Un bar a été ouvert en face d’un cimetière. Le propriétaire a installé une enseigne qui dit :
« Quoi que l’on dise, quoi que l’on fasse, on est mieux ici qu’en face ! ».
Lorsque le responsable du cimetière voit l’enseigne, il décide d’en poser également une devant ses grilles :
« Quoi que l’on dise, quoi que l’on fasse, tous ceux qui sont ici viennent d’en face. »
Mois: mars 2019
astuce pour…
On avance ou on recule :
Et voilà , nous y sommes :
Je viens de m’en apercevoir sur le P.C : Il est 3h 00 !
Qu’elles sont les conséquences / effets de ce changement ?
Il y a des effets positifs dans ce changement, mais aussi des impacts négatifs.
Comme chaque année depuis 1976, on a eu droit au refrain : « Dans la nuit de samedi à dimanche, à 2 heures, il sera 3 heures ! ». Par cette phrase, on nous a annoncé le changement d’heure, le passage à l’heure d’été. Si l’heure d’été est habituelle pour les Français, ça ne l’est pas pour de nombreux pays dans le monde.
Le passage à l’heure d’été a été conçu pour économiser de l’énergie l’été en profitant des périodes de jour plus longues. Une étude de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME) publiée en 2010 a démontré que le changement d’heure provoquait :
1 :Une consommation électrique plus importante le matin, notamment un pic à 06h00.
2 : Une consommation beaucoup moins importante le soir, notamment entre 20h00 et 21h00.
Concrètement, les foyers paient en moyenne un peu plus d’électricité le matin, mais économisent plus que cela le soir. Une heure d’éclairage en moins permet d’économiser approximativement 10 centimes d’euros. Selon cette étude faite avec les chiffres de 2009, la demande moyenne en électricité à 19h00 a été diminuée de 3,5 gigawatts, soit une économie annuelle d’énergie de 440 gigawatts/heure, principalement sur l’éclairage public, soit l’équivalent d’une année d’éclairage d’une ville de 800 000 habitants, par exemple Marseille.
Mais ce changement d’heure n’est pas que positif. 54% des Français seraient en fait contre ce changement d’heure, seulement 19% étant par contre favorables. Le plus incroyable dans ce sondage, c’est que 59% ! ignorent que cela leur permet des économies d’énergie. 75% des personnes interrogées mettent surtout l’accent sur l’impact négatif sur « le sommeil, l’alimentation ou l’humeur ». Ce constat est d’ailleurs régulièrement confirmé par des études sur l’impact du changement d’heure.
La plus récente de ces études, réalisées par la Commission européenne l’année dernière, écrit que « la santé peut être affectée par le changement de biorythme du corps, avec de possibles troubles du sommeil et de l’humeur ». Une étude suédoise de 2008 constatait pour sa part « une augmentation statistiquement significative du risque de crise cardiaque » dans la semaine suivant le changement d’heure.
ACHED, l’Association contre l’heure d’été double, évoque « des augmentations des accidents de la circulation » : en 1976, il y a eu 661 morts de plus sur les routes que lors de l’été 1975.
Un rapport du Sénat, daté de 1997, fait pour sa part état que « le monde médical est très partagé sur l’existence de troubles imputables à l’heure d’été », indiquant tout de même que « 19% des médecins faisaient état d’une augmentation de la consommation de médicaments et particulièrement de tranquillisants, au moment du changement d’heure ».
En fait, comme le soulève le dernier rapport de la Commission européenne, « les résultats sont souvent contradictoires » sur le sujet. Certains rapports suggèrent que le changement « améliore la sécurité routière », d’autres démontrent « une augmentation potentielle des accidents de la route à cause des troubles du sommeil ».
Qui croire dans tout cela ? Une chose est en tout cas certaine, la Russie a arrêté de passer à l’heure d’été en 2011 en s’appuyant sur des rapports médicaux faisant état d’une augmentation des accidents de la route le matin, mais aussi parce que l’heure d’été créait « des problèmes de stress et de santé ».
La Russie n’est pas la seule à avoir suivi cette démarche. L’Ukraine et l’Égypte sont revenues en arrière, même si cette dernière a finalement réintroduit le changement d’heure en 2014. Dans le monde, ce sont environ 70 pays qui changent d’heure deux fois par an.
À l’échelle de l’Europe, le changement d’heure est harmonisé depuis 1998, pour faciliter les communications et les transports.
» Mettre à l’index » origines ….
