poche d’air, puis, le reptile retire sa patte en une fraction de seconde avant que la cavité d’air ne se referme. L’intervalle de temps entre deux foulées n’est que de 70 millisecondes environ.
   Mais comment le lézard Jésus-Christ compense-t-il son poids ? C’est grâce à la combinaison de la faible masse de l’animal, en moyenne 100 grammes à l’âge adulte, et la large surface de contact de ses pattes arrières avec l’eau, environ 5 cm2. Ces deux facteurs réunis permettent au basilic Jésus d’équilibrer son poids lors de son sprint aquatique.
   Une étude d’Harvard a ainsi permis de démontrer pourquoi le reptile est capable d’une telle prouesse. Après avoir calculé et additionné la force d’impact, de trainée et de pression hydrostatique, les chercheurs ont établi que le reptile pouvait compenser un poids de 154 grammes ! 

Animal ectotherme 😕
  Le lézard Jésus-Christ est un animal diurne vivant la plupart du temps perché sur les branches des arbres à proximité d’un cours d’eau. Essentiellement insectivore, le basilic Jésus ne chasse que lorsque la température est convenable. En effet, le reptile est ectotherme, sa température corporelle est la même que celle du milieu extérieur, sa survie dépend donc grandement de la température ambiante.
    L’animal a ainsi besoin d’un taux d’humidité ambiant relativement élevé, de 70 à 80%, et d’une température variant de 28,5°C à 32,5°C. Lorsque la température est trop élevé, le lézard Jésus-Christ ne tergiverse pas et saute dans l’eau, pour cette fois-ci, se baigner.

Tremblement de terre en France ?? !!


  La terre a tremblé à 18 h 08 mercredi aux environs de Bourg-en-Bresse. Un séisme de magnitude 4,2 sur l’échelle de Richter, dont l’épicentre serait situé à 15 kilomètres au sud-ouest, à proximité de Saint-André-sur-Vieux.

  La préfecture a confirmé officiellement le tremblement de terre qui n’a fait aucune victime. La secousse aurait été ressentie avec une forte intensité dans un triangle entre Villefranche, Macon et Ambérieu .

  Les premiers témoignages qui sont parvenus  font état d’une secousse puissante qui a secoué les maisons et fait trembler tout le mobilier. « C’est comme si un avion rasait les murs de la maison »  explique Eliott Extier qui réside à Perrex, au nord de Bourg-en-Bresse

    Plusieurs internautes on évoqué des tremblements et desvrombissements. Ils étaient nombreux à se poser des questions, pour tenter de vérifier ce qu’ils avaient ressenti.  » Ma salle de bain a tremblé, vous avez ressenti ça aussi ? » ou encore  » mes murs tremblaient, j’étais pas très sereine ».

Mes petits murs qui ont craqué pendant le tremblement de terre…………

Le pacte du May Flower …


Contenu :

   Le document original a été perdu, mais la transcription qu’en a donné William Bradford dans son journal est généralement reçue comme très fidèle. Le manuscrit de Bradford est aujourd’hui conservé dans un coffre-fort de la bibliothèque d’État du Massachusetts. La transcription de Bradford est la suivante :
« Au nom de Dieu, amen. Nous soussignés, loyaux sujets de notre respecté souverain Jacques, par la grâce de Dieu Roi de Grande-Bretagne, de France et d’Irlande, défenseur de la foi, etc ».
« Ayant entrepris, pour la gloire de Dieu, pour la propagation de la foi chrétienne, et l’honneur de notre roi et de notre pays, un voyage pour implanter la Première Colonie dans les régions septentrionales de Virginie, par la présente, nous convenons solennellement ensemble, devant Dieu et devant chacun d’entre nous, de nous constituer en un corps politique civil, pour notre administration et sauvegarde et par delà, aux fins susdites ; et en vertu de cela de nous conformer, de décider et de concevoir à l’occasion des lois, ordonnances, actes, décrets et obligations, aussi justes et équitables qu’il semblera à propos et convenable d’adopter pour le bien public de la Colonie, et auxquelles nous promettons toute la soumission et l’obéissance requises. En témoignage de quoi nous avons ci-dessous apposés nos noms à Cape Cod, ce 11 novembre de la quatrième année du règne de notre souverain seigneur Jacques, dix-huitième roi d’Angleterre, de France et d’Irlande, et cinquante-quatrième roi d’Écosse. Anno Domini 1620. « 

Et un 21 novembre ….


 Le pacte du Mayflower :
Le 21 novembre 1620, alors qu’un voilier, le Mayflower Mayflower, arrive en vue de côtes inconnues du continent nord-américain, ses passagers, les « Pilgrim Fathers » ou Pères Pèlerins, concluent un pacte en vue d’organiser au mieux leur prochaine installation et de bâtir une société tolérante et harmonieuse.
   Le Mayflower quitta Plymouth le 6 septembre 1620, pour jeter l’ancre à Cap Cod, sur la côte est de l’Amérique du Nord, le 11 novembre de la même année.
   Parmi les occupants du bateau se trouvaient trente-cinq pèlerins protestants très pieux, fuyant les persécutions de Jacques Ier et à la recherche d’un lieu pour pratiquer librement leur religion ; ainsi que 67 « étrangers ». La plupart des passagers venait de milieux modestes (petits fermiers, artisans…) et ils adhéraient tous aux principes puritains.
  Le bateau quitta Londres en juillet 1620, accompagné d’un autre navire, le Speedwell, qui rebroussa chemin suite à une avarie dans la coque. Après deux escales (à Southampton le 5 août ; à Dartmouth, le 12 août), le Mayflower quitta Plymouth le 6 septembre. Après une halte pour se ravitailler à Terre-Neuve auprès de pêcheurs locaux, une tempête menaça le bon déroulement de l’expédition. Le mauvais temps obligea le vaisseau à aborder les rivages de l’Amérique tout près du Cap Cod dans le Massachusetts, le 21 novembre, et non sur les bords du fleuve Hudson, but initial du voyage.
    Ces Européens furent les premiers colons à s’établir durablement en Nouvelle-Angleterre, où ils décidèrent de fonder la ville de Plymouth.
  Un pacte contenant un certain nombre de lois, et régissant les principes de la future colonie (plus connu sous le nom de Mayflower Compact Act), fut signé à bord du navire par les passagers.
   L’hiver 1620 fut particulièrement rude: 62 colons périrent de froid et de faim car le sol se prêtait mal à la culture. Mais, grâce à l’aide d’Indiens qui leur enseignèrent la plantation du maïs, certains subsistèrent. Ainsi, un an plus tard, ils purent fêter leur première moisson et le premier anniversaire de l’arrivée du Mayflower.

     Il fut plus tard décrété que le dernier jeudi de novembre serait désormais un jour béni, un jour de repos où l’on remercierait Dieu de sa clémence, c’est l’origine de la fête de Thanksgiving.
    Les pèlerins du Mayflower, les « Pilgrim Fathers », sont souvent considérés comme les pères fondateurs des futurs États-Unis d’Amérique.

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