Insomnie alors……


J’ai regardé un reportage sur un projet pour le moins audacieux voir..fou ? : Déplacer des iceberg du pôle au désert !!!!!

Projets de remorquage d’icebergs

Si cette manne en eau semble à certains inaccessible, d’autres ont imaginés qu’il serait possible de tracter les Icebergs vers les endroits de la terre où le besoin en eau potable se fait le plus sentir.

L’idée d’exploiter les icebergs pour produire de l’eau douce  n’est pas nouvelle

Ni de les remorquer d’ailleurs: les compagnies pétrolières sont régulièrement amenées à tracter sur de courtes distances, les icebergs qui menacent les installations pétrolières6.

L’initiative de Georges Mougin

L’ ingénieur  Georges Mougin, un ami proche de l’explorateur polaire français P.E. Victor, travaille depuis plus de 40 ans sur l’idée de convoyer un iceberg de l’ Antartique  vers le sud de l’Europe.

L’aventure démarre dans les années 1970, lorsque le prince saoudien Mohamed Al-Fayçal, inquiet des carences en eau douce dans son pays, contacte Georges Mougin pour lui faire part de son rêve : remorquer par voie maritime un iceberg géant pour s’en servir de réservoir naturel d’eau douce. À l’occasion, en 1976, une entreprise est même fondée, Iceberg Transport International, qui est chargée d’étudier la faisabilité de ce projet. En 1977, les deux hommes organisent le premier congrès international sur l’utilisation des icebergs, qui réunit des ingénieurs, des scientifiques et des militaires. Malheureusement, l’entreprise se heurte à des problèmes techniques et financiers et est abandonnée. Depuis 2003, compte tenu de la création de services de prévisions océaniques , et de la disponibilité des moyens maritimes développés pour l’offshore pétrolier , Georges Mougin s’efforce de réactiver ce projet d’exploitation d’icebergs.

« L’étranger »


A lire jusqu’au bout. La chute est à méditer… non ?
VOILA UNE BIEN BELLE ET « REELLE » HISTOIRE,
Quelques années avant ma naissance, mon père connut un étranger récemment arrivé dans notre village. Depuis le début, mon père fut subjugué par ce personnage, si bien que nous en arrivâmes à l’inviter à demeurer chez nous.
    L’étranger accepta et depuis lors il fit partie de la famille.
    Moi je grandissais, je n’ai jamais demandé d’où il venait, tout me paraissait évident.
Ma mère nous ’apprit ce qu’était le bien et ce qu’était le mal et mon père nous apprit l’obéissance.
Mais l’étranger c’était un conteur, un enjôleur.
Il nous maintenait pendant des heures, fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes.
Il avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l’histoire ou les sciences.
Il connaissait tout du passé, du présent, il aurait presque pu parler du futur !
Il fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois.
Il nous faisait rire et il nous faisait pleurer.
L’étranger n’arrêtait jamais de parler, ça ne dérangeait pas ma Maman. Parfois elle se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire ses paroles, je pense qu’en réalité, elle était partie à la cuisine pour avoir un peu de tranquillité. (Maintenant je me demande si elle n’espérait pas avec impatience qu’il s’en aille.)

Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, s’y seraient permis. Ce n’était pas le cas de l’étranger qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman.
Mon père nous avait totalement interdit l’alcool. Lui, l’étranger il nous incitait à en boire souvent.
Il nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distingué.
Il parlait librement (peut-être trop) du sexe.
Ses commentaires étaient évidents, suggestifs, et souvent dévergondés.

Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cet étranger pendant mon adolescence.
   Nous le critiquions, il ne faisait aucun cas de la valeur de mes parents, et malgré cela, il était toujours là !

Cinquante ans sont passés depuis notre départ du foyer paternel.
> > Et depuis lors beaucoup de choses ont changé: nous n’avons plus cette fascination. Il n’empêche que, si vous pouviez pénétrer chez mes parents, vous le retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu’un vienne écouter ses parlotes ou lui consacrer son temps libre…
Voulez-vous connaître son nom?

