Etre en odeur de sainteté ?


……en état de perfection spirituelle ; bien vu ; qui inspire confiance

Origine et définition

Le saint a-t-il une odeur particulière ? Le saint doux oui () et le Saint-Nectaire aussi () lol.

Mais est-ce le cas du saint commun, celui qui est coiffé de l’auréole, parce qu’il le vaut bien ?
N’ayant senti de près et à dessein que  »des seins ou des dessins », mais jamais des saints, on saurait l’affirmer.
Pourtant, il a été dit, autrefois, que le corps d’un saint émettait après sa mort une odeur particulière, suave qui permettait de le distinguer aisément des autres personnes décédées.
C’est de là qu’au XVIIe siècle est apparue notre expression avec son premier sens indiqué, pour désigner une personne ayant eu de son vivant un comportement si admirable que sa
canonisation était envisageable.
Mais avant cela, au XVIe siècle, il existait déjà « être en bonne / mauvaise odeur » pour désigner quelqu’un qui faisait bonne ou mauvaise impression, tant il vrai que les odeurs qui émanent d’une personne qu’on rencontre peuvent parfois inciter à la cataloguer très rapidement.
Furetière indique d’ailleurs « odeur se dit figurément aux choses morales et signifie bonne ou mauvaise réputation ».
Ce sens n’a pas disparu et il est resté aujourd’hui dans notre expression, la bonne odeur devenant l’odeur de sainteté et désignant, parce qu’il a fait bonne impression, quelqu’un qui est apprécié, bien vu.
Dans ce second sens, le moderne, la locution s’emploie plutôt à la forme négative « ne pas être en odeur de sainteté » pour désigner une personne mal vue par une autre.

Exemples:

‘ Enfin, il entreprit le pèlerinage qu’on lui avait conseillé à Whiteherne : là, il se confessa pour la première fois depuis son infortune, et reçut l’absolution d’un vieux moine qui mourut ensuite en odeur de sainteté.  »
Walter Scott – Redgauntlet – 1824
 »Vous croyez, Comtesse, que cette lettre va lever tous les obstacles ; pas du tout : elle n’a fait que les compliquer, les républicains n’ayant pas ce ministre en odeur de sainteté.  »

Mes blogs:Pratiquement pas de commentaire…


.……J’ai bien envie ( encore) d’arrêter ….Mais , au fond , si j’écris c’est d’abord pour moi , pour m’occuper ,on peut dire que commentaires ou non ,  » c’est le cadet de mes soucis  »

Pour m’occuper,passer le temps , j’ai chercher ici et là d’où venait cette expression et:

=  »C’est le moindre de mes soucis »

Avant la Révolution française ,les plus jeunes fils étaient très souvent obligés, par nécessité, de s’engager dans l’ordre ecclésiastique ou dans un régiment.

image trouvée sur le net

De là on appela cadet tout jeune homme se mettant en service comme simple soldat pour apprendre le métier des armes.

Mais, à la longue, le mot cadet s’écarta de sa signification primitive, et il en est venu à indiquer le dernier des fils, comme le met en évidence cette phrase de  »l’orateur sacré  » Bourdaloue

L.Bourdaloue ?

? ( Bourdaloue (Louis Bourdaloue (aussi Bourdaloüe), né le 20 août 1632 à Bourges (France) et mort le 13 mai 1704 à Paris, est un jésuite français.) :  » Il suffit que ce jeune homme soit le cadet de sa maison pour ne pas douter qu’il ne soit appelé aux fonctions de pasteur des âmes.  »

Le mot cadet avait aussi la signification de moindre, d’inférieur, par rapport à un aîné quand il désignait le deuxième fils d’une famille.(Chez moi c’est Alain, le militaire fasciste,raciste => il est 2 fois le cadet :1) 2ème fils , 2) le cadet de mes soucis car il me répugne avec ses idées )

On comprend que, par suite de cette autre signification, on ait fini par dire : C’est le cadet de mes soucis, ce qui veut dire le moindre.