Cette expression devrait son origine au concile de Trente convoqué par le pape Paul III en 1545 pour lutter contre le développement du protestantisme. À la fin de ce concile qui dura dix-huit ans, l’autorité catholique dressa une liste d’ouvrages soupçonnés de propager des idées hérétiques appelée l’Index librorum prohibitorum, l’« Index des livres interdits » (1559). Couramment appelé l’« Index », il est à l’origine de l’expression signifiant que l’on exclut quelque chose ou quelqu’un car il est potentiellement dangereux ou parce qu’il ne respecte pas les règles établies.
çà s’est passé il y a 670 ans !
Le 30 mars 1349
L’héritier du roi de France devient le Dauphin
Le Dauphiné est une région alpine qui s’étend autour de Vienne et Grenoble. Au Moyen Âge, c’est une terre d’Empire dont le comte doit rendre hommage à son suzerain, l’empereur d’Allemagne…
L’origine du nom demeure obscure. On peut seulement noter que deux dauphins (cétacés) figurent sur les armoiries du comté. Peut-être une allusion à une légende locale ? Peut-être aussi le nom vient-il du prénom Dolfin, en usage au nord de l’Angleterre, qui aurait été donné au XIIe siècle par la comtesse Mahaut, d’origine anglaise, à son fils aîné…
Toujours est-il qu’au milieu du XIVe siècle, endetté et désespéré à la suite de la mort de son fils unique, le comte du Dauphiné Humbert II décide de vendre ses États au fils du roi de France Philippe VI de Valois, le futur Jean II le Bon.
La transaction est conclue pour la coquette somme de 120 000 florins (le florin est une monnaie d’or émise par Florence et très appréciée partout) et signée au château de Vincennes le 23 avril 1343.
Après quoi, Humbert II – bien qu’âgé de seulement 29 ans – s’enferme dans un couvent de dominicains !
Six ans plus tard, le 30 mars 1349, sans attendre la mort de Philippe VI, Jean remet le Dauphiné à son fils Charles pour lui assurer des revenus réguliers mais aussi pour éviter d’avoir à rendre hommage à l’empereur !
Du coup, Charles (futur Charles V le Sage) prend le titre de dauphin du Viennois, qui était celui des comtes du Dauphiné depuis 1192, et ajoute les armes du Dauphiné aux siennes. À sa suite, jusqu’au XIXe siècle, tous les héritiers du royaume de France porteront ce titre et seront appelés « Dauphin ».
Des héritiers bien dotés:
Les rois de France n’ont pas été les premiers à doter l’héritier de la couronne d’un titre (en l’occurrence celui de Dauphin) pour le faire patienter à l’abri du besoin.
Cette pratique fut inaugurée par le roi d’Angleterre Édouard 1er, qui a donné à son fils le titre de prince de Galles le 25 avril 1284.
Elle se retrouve aussi dans la monarchie espagnole, dont l’héritier est prince des Asturies, à la tête du Saint Empire romain germanique, où le fils de l’empereur allemand est roi de Rome, dans la monarchie belge dont l’héritier est duc de Brabant, également dans des familles princières. Ainsi l’héritier des princes de Condé est-il duc d’Enghien.
grrrrrrrrrrrr!
Il m’énerve ce machin !
» Ce machin » , c’est mon téléphone portable : Il y a quelques jours , j’ai envoyé une carte à Camille ( après avoir demandé la nouvelle adresse de mon ex belle -fille / épouse de Manu ) . Ce matin , j’ai reçu un S.M.S de cette dernière , » parlant » à la place de Camille , évidemment , S.M.S où Camille écrit qu’elle me remercie , qu’elle va bien et qu’elle a invité ses ami( e) s de l’école à passer ce mercredi pour un goûter ….Bref , j’ai voulu répondre à ce S.MS , mais…..Ou je suis nul , ou c’est mon portable qui » a des problèmes » => impossible d’envoyer ce message !!!!
A plus
çà s’est passé il y a environ ….
23 ans :
Le 27 mars 1996 , les moines de Tibhirine disparaissaient :
Dans la nuit du 26 au 27 mars 1976 , sept moines cisterciens furent enlevés en Algérie ( où régnait la guerre civile ) . Le groupe islamiste armé ( G I A ) fut aussitôt mis en cause par les services de sécurité algériens .
Les têtes des religieux français égorgés furent retrouvées 28 jours plus tard . Les responsabilités dans la mort de ces moines n’ont toujours pas été clairement établies .