Nous, nous l’appelons … Téléviseur !
  Remarque :
Il faudrait que cette belle histoire soit lue partout.
  Attention : maintenant il a une épouse qui s’appelle Ordinateur !

 …et un fils qui s’appelle Portable !


Reparti pour  » un tour  »


Après le malaise et le valium , inutile de préciser que je suis dans les vaps ! En plus ce lundi , je dois absolument m’occuper d’un tas de m….diers administratifs . Ras le bol de tous ces papiers à demander , envoyer ,complèter etc…. (il manque toujours quelque chose ) …

Tout çà pour dire que je dois essayer de dormir ( avec le 1/2 valium , çà devrait aller ) pour être apte à m’ occuper de tous ces  » trucs  »

Bon début de semaine à vous , à ce soir ….Si je suis apte …

Paradis…..artificiel…..?


Le malaise épileptique entraine la prise d’un valium ,et tel l’opium……on vit ce que Mr Beaudelaire décrit……L’esprit quitte le corps et……..

 

Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,

Des montagnes, des bois, des nuages, des mers,

Par-delà le soleil, par-delà les éthers,

Par-delà les confins des sphères étoilées,

Mon esprit, tu te meus avec agilité,

Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde,

Tu sillonnes gaîment l’immensité profonde

Avec une indicible et mâle volupté.

Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides ;

Va te purifier dans l’air supérieur,

Et bois, comme une pure et divine liqueur,

Le feu clair qui remplit les espaces limpides.

Derrière les ennuis et les sombres chagrins

Qui chargent de leur poids l’existence brumeuse,

Heureux celui qui peut d’une aile vigoureuse

S’élancer vers les champs lumineux et sereins ;

Celui dont les pensées, comme des alouettes,

Vers les cieux le matin prennent un libre essor,

— Qui plane sur la vie, et comprend sans effort

Le langage des fleurs et des choses muettes !

Les Amis..avec le temps…


Mes Amis d’Autrefois

Mes amis d’autrefois
On s’aperçoit parfois
Ils font les très pressés
Ou ailleurs vont passer

Au temps des belles études
Pour tous l’insouciance
C’était une certitude
Notre éternelle alliance

Malgré de belles études
Je n’ai pas réussi
J’suis plus d’leur latitude
Plus d’la même galaxie

Mes amis d’autrefois
On s’aperçoit parfois
Ils font les très pressés
Ou ailleurs vont passer

Je n’ai pas fait le beau
Pour arriver en haut
J’n’ai pas tout sacrifié
Je n’ai rien falsifié

Pour eux j’suis un perdant
Ça gêne pas mon sommeil
J’ai santé et enfants
La vie elle m’émerveille

Mes amis d’autrefois
Ont-ils encore la foi ?
J’en doute pas que parfois
Chers amis d’autrefois

Texte de P.Galliez (inconnu )

…………..


« On peut fort bien vivre sans âme, il n’y a pas de quoi en faire une histoire, cela arrive très souvent. Le seul problème c’est que les choses ne viennent plus vers vous, quand vous les appelez par leur nom . »

Christian Bobin

 » Quand on s’abandonne on ne souffre pas. Quand on s’abandonne, même à la tristesse, on ne souffre plus « .

Antoine de Saint-Exupéry

J’arrête…


Pour cette nuit en tous cas….Je n’ai que des banalités à « narrer  »  : Comme le fait habituel que Emmanuel vient manger ce mercredi  ( ce sera du lapin cuisiné à ma façon ) , j’ai aussi mal à la tête comme souvent ces derniers temps …..J’ai essayé de lire un peu mais….pffff etc…..Alors, je regarde la télé ( si on peut dire que je regarde car elle est allumée mais ……)

  Bref , je crois que je devrais fermer complètement mes blogs qui n’ont plus d’intérêt , mais là encore , je ne suis même pas fichu de me décider à le faire alors….

