Déserts….


Coronavirus : les images des villes désertes à travers le monde

    Pour tenter d’enrayer la progression de la pandémie de Covid-19, qui touche 167 pays, de nombreux états ont ordonné le confinement partiel ou total de leur population. Résultat des images saisissantes, montrant les rues des grandes métropoles quasiment vides. 

   Des Champs-Élysées jusqu’à Hollywood Boulevard, les artères des grandes métropoles du monde entier ont changé de visage. En raison de la pandémie mondiale de Covid-19, des mesures drastiques de confinement de la population ont été mises en place dans de nombreux États. En Europe, c’est le cas notamment de l’Italie, de l’Espagne, de la Belgique, de l’Allemagne, des Pays-Bas et de la France. Si l’Europe est devenue mi-mars l’épicentre de la pandémie ( initialement déclarée en Chine ), le coronavirus a aussi traversé l’Atlantique. À Boston, Los Angeles ou encore New York,  » la ville qui ne dort jamais  », les conséquences du confinement sont saisissantes, comme le montre  la vidéo. 

 

Pourquoi avons-nous besoin d’arsenic ?


arsenic   L’arsenic a la sinistre réputation d’être un poison foudroyant.  Cette substance , à très petites doses,est cependant nécessaire à notre santé. Existant sous deux formes principales, l’arsenic est présent dans notre alimentation, mais aussi dans le sol et les eaux souterraines.

Qu’est-ce que l’arsenic?

L’arsenic fait partie des oligo-éléments, ces sels minéraux qui, pris en très petite quantité, sont indispensables au bon fonctionnement de l’organisme.

Il se présente sous deux formes, l’arsenic organique et l’arsenic inorganique.

   Le premier, qui est le moins toxique, se trouve surtout dans les poissons et les fruits de mer. Le riz, dont la culture est en partie immergée, mais aussi d’autres céréales, contiennent également de l’arsenic.

 Le second ,  l’arsenic inorganique : Il est présent dans le sol, les roches et l’eau souterraine. Il est inodore et sans saveur.

Une substance nécessaire ?

L’utilité et les effets de l’arsenic sont mieux connus chez les animaux que chez l’homme. Le manque d’arsenic peut, chez certaines espèces animales, comme les rongeurs, perturber la croissance et la reproduction.

   Même si l’arsenic, comme substance thérapeutique, n’a pas encore dévoilé toutes ses potentialités, on l’utilise déjà dans le traitement de la maladie du sommeil et certaines formes de leucémie.

  L’arsenic jouerait aussi un rôle dans la manière dont l’information héréditaire est stockée dans les gènes.

Des risques qu’on peut éviter

Pris à trop forte dose, et de manière prolongée, l’arsenic, surtout sous sa forme inorganique, peut présenter des dangers pour l’organisme. Il peut entr’autre contribuer à l’apparition de certains cancers et provoquer des diabètes, des troubles hépatiques ou des atteintes cutanées.

Il est donc essentiel d’en surveiller le dosage. Or, si les autorités sanitaires, en France, ont fixé les besoins quotidiens en arsenic, elles n’ont pas, faute de données suffisantes, indiqué de seuil précis pour les apports optimaux de cette substance.

   En Amérique du Nord ou en Europe, les autorités compétentes ont adopté la même attitude. La meilleure façon de limiter les risques potentiels est de réduire sa consommation quotidienne de riz ou de poisson. Il convient également de varier le plus possible son alimentation.

  Ces recommandations sont encore plus pressantes pour les enfants, dont la faculté d’absorption de certaines substances, comme l’arsenic, est plus importante.

Mauvaise vue mais…


     Tant mieux pour les personnes malades  » cardiaques  » : 

  En voyant ces images pace makerpace maker 1 jpg chacun voit des inventions extrêmement importantes pour les personnes cardiaques , ce sont bien sur des  » pacemaker  » ….

    Dans les années 50 , l’américain Wilson Greatbatch Résultat d’image pour Wilson Greatbatch , conçut le premier pacemaker implanté  » longue durée  » : Avec sa batterie au mercure, il avait une autonomie de deux ans ( les précédents ne  » tenaient  » que deux mois ! ) ..Une grande avancée dans le domaine médical sauf que……ce fut à une méprise de l’inventeur , parait il , que ce pacemaker devrait son succès ! En effet , lorsqu’il monta son appareil ,Greatbatch se trompa en confondant deux composants électroniques miniatures , qui se distinguaient seulement par des bandes de couleur : Ainsi , il utilisa une résistance de 1 million d’ ohms à la place de celle prévue de seulement 10 000 ohms ! La confusion eut , parait il , une heureuse conséquence : Le circuit fut beaucoup moins  » gourmand  » en énergie ! Si Greatbatch avait rendu visite quelque jours plus tôt à son ophtalmo. ou simplement nettoyé ses lunettes lol  , les  » insuffisants cardiaques auraient probablement du patienter encore plusieurs années …..