Solitude….


En pensant à ma grand-mère…..

Certains petits enfants ignorent même sont existence, ils sont tellement loin aussi, sa fille travaille,vit très loin , elle ne sait même pas si elle la reverra un jour,elle envoie seulement une carte au nouvel an avec quelques photos et les autres qui n’habitent pas bien loin,ils ne viennent plus,soi-disant qu’ils n’ont jamais le temps.        

Alors elle se balance,elle se balance

et elle se souvient de sa propre grand-mère, c’était un tel bonheur d’aller la voir, elle lui sautait dans ses bras se blotissait dans son cou qui sentait bon ,il y avait une telle complicité entre elles…Elle lui racontait des histoires tous les soirs, lui chantait d’anciennes chansons, puis la bordait dans son lit avec amour…   Mais, tient,  des gouttes de pluies chaudes, il pleut, je vais rentrer, mais non , suis-je bête ;ce sont mes larmes…

pleurs

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Monsieur Brel !

Paroles :

Les vieux ne parlent plus
Ou alors seulement parfois du bout des yeux
Même riches ils sont pauvres
Ils n’ont plus d’illusions et n’ont qu’un cœur pour deux
Chez eux ça sent le thym, le propre
La lavande et le verbe d’antan
Que l’on vive à Paris, on vit tous en province
Quand on vit trop longtemps
Est-ce d’avoir trop ri que leur voix se lézarde
Quand ils parlent d’hier
Et d’avoir trop pleuré que des larmes encore
Leur perlent aux paupières
Et s’ils tremblent un peu
Est-ce de voir vieillir la pendule d’argent
Qui ronronne au salon
Qui dit oui qui dit non, qui dit « je vous attends »

Les vieux ne rêvent plus
Leurs livres s’ensommeillent, leurs pianos sont fermés
Le petit chat est mort
Le muscat du dimanche ne les fait plus chanter
Les vieux ne bougent plus
Leurs gestes ont trop de rides leur monde est trop petit
Du lit à la fenêtre, puis du lit au fauteuil
Et puis du lit au lit
Et s’ils sortent encore
Bras dessus bras dessous tout habillés de raide
C’est pour suivre au soleil
L’enterrement d’un plus vieux, l’enterrement d’une plus laide
Et le temps d’un sanglot
Oublier toute une heure la pendule d’argent
Qui ronronne au salon
Qui dit oui qui dit non, et puis qui les attend

Les vieux ne meurent pas
Ils s’endorment un jour et dorment trop longtemps
Ils se tiennent la main
Ils ont peur de se perdre et se perdent pourtant
Et l’autre reste là
Le meilleur ou le pire, le doux ou le sévère
Cela n’importe pas
Celui des deux qui reste se retrouve en enfer
Vous le verrez peut-être
Vous la verrez parfois en pluie et en chagrin
Traverser le présent
En s’excusant déjà de n’être pas plus loin
Et fuir devant vous une dernière fois la pendule d’argent
Qui ronronne au salon
Qui dit oui qui dit non, qui leur dit « je t’attends »
Qui ronronne au salon
Qui dit oui qui dit non et puis qui nous attend…….

Bien triste parfois…..


……..la modernité :

 »

Une institutrce était chez elle, et à l’heure du dîner, elle a commencé à lire les devoirs faits par ses élèves  Son mari était près d’elle et jouait à je ne sais quoi sur sa tablette.Pendant qu’elle lisait le dernier devoir, les larmes ont commencé à rouler silencieusement sur le visage de sa femme.Le mari a vu ça et lui a demandé:

 » Pourquoi tu pleures ma chérie? Qu’est-ce qui s’est passé?

La femme:
 » Hier, j’ai donné un devoir aux élèves de première année, sur… le sujet : ‘‘Mon Souhait.
 »


Le mari:
 » D’accord, mais pourquoi pleures-tu?  »


La femme:
 » C’est le dernier devoir qui me fait pleurer  ».


Le mari curieux :
 »Qu’est-ce qui est écrit dans ce devoir et qui te fait pleurer?  »

La femme:
 » Écoute, je vais te le lire » :


 » Mon souhait serait de devenir un smartphone. Mes parents aiment tellementleur smartphone.


