Tout le monde s’en moque , mais là , je ne suis pas « en forme » du tout …Alors ……Peut-être que je passerais cette nuit sinon……
Mois: août 2013
50 ans de passés et ………..peu de choses ont changé !
Le texte du discours ………(traduction )
J’ai fait un rêve… |
Discours prononcé par Martin Luther King, Jr, sur les marches du Lincoln Memorial, Washington D.C., le 28 août 1963.
» Il y a cent ans, un grand américain, qui jette sur nous aujourd’hui son ombre symbolique, a signé la Proclamation d’Emancipation. Cet arrêté d’une importance capitale venait porter lumière, comme un phare d’espoir, aux millions d’esclaves Noirs marqués par les flammes d’une injustice foudroyante, et annonçait l’aube joyeuse qui allait mettre fin à la longue nuit de la captivité. »
» Mais un siècle plus tard, nous devons faire le constat tragique que les Noirs ne sont pas encore libres. Un siècle plus tard, la vie des Noirs reste entravée par la ségrégation et enchaînée par la discrimination. Un siècle plus tard, les Noirs représentent un îlot de pauvreté au milieu d’un vaste océan de prospérité matérielle. Un siècle plus tard, les Noirs languissent toujours dans les marges de la société américaine, des exilés dans leur propre terre. Alors nous venons ici aujourd’hui pour dramatiser notre condition effroyable. »
« Nous venons à la capitale de notre nation pour demander, en quelque sorte, le paiement d’un chèque. Quand les architectes de notre république écrivirent les textes magnifiques de la Constitution et de la Déclaration d’Indépendance, ils signèrent un billet à l’ordre de chaque américain. C’était la promesse que chacun serait assuré de son droit inaliénable à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur.
Il est aujourd’hui évident que l’Amérique a manqué à cet engagement quant à ses citoyens de couleur. Au lieu de faire honneur à cette obligation sacrée, l’Amérique a passé au peuple Noir un chèque qui revient marqué « sans provisions ». Mais nous ne saurons croire que la banque de la Justice a fait faillite. Nous ne saurons croire qu’il n’y a plus suffisamment de provisions dans les grands coffres d’opportunité nationaux. Alors nous venons exiger paiement contre ce chèque, paiement sur demande des richesses de la liberté et de la sécurité que procure la justice. Nous venons également à cet endroit sacré pour rappeler à l’Amérique l’urgence absolue du moment. Ce n’est pas le moment de prendre le luxe de laisser calmer les esprits, ni de nous laisser endormir par une approche graduelle. Il est temps de quitter la vallée sombre et désolée de la ségrégation pour prendre le chemin ensoleillé de la justice raciale. Il est temps d’ouvrir les portes de l’opportunité à tous les enfants de Dieu. Il est temps de tirer notre nation des sables mouvants de l’injustice raciale jusqu’au rocher solide de la fraternité.
Que la nation ne tienne pas compte de l’urgence du moment, qu’elle sous-estime la détermination des Noirs, lui serait fatal. Cet été étouffant du mécontentement légitime des Noirs ne prendra fin qu’à l’arrivée d’une automne vivifiante qui amènera liberté et égalité. L’année 1963 n’est pas une fin, mais un début. Ceux qui veulent croire que les Noirs seront satisfaits seulement de s’exprimer avec force auront un fâcheux réveil si la nation revient aux affaires habituelles comme si de rien n’était. L’Amérique ne connaîtra ni repos ni tranquillité tant que les Noirs ne jouissent pas pleinement de leurs droits civiques. Les orages de la révolte continueront à secouer les fondations de notre pays jusqu’au jour où la lumière de la justice arrivera.
Mais il y a quelque chose que je dois dire à mon peuple, qui est sur le point de franchir le seuil de la justice. En luttant pour prendre notre juste place, nous ne devrons pas nous rendre coupables d’actes injustes. Ne buvons pas de la coupe de l’amertume et de la haine pour assouvir notre soif.
Nous devons toujours conduire notre lutte dans un haut souci de dignité et de discipline. Nous ne pouvons pas laisser notre protestation créative dégénérer en violence physique. Encore et encore, nous devons atteindre ce niveau exalté où nous opposons à la force physique, la force de l’âme. Le militantisme merveilleux qui a pris la communauté noire ne doit pas nous amener à nous méfier de tous les Blancs, puisque beaucoup de nos frères Blancs, on le voit par leur présence ici aujourd’hui, se sont rendu compte que leur destin est lié au nôtre, et que leur liberté dépend étroitement de la nôtre. Nous ne pouvons pas marcher seuls.