P.S : Si quelqu’un ( ce qui , vu le nombre de lecteur et de commentaire ,m’étonnerait ) a une autre explication , je suis  » preneur  »…..

klik

Depuis 2000 ans…Théorie,


…..rien n’a changé :

  1. Le pauvre :Travaille
  2. Le riche : Exploite le 1er
  3. Le soldat :Défend les 2…?
  4. Le contribuable paie pour les 3
  5. Le chômeur se  » repose  » pour les 4 ?
  6. L’ivrogne boit pour les 5
  7. Le banquier escroque les 6
  8. L’avocat trompe les 7
  9. Le médecin tue les 8
  10. Le croquemort enterre les 9
  11. Le politique vit de ces 10

Théorie de Cicéron (Né:106 av. J.-C. -Mort : 043 av. J.-C.)

Les commentaires ne sont pas utiles ni nécessaires, j’écris maintenant pour moi d’abord (mais je les laisse  » ouverts  » au cas où)

Discours de Victor Hugo …..


….sur la misère ….

Victor_hugo

Victor Hugo  » discours sur la misère  » à l’Assemblée Nationale le 9 juillet 1849 

 »Je ne suis pas, Messieurs, de ceux qui croient qu’on peut supprimer la souffrance en ce monde, la souffrance est une loi divine, mais je suis de ceux qui pensent et qui affirment qu’on peut détruire la misère. Remarquez-le bien, Messieurs, je ne dis pas diminuer, amoindrir, limiter, circonscrire, je dis détruire. La misère est une maladie du corps social comme la lèpre était une maladie du corps humain ; la misère peut disparaître comme la lèpre a disparu. Détruire la misère ! Oui, cela est possible ! Les législateurs et les gouvernants doivent y songer sans cesse ; car, en pareille matière, tant que le possible n’est pas le fait, le devoir n’est pas rempli.

La misère, Messieurs, j’aborde ici le vif de la question, voulez-vous savoir où elle en est, la misère ? Voulez-vous savoir jusqu’où elle peut aller, jusqu’où elle va, je ne dis pas en Irlande, je ne dis pas au moyen-âge, je dis en France, je dis à Paris, et au temps où nous vivons ? Voulez-vous des faits ?

Mon Dieu, je n’hésite pas à les citer, ces faits. Ils sont tristes, mais nécessaires à révéler ; et tenez, s’il faut dire toute ma pensée, je voudrais qu’il sortît de cette assemblée, et au besoin j’en ferai la proposition formelle, une grande et solennelle enquête sur la situation vraie des classes laborieuses et souffrantes en France. Je voudrais que tous les faits éclatassent au grand jour. Comment veut-on guérir le mal si l’on ne sonde pas les plaies ?

Voici donc ces faits :

Il y a dans Paris, dans ces faubourgs de Paris que le vent de l’émeute soulevait naguère si aisément, il y a des rues, des maisons, des cloaques, où des familles, des familles entières, vivent pêle-mêle, hommes, femmes, jeunes filles, enfants, n’ayant pour lits, n’ayant pour couvertures, j’ai presque dit pour vêtements, que des monceaux infects de chiffons en fermentation, ramassés dans la fange du coin des bornes, espèce de fumier des villes, où des créatures humaines s’enfouissent toutes vivantes pour échapper au froid de l’hiver. Voilà un fait. En voici d’autres : Ces jours derniers, un homme, mon Dieu, un malheureux homme de lettres, car la misère n’épargne pas plus les professions libérales que les professions manuelles, un malheureux homme est mort de faim, mort de faim à la lettre, et l’on a constaté après sa mort qu’il n’avait pas mangé depuis six jours. Voulez-vous quelque chose de plus douloureux encore ? Le mois passé, pendant la recrudescence du choléra, on a trouvé une mère et ses quatre enfants qui cherchaient leur nourriture dans les débris immondes et pestilentiels des charniers de Montfaucon!