Allez ;basta

« Chantez la vie, l’Amour et la mort »


Il y a des chansons pour bercer les enfants
D’autres qui réveillent la révolte endormie
Il y en a d’autres comme un cheval soumis
D’autres ont la violence du meurtre et du sang

Les chants populaires ne font pas d’exception
La joie des naissances, la pourriture des os
Des chants de travail et des chants de repos
Voilà ce qu’on trouve dans la tradition

Chantez la vie, l’amour et la mort
Les saisons, les rêves, le travail et la grève
Aux champs, à l’usine, chantez vos efforts
La chanson peut tout dire, le meilleur, le pire

On veut la réduire à la distraction
On dit qu’elle doit nous faire oublier la vie
A qui ça profite qu’on oublie la vie
Qu’on fume du rêve, bien planant, bien con

Pour faire des chansons, pour savoir chanter
Pas la peine d’être dans le génie taille
Il faut simplement apprendre et travailler
Ce n’est ni prodige, ni facilité
‎ ‎
Chantez la vie, l’amour et la mort
Les saisons, les rêves, le travail et la grève
Aux champs, à l’usine, chantez vos efforts
La chanson peut tout dire, le meilleur, le pire

On peut être heureux de savoir chanter
On peut être heureux de ce qu’on a écrit
D’avoir réussi une jolie mélodie
Mais d’être chanteur, pas de quoi se vanter

Les chanteurs ne sont pas des gens à part
Et ce qu’ils font tous, vous pouviez tous le faire
Si vous n’l’me faites plus, c’est qu’on vous a fait taire
Pour vous rendre muets, on vous donne des stars

Chantez la vie, l’amour et la mort
Les saisons, les rêves, le travail et la grève
Aux champs, à l’usine, chantez vos efforts
La chanson peut tout dire, le meilleur, le pire

N’admirez donc plus l’individu bourgeois
Ne laissez pas sa classe parler à votre place
Prenez la tradition et marchez sur ses traces
C’est le peuple qui parle et c’est votre voix

Chantez la vie, l’amour et la mort
Les saisons, les rêves, le travail et la grève
Aux champs, à l’usine, chantez vos efforts
La chanson peut tout dire, le meilleur, le pire

Chantez la vie, l’amour et la mort
Les saisons, les rêves, le travail et la grève
Aux champs, à l’usine, chantez vos efforts
La chanson peut tout dire, le meilleur, le pire
La chanson peut tout dire, le meilleur, le pire

Auteur : Gilles Servat.

Les oiseaux…..F.Béranger


Les paroles:

Paroles de la chanson Les oiseaux mécaniques :
Quand les oiseaux n’étaient pas mécaniques
Il y a bien de cela trente ans
Ils chantaient tous de façon anarchique
Dans des arbres de trois cent ans
Ils pondaient des œufs
Dans des nids bien à eux
Maintenant grâce à nous les mutants
Dans le béton brut, plus d’impondérables
Ça ne sera jamais plus comme avant

Quand les oiseaux n’étaient pas mécaniques
Il y a bien de cela trente ans
On nous a montré au programme scientifique
de la populo-video
Les ravages iniques
De ces êtres merdiques
Qui salissaient les monuments
Sans compter les risques
Pour la santé publique
Contenus dans leurs excréments

Quand les oiseaux n’étaient pas mécaniques
Il y a bien de cela trente ans
Nos technocrates
Béni soit leur saint nom
Trouvèrent la solution pratique
Pour supprimer radicalement
Tous ces vecteurs de parasites
Ils coupèrent les arbres
Ces machins verdâtres
Pour y faire pousser du ciment

Quand les oiseaux n’étaient pas mécaniques
Il y a bien de cela trente ans
On trouvait éminemment poétique
D’aller souvent perdre du temps
Sous les ombres …
Des forêts putrides
A écouter leurs pépiements
On dirait une fable
Vraiment peu croyable
S’il n’y avait des documents