Et quand nous marchons, nous devons jurer d’aller toujours de l’avant. Nous ne pouvons pas faire demi-tour. Il y en a qui demandent aux fervents des droits civiques: « Quand serez-vous satisfaits ? » Nous ne saurons être satisfaits tant que nous ne pouvons pas laisser nos corps fatigués se reposer dans les motels des routes ni les hôtels des villes. Nous ne saurons être satisfaits tant que les Noirs ne peuvent bouger que d’un petit ghetto à un ghetto plus grand. Nous ne saurons être satisfaits tant qu’un Noir du Mississippi n’a pas le droit de voter et qu’un Noir à New York ne voit rien pour lequel il peut voter. Non, non, nous ne sommes pas satisfaits, et nous ne serons satisfaits que le jour où la justice se déchaînera comme les eaux, et que la rectitude sera comme un fleuve puissant.
Je ne suis pas sans savoir que certains d’entre vous arrivent ici après maintes épreuves et tribulations. Certains d’entre vous viennent directement des cellules étroites de prison. Certains d’entre vous viennent des régions où votre quête pour la liberté vous a laissés meurtris par les orages de la persécution et renversés par le vent de la brutalité policière. Vous êtes les vétérans de la souffrance créative. Persévérez dans l’assurance que la souffrance non-méritée vous portera rédemption.
Retournez au Mississippi, retournez en Alabama, retournez en Géorgie, retournez en Louisiane, retournez dans les ghettos et quartiers pauvres de nos villes du Nord, en sachant que cette situation, d’une manière ou d’une autre, peut être et sera changée. Ne nous complaisons pas dans la vallée du désespoir.
Je vous dis aujourd’hui, mes amis, que malgré les difficultés et les frustrations du moment, j’ai quand même fait un rêve. C’est un rêve profondément enraciné dans le rêve américain.
J’ai fait un rêve, qu’un jour, cette nation se lèvera et vivra la vraie signification de sa croyance : « Nous tenons ces vérités comme allant de soi, que les hommes naissent égaux. »
J’ai fait un rêve, qu’un jour, sur les collines de terre rouge de la Géorgie, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d’esclaves pourront s’asseoir ensemble à la table de la fraternité.
J’ai fait un rêve, qu’un jour même l’état de Mississippi, un désert étouffant d’injustice et d’oppression, sera transformé en un oasis de liberté et de justice.
J’ai fait un rêve, que mes quatre enfants habiteront un jour une nation où ils seront jugés non pas par la couleur de leur peau, mais par le contenu de leur caractère. J’ai fait un rêve aujourd’hui
J’ai fait un rêve, qu’un jour l’état de l’Alabama, dont le gouverneur actuel parle d’interposition et de nullification, sera transformé en un endroit où des petits enfants noirs pourront prendre la main des petits enfants blancs et marcher ensemble comme frères et soeurs.
J’ai fait un rêve aujourd’hui.
J’ai fait un rêve, qu’un jour, chaque vallée sera levée, chaque colline et montagne sera nivelée, les endroits rugueux seront lissés, les endroits tortueux seront faits droits, et la gloire du Seigneur sera révélée, et tous les hommes la verront ensemble.
Ceci est notre espoir. C’est avec cet espoir que je rentre au Sud. Avec cette foi, nous pourrons transformer les discordances de notre nation en une belle symphonie de fraternité. Avec cette foi, nous pourrons travailler ensemble, prier ensemble, lutter ensemble, être emprisonnés ensemble, nous révolter pour la liberté ensemble, en sachant qu’un jour nous serons libres.
Quand ce jour arrivera, tous les enfants de Dieu pourront chanter avec un sens nouveau cette chanson patriotique: « Mon pays, c’est de toi, douce patrie de la liberté, c’est de toi que je chante. Terre où reposent mes aïeux, fierté des pèlerins, de chaque montagne, que la liberté retentisse. »
Et si l’Amérique veut être une grande nation, ceci doit se faire. Alors, que la liberté retentisse des grandes collines du New Hampshire. Que la liberté retentisse des montagnes puissantes de l’état de New York. Que la liberté retentisse des hautes Alleghenies de la Pennsylvanie!
Que la liberté retentisse des Rocheuses enneigées du Colorado !
Que la liberté retentisse des beaux sommets de la Californie!
Mais pas que ça, que la liberté retentisse des Stone Mountains de la Georgie!
Que la liberté retentisse des Lookout Mountains du Tennessee!
Que la liberté retentisse de chaque colline et de chaque taupinière du Mississippi!