Eh bien, messieurs, je dis que ce sont là des choses qui ne doivent pas être ; je dis que la société doit dépenser toute sa force, toute sa sollicitude, toute son intelligence, toute sa volonté, pour que de telles choses ne soient pas ! Je dis que de tels faits, dans un pays civilisé, engagent la conscience de la société toute entière ; que je m’en sens, moi qui parle, complice et solidaire, et que de tels faits ne sont pas seulement des torts envers l’homme, que ce sont des crimes envers Dieu !

Voilà pourquoi je suis pénétré, voilà pourquoi je voudrais pénétrer tous ceux qui m’écoutent de la haute importance de la proposition qui vous est soumise. Ce n’est qu’un premier pas, mais il est décisif. Je voudrais que cette assemblée, majorité et minorité, n’importe, je ne connais pas, moi de majorité et de minorité en de telles questions ; je voudrais que cette assemblée n’eût qu’une seule âme pour marcher à ce grand but, à ce but magnifique, à ce but sublime, l’abolition de la misère!

Et, messieurs, je ne m’adresse pas seulement à votre générosité, je m’adresse à ce qu’il y a de plus sérieux dans le sentiment politique d’une assemblée de législateurs ! Et à ce sujet, un dernier mot : je terminerai là.

Messieurs, comme je vous le disais tout à l’heure, vous venez avec le concours de la garde nationale, de l’armée et de toutes les forces vives du pays, vous venez de raffermir l’Etat ébranlé encore une fois. Vous n’avez reculé devant aucun péril, vous n’avez hésité devant aucun devoir. Vous avez sauvé la société régulière, le gouvernement légal, les institutions, la paix publique, la civilisation même. Vous avez fait une chose considérable… Eh bien ! Vous n’avez rien fait !

Vous n’avez rien fait, j’insiste sur ce point, tant que l’ordre matériel raffermi n’a point pour base l’ordre moral consolidé ! Vous n’avez rien fait tant que le peuple souffre ! Vous n’avez rien fait tant qu’il y a au-dessous de vous une partie du peuple qui désespère ! Vous n’avez rien fait, tant que ceux qui sont dans la force de l’âge et qui travaillent peuvent être sans pain ! tant que ceux qui sont vieux et ont travaillé peuvent être sans asile ! tant que l’usure dévore nos campagnes, tant qu’on meurt de faim dans nos villes tant qu’il n’y a pas des lois fraternelles, des lois évangéliques qui viennent de toutes parts en aide aux pauvres familles honnêtes, aux bons paysans, aux bons ouvriers, aux gens de cœur ! Vous n’avez rien fait, tant que l’esprit de révolution a pour auxiliaire la souffrance publique ! Vous n’avez rien fait, rien fait, tant que dans cette œuvre de destruction et de ténèbres, qui se continue souterrainement, l’homme méchant a pour collaborateur fatal l’homme malheureux! »

Victor Hugo

Souvent, en cas d’erreur ….


……… »on » dit  » , écrit …. » Autant pour moi  »……Mais :

Souvent orthographiée à tort  » autant pour moi  », l’expression  » au temps pour moi  » est issue du  langage militaire , mais personne ne sait à quelle époque elle est née.

Cette locution était employée pour ordonner un mouvement, en général une prise d’arme. Ainsi,  » autant pour les fusils   » signifiait  » c’est le moment de prendre votre crosse, de placer les fusils sur les épaules  »…

Quant à l’expression  » au temps pour moi  », c’est ainsi que le gradé s’adressait au soldat qui s’était trompé : il lui faisait reprendre le mouvement en  »calquant » le départ, le  » temps  », sur lui.

Pourquoi dit-on que……


……. l’habit ne fait pas le moine (contrairement à la tonsure) ?

Véritable dictionnaire des proverbes et maximes de France, ma grand-mère m’a maintes fois répété cette mise en garde : « Attention mon chou, l’habit ne fait pas le moine ». Même si elle sent quelque peu le papier jauni d’un vieux livre oublié, cette formule qui appelle à la vigilance face aux apparences, ne m’a jamais semblé aussi pertinente qu’aujourd’hui, à l’heure du virtuel et des fake news. Mais au fait, vu que ce n’est pas ma tendre mamie qui l’a inventée, d’où vient-elle ?

On ne le dira jamais assez : il ne faut jamais se fier aux apparences. Croyez-en mon expérience : elles sont souvent trompeuses. D’ailleurs, on en a tous été victime un jour, ne serait-ce qu’en découvrant un push-up sous le cache-cœur de celle qui, la nuit durant, sur la piste de danse, vous a enivré de son décolleté rebondi. C’est à ne plus savoir à quel  »sein » se vouer ! Et ce n’est jamais là qu’un exemple parmi tant d’autres des déceptions engendrées par une hypocrisie habile ou un artifice ingénieux. Ce genre de désillusion a même tendance à se généraliser dans une société où le conseiller en image et le retoucheur photo sont promis à un avenir plus radieux que l’artisan boulanger et le prof de philo. 

La mode est en effet au faux-semblant, au tape-à-l’œil, à la mascarade. Un phénomène nourri grassement à ces deux mamelles prolifiques que sont le numérique et le populisme. Être ou paraître, telle est la question que people et politiques ont définitivement tranchée à coup de Photoshop et de promesses électorales. Pourquoi s’en priveraient-ils puisque, à en juger par leurs côtes de popularité sur Instagram pour les uns, dans les urnes pour les autres, la duperie, c’est comme le Loto : c’est facile, ce n’est pas cher et ça peut rapporter gros ! 

Si notre monde ressemble de plus en plus à un spectacle d’Houdini, le maître incontesté de l’illusion, n’allez pas croire qu’il a viré au trompe-l’œil sous l’effet conjugué de la télévision et d’internet. Il y a belle lurette que ce vernis qu’est l’apparence sauve les meubles de bien des médiocres. En témoigne, cette maxime de Plutarque, le philosophe romain, qui aimait à rappeler à ses contemporains que la barbe ne fait pas le philosophe. »Philosophum non facit barba » pour les inconditionnels de la VOST. Une logique qui a fait son chemin jusqu’à donner au Moyen-âge un proverbe bien connu et encore usité de nos jours, du moins par ceux qui ne lisent pas que des mangas : l’habit ne fait pas le moine

LA BURE QUI FIT LES PRINCES

Il est très probable que cette maxime tire sa source des frasques d’un clergé régulier qui, au cœur du Moyen-âge, grisé sans doute par son opulence, maltraite ses vœux, leur préférant une règle bien plus joyeuse que celle de Saint Benoît : celle des trois B, Bouffer, Boire et Baiser. Au point que Grégoire IX, l’un des papes de l’époque, en est irrité et rappelle à l’ordre ces brebis égarées d’un sermon bien senti.  » Ce n’est pas à l’habit qu’on reconnaît le moine, avertit-il, mais à l’observation de la Règle et à la perfection de sa vie.  » Le coup de gueule est non seulement entendu dans les prieurés, mais il trouve également un écho favorable chez les laïcs. Ceux-ci s’emparent rapidement de la formule grégorienne pour dénoncer tous ceux qui, nobles, magistrats ou dignitaires de l’Église, portent la robe sans en avoir l’étoffe.

Malgré l’évidence de la paternité papale, il est des historiens pour défendre une tout autre version. Selon eux, l’origine de l’expression serait à chercher du côté d’une région tout aussi chère à mon cœur qu’à mon porte-monnaie : la Côte d’Azur. À l’époque qui nous intéresse, ce coin de la Méditerranée n’avait ni le nom, ni l’image paradisiaque qu’on lui accole aujourd’hui. Nous sommes en effet au tout début de l’année 1297. La République de Gênes vient de connaître une guerre civile qui a opposé deux clans rivaux : les Guelfes et les Gibelins. Les premiers sont vaincus et fuient vers la Provence voisine.

