Sans intérêt.


aujourd’hui , connexion difficile ! Depuis 18 heure , je  » rame  » pour me connecter , pourquoi ?????

Enfin je l’ai retrouvée , espérons que çà va tenir lol ….

Si oui , je repasse tout à l’heure ( pour l’instant :Télé ) .

Pour l’instant…


…….Télé :  » la rafle  » ( à mon avis ,il ne faut pas oublier ; avec les Le pen et Cie , çà pourrait recommencer)

Ce film évoque l’arrestation par des policiers français, le 16 juillet 1942 et la détention au Vélodrome d’Hiver , dans des conditions épouvantables, des treize mille cent cinquante-deux victimes de la rafle du Vel d’Hi, avant leur déportation, au bout de quelques jours, vers le camp de transit de Beaune-la -Rolande ( Loiret), puis le camp d’extermination d’Auschwitz -Birkenau .
Résumé
Pendant l’été 1942, la France est sous l’occupation allemande , les juifs  sont obligés de porter l’ étoile jaune. Dans le quartier de la Butte Montmartre  , deux familles juives vivent comme les autres habitants de ce quartier, à l’exception près qu’étant juifs, ils appréhendent l’arrivée de la Gestapo. À Paris, les avis sont partagés, certains veulent protéger les juifs en les cachant alors que d’autres comme la boulangère préfèrent les insulter, les injurier, et les rabaisser.

Dans la nuit du 15 au 16 juillet, leur destin bascule à la suite d’un accord entre les nazis et les autorités françaises sur l’arrestation et la déportation des nombreux juifs, accord qui débouche sur la rafle du Vélodrome d’Hiver. Le quartier de la Butte Montmartre  n’y échappera pas, en effet la famille de Joseph Weissmann, un enfant juif d’une dizaine d’années, et leurs voisins sont arrêtés après avoir tenté par plusieurs moyens d’y échapper. Le père de Joseph aurait pu échapper à cette arrestation si Joseph ne l’avait pas malencontreusement dénoncé alors que sa mère s’était prétendue veuve auprès de miliciens.
A la suite de cette rafle, ils sont amenés dans le vélodrome d’Hiver , où Joseph et Noé, le petit frère de son meilleur ami, rencontrent une infirmière, Annette Monod, qui fera tout son possible pour les aider eux et les autres enfants juifs. Dans ce vélodrome, les conditions sont précaires et insalubres : ils n’ont pas d’eau, ils sont entassés et ils sont obligés de faire leurs besoins où il y a de la place. Les maigres vivres qu’ils ont emportés doivent être partagés pour que chacun d’entre eux puissent manger. Un petit matin alors que les prisonniers sont assoiffés, les pompiers font irruption et ouvrent les vannes pour donner à boire aux prisonniers. Ils acceptent aussi de  » faire passer  » les lettres qui leur sont confiées. Le Capitaine Pierret, des pompiers de Paris, se sert même de son grade (le plus élevé parmi tous les militaires présents au Vel d’Hiv  : Gendarmerie et pompier) pour prendre le commandement du Vel d’Hiv afin d’imposer le silence aux gendarmes mécontents de l’attitude de ses hommes et lui.
Au bout de deux jours, les raflés sont déportés dans un camp de transit, à Beaune-la-Rolande , dans le Loiret  , où les conditions de vie sont insupportables : nourriture mauvaise et en maigre quantité, maladies, sans parler du désespoir psychologiques des déportés. Affamés et affaiblis, les juifs affrontent la faim et la soif. Quelques jours plus tard, les parents et les plus âgés de leurs enfants sont déportés dans un camp d’extermination, à Auschwitz, seuls les plus jeunes doivent rester en espérant leur retour qui n’aura pas lieu. Ces enfants ont été arrachés des bras de leur mère et Annette redouble d’efforts malgré la fatigue pour s’occuper d’eux.
Suite aux dernières paroles de sa mère lui disant de s’enfuir, Joseph et un de ses camarades s’enfuient avec la complicité des autres. Joseph ne peut pas emmener avec lui son meilleur ami parce qu’il est malade, il a une vilaine hernie qui l’empêche de marcher. Finalement Joseph survivra grâce à son évasion ainsi que Noé qui s’est échappé du train et qui a été recueilli par un couple de personnes âgées. En 1945, à la fin de la guerre, ils retrouvent tous deux Annette au Lutétia , un hôtel parisien où sont accueillis les rescapés des camps.

__________________________________________________

_______________________________________________

Maintenant : Télé….


Avec ce polar de commande, Eastwood, au sommet de sa gloire de cinéaste, filme en creux sa conception idéale du pouvoir : briller dans l’ombre, tacler les arrogants et les salauds :
Vieux monte-en-l’air, Luther Whitney (Clint Eastwood) fait un casse dans la résidence d’un milliardaire, Walter Sullivan. Sur place, il assiste au meurtre de la jeune épouse de Sullivan par les services de sécurité de son amant Alan Richmont (Gene Hackman), président des Etats-Unis en exercice. Qui tente bien vite de mettre son crime sur le dos du cambrioleur… « Les Pleins Pouvoirs » est un bon révélateur du prestige acquis par le cinéaste au début des années 1990 – les oscars d’ » Impitoyable  » (1992) et le succès de  » Sur la route de Madison  » (1995) expliquent ce surcroît de considération.


Pouvoir, soubassements, morale :

Détentrice des droits du livre éponyme de David Baldacci (un carton), la Warner lui propose l’adaptation écrite par William Goldman ( » les Hommes du président  »,  » Misery  »). Eastwood, qui ne touche généralement pas une ligne des scénarios qu’il tourne, exigera cette fois une nouvelle fin, écrite en catastrophe (ça se voit d’ailleurs un peu). Rien qui n’entrave toutefois la pertinence du regard posé par le film sur le cœur du sujet : le pouvoir, ses soubassements, sa morale, que se disputent deux parties clandestines. D’un côté, le président Richmont déploie sa perversité dans l’ombre des institutions (c’est un hybride entre Clinton et Nixon, en pire) ; de l’autre, Whitney, vieil outsider anarchiste, rétablit la vérité, rend les coups, façon justicière de l’ombre (plus il est discret, plus il frappe juste et fort).


On devine pourquoi Eastwood tenait à interpréter cette version héroïsée de lui-même (la Warner l’a surtout approché pour réaliser le film). Cousin narquois et délibérément middle class de Cary Grant dans  » la Main au collet  », Whitney s’affirme comme un double idéalisé de l’acteur-réalisateur de  » Million Dollar Baby  », dont il partage les mêmes préférences esthétiques : il trouve dans la modestie, la dérision et surtout l’art délicat de l’effacement une manière de noblesse ultime. Pas étonnant que les premières minutes du film, qui montrent le personnage s’introduisant tel un vieux matou dans l’opulente noirceur de cette demeure endormie, comptent parmi les plus belles séquences jamais tournées par Eastwood.

Emotion….


Cette campagne met en scène des  »saynètes  » de la vie quotidienne de femmes touchées par le cancer : une maman, boule à zéro, qui retrouve sa petite fille à la maison ; une amante après l’amour ; une danseuse qui réussit un beau développé ; une collègue qui revient au travail après son arrêt maladie ; une femme qui sort de la banque et qui a obtenu un prêt… autant d’instantanés de la  » vraie vie  ». Cette vie qui continue pendant et après le cancer. Chacune, dans des contextes différents, murmure un  » putain  ». Un  » putain  » de victoire, de bonheur, de soulagement, de jouissance… RoseUp, association de patientes, militante, active, place son combat dans la réalité des femmes malades. Un combat incarné, passionné, parfois iconoclaste, au plus près de la vie.

Pour une fois, un  » spot  » pub. qui sert (peut servir) à quelque chose. (En tous cas, moi, il m’a  » touché, même ému  »)

__________________________________________________________________________

En 2011, Céline Lis Raoux

Céline Lis Raoux

& Céline Dupré créent l’association Rose Up et lancent le tout premier numéro de Rose, un magazine féminin à destination des femmes atteintes d’un cancer. Dix ans plus tard, le 4 octobre 2021, l’association présente sa première campagne, un film réalisé par Capucine Chotard et Christophe Offenstein avec la voix off de Romane Bohringer. Cette campagne met en scène des saynètes de la vie quotidienne de femmes touchées par le cancer : des instantanés de la  » vraie vie  ». Cette vie qui continue pendant et après le cancer. Chacune, dans des contextes différents, murmure un  » putain  ». Un  » putain  » de victoire, de bonheur, de soulagement, de jouissance… RoseUp, association de patientes, militante, active, place son combat dans la réalité des femmes malades. Un combat incarné, passionné, parfois iconoclaste, au plus près de la vie. Ce film est destiné aux réseaux sociaux, à la télévision et au cinéma. Parce que, face à cette  » putain  » de maladie, les femmes ont besoin d’une  » putain  » d’association.

Pour l’instant …..


Booof : Commentaires bloqués !

……Télé : Sherlock Holmes ….

J’aime bien cette série lol .

Cette adaptation libre des romans et nouvelles d Arthur Conan Doyle  présente le célèbre duo dans un contexte contemporain. En effet la série transpose l’époque dans laquelle évoluent les deux personnages de la fin du XIX au XXI siècle

Sherlock Holmes est détective consuletant  et il accueille comme colocataire le docteur Watson , un ancien médecin de l’armée britannique blessé en Afghanistan . Il aide Sctland Yard à résoudre des enquêtes ardues en utilisant ses dons d’observation et de déduction associés aux technologies actuelles comme internet ou e téléphone portable  .