Que la liberté retentisse!
Quand nous laisserons retentir la liberté, quand nous la laisserons retentir de chaque village et de chaque lieu-dit, de chaque état et de chaque ville, nous ferons approcher ce jour quand tous les enfants de Dieu, Noirs et Blancs, Juifs et Gentils, Catholiques et Protestants, pourront se prendre par la main et chanter les paroles du vieux spiritual noir: « Enfin libres! Enfin libres! Dieu Tout-Puissant, merci, nous sommes enfin libres! »
Suicide inconscient ?????????
Pas de panique ! lol
Ce n’est qu’une anecdote , un accident :
Je ne me souviens plus de l’heure à laquelle je me suis couché cette nuit , toujours est il que je me suis éveillé vers 16 heures ! (Et encore , c’est Fripon qui m’a réveillé ) …..Il est vrai que je ne me lève jamais tôt , mais là ???!
Ce n’ai qu’en prenant mon « petit déjeuner » que j’ai compris : J’ai un traitement assez lourd ( 4 / 5 comprimés à prendre deux fois par jour ) mais je ne les prends que le soir….En général avant le repas ….Comme ma mémoire est pour le moins défaillante , j’ ai mis au point un « truc » pour voir quand j’ai pris mon traitement …Bref , hier soir , je me suis « planté » et ai pris DEUX fois les comprimés !!!!.
Inutile de vous préciser que j’ai très vite sombré dans les bras de Morphée ! Et comme je disais , c’est Fripon qui m’a réveillé vers 16 h …Est ce que çà lui semblait anormal , inhabituel ? En plus, quand je suis descendu ,le téléphone sonnait mais je n’ai pas décroché vu mon état pour le moins « vaseux » de même quand on a sonné à la porte ….Je n’ ai pas ouvert…..Je me demande quelle aurait été la réaction du médecin , des pompiers s’ils m’avaient trouvé mort ? Surement pas « accident » plus probablement suicide …..Comme quoi….Un moment d’inattention et ….le tour est joué …Bien entendu , ce soir j’ai fait très attention …..
Le téléphone a à nouveau sonné tout à l’heure : C’était le livreur qui était passé ce matin et était reparti « bredouille » étant donné que je n’avait pas répondu à son coup de sonnette ….Il doit passer demain vers 15 heures….J’espère que je serai apte à le recevoir …
Positiver……….
« L’important, ce n’est pas ce que tu as dans la poche, mais ce que tu as dans le coeur. »- Cardinal Bernardin
J’voudrais bien mais….
Ce qui se passe dans votre corps quand vous arrêtez de fumer
Que vous fumiez depuis 30 jours ou 30 ans, votre corps PEUT se débarrasser de toutes les toxines que vous avez inhalées et qui se sont accumulées dans vos organes.
Arrêtez maintenant. Il n’est pas nécessaire d’attendre un moment où vous serez plus « prêt ». Maintenant, c’est le bon moment. Et ainsi :
- dans 20 minutes, votre pression sanguine sera redevenue normale ;
- dans 8 heures, le taux de monoxyde de carbone dans votre sang (un poison dangereux), aura diminué de moitié, et votre niveau d’oxygène sera redevenu normal ;
- dans 48 heures, votre risque d’attaque cardiaque aura diminué. Toute trace de nicotine aura disparu de votre corps. Votre odorat et votre goût redeviendront normaux ;
- dans 72 heures, vos bronches se relâcheront, et votre niveau d’énergie augmentera ;
- dans 2 semaines, votre circulation sanguine s’accélèrera, et continuera à s’améliorer pendant les 10 prochaines semaines ;
- dans 3 à 9 mois, votre toux, vos éternuements et vos problèmes respiratoires se dissiperont, tandis que la capacité de vos poumons augmentera de 10 % ;
- dans 1 an, votre risque d’infarctus (attaque cardiaque) aura baissé de moitié ;
- dans 5 ans, votre risque d’AVC (attaque cérébrale) sera redevenu identique à celui d’un non-fumeur ;
- dans 10 ans, votre risque de cancer du poumon sera redevenu identique à celui d’un non-fumeur ;
- dans 15 ans, votre risque d’infarctus sera redevenu identique à celui d’un non-fumeur.
Enrichissez-vous !
Arrêter de fumer vous permettra de vous enrichir, puisque vous mettrez de côté le budget que vous consacriez au tabac, ou plutôt, à payer les taxes sur le tabac, qui représentent 80 % du prix d’un paquet de cigarettes.
Il faut rappeler en effet que ce sont les États qui ont encouragé les populations à fumer.
En France, la consommation de tabac ne devint massive que lorsque le gouvernement eut la brillante idée de distribuer gratuitement du tabac gris aux soldats de la troupe pendant la Première Guerre mondiale.
Quand la guerre fut finie, il créa la SEITA, ou « service d’exploitation industrielle des tabacs et allumettes », et lui accorda en 1926 un lucratif monopole, afin de financer les emprunts d’Etat.
C’est ainsi que de nombreux hommes sont alors devenus accrocs à la cigarette. La SEITA engrangea donc, pour le compte de l’Etat, des bénéfices à faire rêver Ali-Baba : la production de cigarettes passa de 10 milliards d’unités en 1923 à 19 milliards en 1940, à 86 milliards en 1980.
Entre temps, en effet, le gouvernement américain s’en était mêlé : à l’occasion de la Seconde Guerre mondiale et des guerres qui suivirent (Corée, Viet-Nam, Afghanistan…), il envoya ses soldats dans le monde entier toujours accompagnés de cargaisons de cigarettes américaines qui devinrent un symbole de la liberté (!). La consommation de cigarettes devint un phénomène mondial.
En 1980 toutefois, les gouvernements s’aperçurent que les sommes folles qu’ils récupéraient grâce aux taxes sur les cigarettes se trouvaient très nettement entamées par la prise en charge du cancer du poumon, des infarctus et autres décès précoces causés par la cigarette. (Notez que j’ai bien écrit « prise en charge » et non pas « traitement », le cancer du poumon se soldant par la mort du patient dans 85 % des cas, à l’horizon de 5 ans).
Au milieu des années 1960, le lien de causalité entre le tabagisme et le cancer du poumon avait été établi avec certitude. ( La facture s’avérait énorme, dépassant largement les bénéfices, pourtant mirobolants, de la SEITA !
Il s’agit alors de pagayer à toute allure dans l’autre sens : de producteur et distributeur de tabac, les gouvernements endossèrent le costume de justiciers des populations « opprimées par la grande industrie du tabac » qui fut désignée comme coupable d’avoir fait de la publicité.
La SEITA, sur laquelle on s’apprêtait à tirer à boulets rouges et dont la faillite était quasiment certaine, fut privatisée en toute hâte.
Afin de faire oublier leur responsabilité dans l’affaire, les gouvernements expliquèrent qu’ils imposeraient désormais des taxes supplémentaires sur le tabac, pour dissuader les populations d’en consommer !
Dormir………
Ce serait le mieux….Alors je vais tenter de me plonger dans les brumes du sommeil………
Ecrit de « mon cru » il y a ………???
Vie..Survie?…………

Euthanasie un droit ?

Le Comité consultatif national d’éthique, saisi par François Hollande sur la question de la fin de vie, a rendu son avis lundi. Les membres du comité n’ont pas autorisé le suicide assisté ni l’euthanasie et préconisent un débat public.
Le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a rendu lundi 1er juillet un avis prudent concernant la question de la fin de vie. Saisi par François Hollande en décembre dernier, le CCNE recommande de ne pas légaliser l’assistance au suicide, ni l’euthanasie. La commission d’experts préfère que la réflexion se poursuive « sous la forme d’un débat public ».
« Le Comité national d’éthique a souhaité avoir un débat national, c’est également ma démarche« , a déclaré le chef de l’État lundi, en marge d’une visite au centre hospitalier de Lorient. « Au terme de ce débat, il y aura, sans doute à la fin de l’année, un projet de loi qui sortira, fort de ce qui aura été dit et précisé à l’occasion de cette réflexion », a-t-il poursuivi. Le projet de loi a pour but d’ « améliorer » la loi Leonetti « qui est déjà un premier pas dans la direction qui est celle de la dignité humaine », a-t-il ajouté.
Des divisions au sein du CCNE
Les membres du CCNE ont montré des divisions, notamment sur la différence qui existe entre « laisser mourir » et « faire mourir », tant la frontière est tenue et le sujet sensible. Huit experts sur les quarante membres que compte le comité se sont notamment interrogés sur les critères qui pourraient autoriser certaines demandes d’aide à mettre un terme à sa vie.
Le président du CCNE a en outre précisé que les positions des huit experts en désaccord avec la majorité faisaient partie intégrante de l’avis rendu.