Ils sont tellement préoccupés avec leur smartphone que, parfois ils oublientde s’occuper de moi.
Quand mon père rentre fatigué du travail, il a du temps pour son smartphone

,mais pas pour moi.
Quand mes parents sont en train de faire un travail important et que le smartphone sonne, ils répondent au téléphone à la première sonnerie.Mais pas à moi… même si je pleure.
Ils jouent des jeux sur leur smartphone, mais pas avec moi.
Ils ne m’écoutent jamais, même quand je suis en train de leur dire quelque chosed’important.
Alors, mon souhait est de devenir un smartphone »

 » Qui a écrit ça?  »

La femme :  » Notre fils 

Valentin?


Valentin est un martyr obscur du IIIe siècle. Évêque de Terni (Italie), il fut sollicité pour guérir le fils d’un philosophe romain, Craton.

S’étant acquitté de sa tâche avec succès, il obtint de Craton et de sa famille qu’ils se convertissent à la foi chrétienne. Mais le préfet de Rome l’ayant appris le fit alors décapiter.

Les Anglais du Moyen Âge ont fait de Valentin le saint patron des amoureux car sa fête coïncide, paraît-il, avec le début de la saison des amours chez les oiseaux

. Ainsi sont nées les  » valentinages  » (danses paysannes où les couples se constituent par tirage au sort). Cette tradition, attestée par le poète Chaucer en 1381, a gagné ensuite la France.

En 1401, le roi de France Charles VI le Fou

Charles VI le Fou

  lui donna un singulier prolongement en choisissant le jour de la Saint Valentin pour fonder une  » cour d’amour  », c’est-à-dire un cercle poétique destiné à prolonger la tradition médiévale et aristocratique de l’amour courtois.

Au XIXe siècle, la tradition s’est renouvelée avec l’apparition des  » valentines  », cartes postales ornées de coeur que les jeunes gens utilisaient pour déclarer leur flamme.

‘ valentines  » ?

L’Église catholique a attendu 1496 pour faire de saint Valentin le patron des amoureux tout en condamnant les  » valentinages  ». Aujourd’hui, elle profite du succès populaire de la Saint Valentin pour des réunions festives et spirituelles destinées à réfléchir sur le sens de l’amour conjugal !

NB : rien n’atteste d’une continuité entre les Lupercales, fêtes qui débutaient à Rome le 15 février, peu avant la fin de l’année civile, et la Saint Valentin.

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L’Amour n’a pas d’âge ?

Pourquoi….


…… l’amour créa le timbre ?

 

Même si nous n’écrivons plus beaucoup de lettres aujourd’hui,elles sont souvent remplacées par au des SMS et autres textos, nous avons l’habitude, quand cela nous arrive encore, de coller un timbre sur l’enveloppe, avant de la mettre à la poste.

Mais il n’en a pas toujours été ainsi. En effet, jusqu’en 1840, il n’existait pas de timbres. C’était le destinataire de la lettre qui payait l’expédition du courrier. Et le montant de la taxe qu’il acquittait dépendait surtout du lieu de provenance de cette lettre.

Mais les choses changent donc en 1840. Et l’origine de ce changement tient à un petit détail.

En 1840, sir Rowland Hill

Rowland Hill ?

déjeune dans une auberge du nord de l’Angleterre. C’est le directeur des postes anglaises. Il est alors témoin, à une table voisine, d’une scène touchante.

Y est assise une jeune fille, à laquelle on remet une lettre. Elle l’examine puis, les larmes aux yeux, la rend au préposé. Comme le pli vient de Londres, elle ne peut payer la lourde taxe qui l’accompagne.

Sir Rowland croit comprendre que l’expéditeur de la lettre n’est autre que le fiancé de la jeune fille. Touché par cette scène, il se lève et règle la taxe. En réalité, l’émotion de la jeune fille était feinte.

En effet, elle avait convenu d’un code, avec son fiancé, qui, en fonction de la manière dont l’adresse était écrite, permettait aux jeunes gens de se donner des nouvelles gratuitement.?????

Cet épisode donne néanmoins une idée à sir Rowland Hill : celle du timbre-poste. Cette petite vignette, achetée par l’expéditeur, serait collée sur l’enveloppe ou plutôt, à l’époque, sur la lettre même. De la sorte, le destinataire n’aurait plus rien à payer.

Il soumet l’idée à la Reine Victoria

Reine Victoria ?

, qui la trouve excellente. Ainsi, le premier timbre, à l’effigie de la souveraine, est émis le 6 mai 1840. Il est aujourd’hui connu par les collectionneurs sous le nom de « black penny ».

Il faudra attendre le 1er janvier 1849 pour voir apparaître le premier timbre français. Il représente Cérès, l’antique déesse des moissons

premier timbre français ?