Cette petite communauté de l’Atlas vivant en proximité avec ses voisins algériens est allée jusqu’au bout de l’amitié et de la fidélité à une vie monastique plantée en terre d’Islam. Ce qui a fait vivre cette communauté continue d’inspirer bien des hommes et des femmes aujourd’hui, de tous horizons, aspirant à vivre cette fraternité qu’ils ont signée de leurs vies. Sous l’égide de « l’Association des écrits des 7 », regroupant les familles, les amis et l’Ordre Cistercien de la Stricte Observance .
La confusion règne au sujet de cette » affaire » :
S’agit-il réellement d’un assassinat des islamistes du GIA ? D’une bavure de l’armée algérienne ? Ou d’une manipulation des services secrets algériens ? Les conclusions des dernières expertises scientifiques, confirment que les moines ont vraisemblablement été tués un mois avant l’annonce officielle de leur décès. Et qu’ils ont été décapités après leur mort.
Au printemps 1996, en pleine guerre civile en Algérie, les sept moines trappistes français avaient refusé de quitter leur monastère de Tibhirine, dans l’Atlas algérien. Christian de Chergé, Luc Dochier, Paul Favre Miville, Michel Fleury, Christophe Lebreton, Bruno Lemarchand et Célestin Ringeard étaient restés en dépit de l’insécurité croissante régnant dans la région de Médéa, à une centaine de kilomètres au sud d’Alger.
Les religieux ont été enlevés par une vingtaine d’hommes armés dans la nuit du 26 au 27 mars 1996. Aussitôt un communiqué du chef du Groupe armé islamique (GIA) Djamel Zitouni, daté du 26 avril, revendique l’enlèvement des moines qu’il menace d’égorger.
Deux mois plus tard, le 23 mai 1996 le GIA, revendique cette fois la séquestration des sept moines et leur assassinat deux jours plus tôt.
Tout le monde s’en fiche mais ….
Manu devait venir ce mdi , donc je me suis levé tôt ( enfin » tôt » pour moi ) , mais………Appel téléphonique : Il a une gastro , alors il n’est pas venu ! ( j’en ai tout de même profité pour lui demander l’adresse de ma petite Camille ) …Et ai envoyé une carte à cette dernière pour son anniversaire .
Tout ceci pour dire que je suis fatigué , inapte à écrire les billets prévus pour ce soir ….Je les mettrais ce jeudi certainement .
Voilà , à demain ….
Klik ….
Visite d’Emmanuel ce mercredi oblige, je me vois dans l’obligation de quitter le net maintenant pour être apte à le recevoir ….( Et lui parler de ma petite Camille , de son anniversaire ! )
çà s’est aussi passé un 26 mars :
26 mars 1814 : mort de Joseph Guillotin,médecin et inventeur de la guillotine……..( Je n’ai pas trouvé de quoi il est mort , guillotiné ???? lol )
J. Guillotin avait été choisi par le tiers état de Paris pour être l’un des électeurs qui devaient désigner les membres des états généraux ; l’assemblée électorale le nomma son secrétaire, puis elle l’élut député. Guillotin se conduisit avec modération dans l’assemblée nationale ; il s’y occupa de divers objets d’utilité publique, entre autres : d’un code criminel en six articles qu’il proposa le 9 octobre 1789 et dont l’objet principal était d’infliger les mêmes peines aux coupables, quels que fussent leur rang et leur état ; lors de la séance du 1er décembre 1789, de faire établir que le plus grand châtiment serait » la décollation », du plan d’organisation de la médecine.
Il prit en outre part aux résolutions les plus remarquables de cette assemblée devenue constituante. Lorsqu’elle eut décidé que les crimes étaient personnels, Guillotin proposa de remplacer tous les autres supplices par la décapitation , se fondant sur ce que, dans l’opinion des Français, ce genre de mort n’était point infamant pour la famille du condamné.
La proposition fut accueillie ; son auteur indiqua une machine connue depuis le XVIe siècle comme propre à donner la mort sans causer de douleurs au patient, et déjà connue dans d’autres parties de l’Europe, notamment en Italie et en Angleterre, ou encore dans le midi de la France. On lui donnait alors le nom de maiden (la jeune fille, la vierge), et on en trouve le dessin dans les gravures des anciennes chroniques allemandes.
Les honnêtes gens applaudirent alors aux motifs d’humanité qui avaient dicté au député philanthrope le choix de cet instrument qui fut adopté par l’Assemblée constituante en 1791. Malheureusement pour Guillotin, on donna son nom à la machine dont il n’était pas l’inventeur et q’il n’avait fait qu’indiquer