Et des propositions unanimes
Le Comité a également émis une série de propositions, adoptées cette fois à l’unanimité, visant à améliorer la prise en charge des malades en fin de vie. Il préconise ainsi que les « directives anticipées » émises par un patient atteint d’une maladie grave, rédigées en présence d’un médecin traitant, deviennent « contraignantes pour les soignants sauf exception dûment justifiée par écrit ». Aujourd’hui, elles ne sont considérées que comme l’expression de souhaits, les décisions étant prises par les médecins.
Les membres du Comité recommandent également que soit respecté le droit d’une personne en fin de vie à être endormie, – « sédation profonde »-, jusqu’au décès quand les traitements, voire l’alimentation et l’hydratation ont été arrêtés, à sa demande.
Enfin le comité préconise le développement de soins palliatifs « à domicile », pour les rendre accessibles à tous, comme le stipule la loi « depuis quatorze ans ». La personne malade et ses proches doivent être « associés pleinement » à toutes les décisions concernant sa fin de vie. Ces décisions ne doivent plus être discutées seulement entre médecins. Les membres s’accordent pour dire qu’il faudrait renforcer la formation des soignants et leur capacité d’écoute et de dialogue.
Mer……….d …credi….
Si je veux résumer , je dirais que ce mercredi fut un jour » merdique » ! (y en a ….)…..
D’abord , routine oblige , je suis sorti comme chaque jour pour acheter pain et cigarettes …..Mais j’ai trouvé portes closes ! (la boulangerie , c’est classique , elle est fermée le mercredi après -midi ( j’avais oublié ) …..Le buraliste , là ???? pas là pourquoi ?
Le pain , pour moi , n’est pas un problème (j’en ai toujours » d’avance ‘ ) , mais les clops ! vital ! Alors , je décidais de rentrer boire un café , et voir si il me reste du tabac » à rouler » ; mais ….pas de tabac …Une seule solution : Gravir la pente lol , disons » monter » jusqu’au centre du village où ce trouve un autre « bureau de tabac » ..( Celui – ci est la propriété de la propriétaire de mon logement , ce bureau de tabac est aussi un salon de coiffure « mixte » ultra chic avec tout le « bin’s » utile aux femmes esthétiquement parlant …..) ….Ce dernier point explique le regard de la patronne vers mon abondante et longue chevelure du moment ( il faut dire que mes cheveux n’ont pas été coupés depuis le mariage de Manu et Lise il y a maintenant presque un an (c’était le 8/09/2012 )! )…
J’adore quand les gens me regardent comme çà ! Pour eux , je ne suis pas » normal » ……pas « à la mode »
Comme c’était sur mon chemin , je m’arrêtais à mon ancien magasin pour faire quelques achats alimentaires nécessaires (café ,quelques boites de conserves et quelques yaourts ….)….histoire d’appliquer le principe inversé des « vases communicants « </iframe>
Ensuite , je rentrais et…..sans explication , comme d’habitude , un début de malaise survint….pfff ! Heureusement , celà ne dura que quelques instants et se passa sans prendre de médicament….Il ne me resta qu’un léger mal de tête pendant un moment…..Mal de tête qui se résorba avec l’aide des ronronnements « relaxants » de Fripon …
Pour finir , le comble : Manu me téléphona un peu après mon retour pour me dire qu’il pourrait m’emmener en auto (bien entendu ) jusqu’ au supermarché ce jeudi en fin d’après-midi !!!! Comme il me faudrait un « cubi » de gaz , je lui dis qu c’était d’accord …( Sans préciser que je rentrais du magasin /épicerie !)….
P.S : Quand je lui ai demandé comment allait Lise , il m’a dit qu’elle allait bien , mais a des nausées régulièrement….Je lui ai dit que c’est « classique » (en fait , je n’en sais rien ? )
Ce fut le résumé d’une journée banale est classique d ‘un « ermite-athée solitaire » lol Passionnant n’est ce pas ?
» Y a comme un défaut » !
Décidément , je » fatigue du bulbe » : Ce n’est qu’à l’instant que je m’aperçois que nous étions samedi ! (Grâce à une émission de télé consacrée à Mr Brel qui ne passe que dans la nuit de samedi et est consacrée à un artiste chaque semaine ) bref ,je pensais être dimanche …….Ceci n’aurait aucune importance si ce n’est que mon réfrigérateur est absolument vide ( reste un quart de camembert et 3 fruits !)……Heureusement ,j’ai des cigarettes d’avance sinon………..
Bahhh , j’ai du café et pain et beurre , je devrais « tenir » jusque lundi ………..
Quand l’amie qui vient début septembre sera là , comme elle est une excellente cuisinière , ce sera un plaisir supplémentaire de la recevoir , à chaque fois , je me régale hummmm!