Le chemin du salut passe aux abords de Monaco, forteresse génoise bâtie sur un rocher défiant la Grande Bleue. Elle a la réputation d’être imprenable. Une considération dont n’a que faire François Grimaldi. Ce Guelfe rancunier et téméraire se met en tête de prendre sa revanche sur les Gibelins en leur ravissant leur citadelle et les terres alentours. Plutôt que de se lancer à l’assaut des solides remparts, il imagine alors un subterfuge particulièrement culotté.

Image

C’est accompagné par l’un de ses lieutenants, vêtu tout comme lui d’une bure franciscaine, que, le 8 janvier exactement, il se présente aux gardes de Monaco pour leur demander l’asile pour la nuit.  Ce que les bons bougres, se pliant alors à l’usage, acceptent sans hésiter. Pour le regretter sans aucun doute ! Car sitôt la garnison assoupie, le faux clerc ouvre les portes de la forteresse, y fait entrer sa petite armée et s’en empare sans trop de difficulté. Toujours évoquée par le blason monégasque avec ses deux moines portant l’épée, cette ruse victorieuse vaut à François une seigneurie (offerte à son cousin, Rainier Ier, qui la perd quatre ans plus tard, sa descendance n’en retrouvant la pleine jouissance qu’en 1331) et un surnom qu’il partage avec l’adorable Benji : la Malice !  

BIEN DÉGAGÉ SUR LE DESSUS

L’habit ne fait pas le moine, soit. Mais qu’en est-il de la tonsure ? Là, c’est autre chose. On doit bien reconnaître qu’elle singularise l’homme de foi, personne, à part lui, pas même un Antoine Griezmann sous acide, n’oserait cette coupe aérée. Pour rappel, elle consiste à ne laisser autour d’un crâne fraîchement tondu qu’une frêle couronne de cheveux. Elle n’a d’égale par sa laideur que la Visa découvrable, ce pseudo cabriolet qui a définitivement installé Citroën au sommet du mauvais goût automobile. Une parité qui n’a rien d’étonnant puisque coiffure et voiture partagent un même concept pour le moins obscur : on décapote sur le dessus, mais on ne touche à rien sur les côtés.

Qui a eu cette idée saugrenue ? Pour la Visa, je ne sais pas, mais pour la tonsure, là, c’est signé Anicet, l’un des tout premiers papes de Rome, élu au IIe siècle. Il associa cette hérésie capillaire aux vœux que prononcent les moines à l’heure d’entrer dans les ordres. Pour le Saint Père, la chevelure était en effet l’un des principaux apparats des hommes ordinaires. La tondre marquait ainsi très concrètement un renoncement à la vie laïque et à ses futilités.

Image

Mais dans ce cas, pourquoi ne pas adopter la boule à zéro pure et simple ? Parce qu’il y a naturellement des chauves et des femmes pour trouver ça viril et sexy. Pas vraiment le but recherché par le chef de la Chrétienté qui voulait distinguer ses clercs du commun des mortels et les prévenir de toute tentation charnelle. D’où sa volonté de les enlaidir en leur laissant cet anneau hirsute qui ceint leur crâne d’œuf. Une pincée de symbolisme, la couronne de cheveux monacale évoquant celle d’épines dont on avait affublé Jésus lors de sa crucifixion, pour rendre la sauce moins amère et le tour est joué et l’abbé rasé de près.

Voilà pourquoi la tonsure a sévi dans les monastères pendant près de deux millénaires, jusqu’à ce que Paul VI, en 1972, en rende la pratique facultative.

Et je ne sais pas pour vous, mais moi, rien que de le savoir et de me dire que je vais mourir moins con (en apparence du moins et le plus tard possible), ça me ravit.lol