A ma mère ( décédée le 8 avril 2020 )


Ecrit mal  » ficelé  » sorti de mon cœur  triste ,amer………………..

Mère, chère à mon cœur, ma mère

Tu es partie et ma vie en est amère

Vide et désespoir en moi  sont unis

Car sans toi, tout me semble fini

Je ne goûterais jamais plus à la paix

Même si le monde était parfait

Le bonheur vers l’inconnu s’en va

Me laissant seul à chaque pas

Avec mon chagrin qui ne s’éteint

Et la douleur qui , toujours ,  m’étreint

Le soleil semble avoir oublié le chemin

De mon  cœur qui se languit sans fin

N’être pas allé sur ta tombe je soupire

J’en oublie encore plus le temps et aspire…

Au jour dernier qui unit

Et où , disais tu, rien ne finit

Grâce à  » ton  » Dieu l’éternel

Je te resterai en mon cœur fidèle

Car l’amour maternel

Est un serment solennel

Sais tu que ton mari , notre père

Lui aussi , seul , se désespère ?

Ton départ nous a réunis …

Maman, je t’aime et te dis  » merci  »

Elle nous a quittés ….


.……il y a déjà 2 ans 1/2 ! Et je ne cesse encore de penser à elle , à tout ce que je lui ai dit mais n’aurais pas du lui dire ,aussi à ce que je ne lui ai PAS dit mais que j’aurais du lui dire …..Elle qui était croyante , j’espère pour elle qu’elle avait raison , qu’elle est heureuse maintenant , elle ne l’a pas été beaucoup de son vivant …..

Maman je t’aime . Tu me manques ( comme je ne pensais pas que ce serait à ce point )

Ma mère il y a ???

D’où vient ….


…..la position du missionnaire ? !!!!!

En 1929, l’ethnologue anglo-polonais Bronislaw Malinowski voit deux amoureux des îles Trobriand (en Papouasie-Nouvelle-Guinée) étendus l’un contre l’autre sur une natte, en plein jour. Ils ne font que se tenir par la main, rien de plus. Il raconte la scène à un vieux Trobriandais qui se met en colère :  » Ça, c’est une mode qui nous vient des missionnaires !  » s’exclame-t-il. Selon la coutume ,les amoureux…..

Amoureux…

  ……..devraient absolument cacher leur liaison. Mais les pères chrétiens ont exigé qu’une idylle soit connue de tous, afin de préparer le mariage.

Une erreur de citation: !

La position du missionnaire, c’est donc d’abord le fait de vivre son amour au grand jour. Le sens de l’expression dérape en 1948, quand un sexologue américain cite Malinowski

Malinowski

.de façon erronée. Selon lui, la position du missionnaire désigne le face-à-face sexuel imposé par les pères aux Mélanésiens. Rien à voir avec le sens premier. Mais c’est celui-ci qui s’est imposé dans le monde entier !

A mon fils…


J’ai fermé les yeux pour un instant et l’enfant, le petit garçon que tu étais est devenu un homme .

Je ne peux plus te porter dans mes bras, mais je te porterai toujours dans mon cœur .

Tu m’as donné de nombreuses raisons d’être fier de toi mais ce qui fait ma plus grande joie, fierté, c’est de pouvoir dire aux autres que TU es mon fils !

En plus, tu m’as  » offert » deux magnifiques petites filles (que je vois quand tu en as la garde depuis ton divorce)

Justine et Camille

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Manu est toujours là quand quelque chose m’emm…ennnuie (surtout ce qui émane des administrations)

Ce billet n’a d’intérêt que pour moi, mon fils ne le lira pas ; mais …..Pour le vieillard que je suis devenu, il est le reflet de la réalité ……

Mon fils, qui aura 42 ans le 14 juin, me dit toujours » je t’aime » quand je l’ai au téléphone ou par S.M.S …..je me demande si c’est pour tout le monde la même chose ….

Un papa et sa fille ……


……..font la même photo depuis 41 ans :

Le  » papa  » et sa fille .

Depuis 41 ans, un papa et sa fille font la même photo au bord du lac et près de la tour du temple Jin shan de la ville de Zhenjiang dans la province chinoise de Jiangsu.

Des portraits de Hua Yunqing, le papa, et de Huahua, sa fille, qui ont débuté quand elle avait seulement 1 an.

Depuis, chaque année, à part en 1998 car Huahua était loin, ils ont pris cette photo… Une série pleine de poésie et d’amour familial.

Voici un papa et sa fille qui font la même photo depuis 41 ans, en vidéo: