Les commentaires ne sont pas utiles ni nécessaires, j’écris maintenant pour moi d’abord (mais je les laisse » ouverts » au cas où)
parodie
Parodie de la chanson de Nino Ferrer
….par Suzanne Gabriello
Votez hein bon !
Qu’est-ce que j’ai fait du papier
Qui me dit d’aller voter ?
Des bull’tins qu’mon voisin
M’a remis hier matin
En m’disant : « Lisez tout, faites votre choix
Et ne vous en moquez pas !
Vo-tez hein bon ! »
Où est l’adresse du bureau ?
Où sont les clés d’mon auto ?
Où est donc l’isoloir ?
Où je dois faire mon devoir ?
Oui je sais, je perds tout mais pas mes droits
Et vous moquez pas de moi !
Vo-tez hein bon !
Quel nom m’a dit mon mari
Mon père ma meilleure amie
Ma belle-soeur de Hambourg
Et ma tante de Saint-Flour ?
Où sont donc les photos des candidats ?
Ah oui ça y est les voilà !
Mmmmmh… ouais !
Ouais.
Si on veut.
Ouais.
Ah ouais !
A la rigueur.
Vo-tez hein bon !
Quelles initiales m’a-t-on dit
Pour repérer les partis ?
ONM, TNP
RTF, RAPT
LS qui ? C’est SK, non c’est pas ça
SVP n’vous moquez pas !
Vo-tez hein bon !
SNCF, T & E
PMU, SGDG
EDF, HLM
CIC, CQFD
J’abandonne, j’suis K.O. y a trop de choix
Mais ne faites pas comme moi !
Vo-tez hein bon !
Oh lalala lalala
Lalala lalalala
Lalala lalala
Lalala lalalala
Oh lala lalala lalalala
Oh lala lalalala
Wouof !
La vidéo ( INA) :
Vidéo originale :
Avec les paroles originales :
Z’avez pas vu Mirza? Oh la la la la la la
Z’avez pas vu Mirza? Oh la la la la la la
Z’avez pas vu Mirza? Oh la la la la la la
Où est donc passé ce chien
Je le cherche partout
Où est donc passé ce chien
Il va me rendre fou
Où est donc passé ce chien
Oh – ça y est je le vois!…
Veux tu venir ici,
Je ne le répéterai pas
Veux-tu venir ici,
Mmmmm, sale bête va!…
Veux-tu venir ici
Oh – Il est reparti…
Où est donc passé ce chien
Je le cherche partout
Où est donc passé ce chien
Il va me rendre fou
Où est donc passé ce chien
Oh ça y est je le vois!…
C’est bien la dernière fois
Que je te cherche comme ça
Veux tu venir ici
Je ne le répéterai pas
Veux tu venir ici
Ohé ne bouge pas
Veux tu venir ici
Oh yeah! satané Mirza
Si vous connaissez çà , vous n’êtes pas né hier lol
_______________________________________________
Suzanne Yvonne Henriette Marie Galopet dite Suzanne Gabriello, née le 24 janvier 1932 à Paris 18ᵉ et morte le 9 août 1992( il y a environ 29 ans ! ) à Paris 13ᵉ, est une actrice et chanteuse française. Elle était la fille de l’acteur et chansonnier André Gabriello.
________________________________________________________
Nino Ferrer, nom de scène d’Agostino Arturo Maria Ferrari, est un auteur, compositeur et chanteur italien, d’expression principalement francophone, né le 15 août 1934 et mort le 13 août 1998, naturalisé français à sa demande en 1989.
P.S : S. Gabriello a été l’une des compagnes de Jacques Brel, qui écrivit pour elle Ne me quittes pas, bien que ce soit lui qui l’ait quittée. Son poste de présentatrice à l’Olympia a aidé la montée en succès de Brel.
Spot télé » anti Covid
Je trouve que ce clip télé pour la vaccination » anti – covid » est très bien fait , émouvant …
» Gare au covid » (parodie )
» On va pas mourir »
Marseillaise de……
La Marseillaise de la Paix
De l’universelle patrie
Puisse venir le jour rêvé !
De la paix, de la paix chérie
Le rameau sauveur est levé (bis).
On entendra vers les frontières,
Les peuples se tenant les bras,
Crier : il n’est plus de soldats !
Soyons unis, nous sommes frères !
Refrain
Plus d’armes citoyens !
Rompez vos bataillons !
Chantez, chantons !
Et que la paix féconde nos sillons !
Quoi ! D’éternelles représailles,
Tiendraient en suspens notre sort !
Quoi ! Toujours d’horribles batailles
Le pillage, le feu, la mort (bis).
C’est trop de siècles de souffrance,
De haine et de sang répandu !
Humains, quand nous l’aurons voulu
Sonnera notre délivrance !
Plus de fusils, plus de cartouches,
Engins maudits et destructeurs !
Plus de cris, plus de chants farouches
Outrageants et provocateurs (bis).
Pour les penseurs quelle victoire !
De montrer à l’humanité,
De la guerre l’atrocité,
Sous l’éclat d’une fausse gloire !
Debout ! Pacifiques cohortes !
Hommes des champs et des cités,
Avec transport, ouvrez vos portes
Aux trésors, fruits des libertés (bis).
Que le fer déchire la terre,
Et pour ce combat tout d’amour,
En nobles outils de labour
Reforgeons les armes de guerre.
En trait de feu par vous lancée,
Artistes, poètes, savants,
Répandez partout la pensée.
L’avenir vous voit triomphants (bis).
Allez, brisez le vieux servage,
Inspirez-nous l’effort vainqueur
Pour la conquête du bonheur,
Ce sont les lauriers de notre âge.
Aux écrivains , poètes….internautes désabusés ……
Ne déchire pas
Il faut publier
Tu peux publier
Tu en a le droit
Publier même sans
Editeur tordu
Leurs sous-entendus
Et leurs boniments
Publier fait peur
Quand on ne sait pas
Qu’il suffit crois-moi
D’un bon imprimeur
Ne déchire pas
Moi je les lirai
Tes perles de nuit
Venues de sursis
Où tu ne dors pas
Je crierai tes vers
Sur la scène d’Alfort
Et même d’Astaffort
Devant Dieu le père
Je boug’rai des dolmens
Pour qu’on parle de toi
De cette nouvelle voie
Que les gens comprennent
Ne déchire pas
Ne déchire pas
Ne déchire pas
Ne déchire pas
Ne déchire pas
Qui retrouverait
Ces mots condensés
Que tu écris là
Je te parlerai
De ces savants-là
Qui ont eu cent fois
Des oeuvres refusées
J’te f’rai rencontrer
C’lui par hasard roi
Quand Gallimard pas-
Sa sans le signer
Ne déchire pas
Ne déchire pas
Ne déchire pas
Ne déchire pas
On a vu souvent
Destinés au feu
Des feuillets maintenant
Qu’on dit fabuleux
Il est paraît-il
Des vers brûlés
Qui feraient trembler
Plus d’une jeune fille
Après l’purgatoire
Où personne n’y croit
Le rouge et le noir
Ne s’impose-t-il pas
Ne déchire pas
Ne déchire pas
Ne déchire pas
Ne déchire pas
Ne déchire pas
Tu ne vas plus douter
Tu ne vas plus compter
Sur tout leur tralala
Tu vas t’éditer
C’est ça l’avenir
Tu vas leur montrer
Qu’on peut s’en sortir
Et même réussir
A sortir de l’ombre
L’ombre de ces nains
L’ombre de ces requins
Ne déchire pas
Ne déchire pas
Ne déchire pas
Ne déchire pas
…………….
L’original ……
Déjà mis il y a quelques temps , mais…..
Toujours d’actualité quand je vais chez Lise et Manu…. (parodie d’une magnifique chanson de Mr Brel )
Chez ces » gens là « …….
(A ne pas prendre au sérieux lol)
Chez ces gens là on ne fume pas
Pas à l’intérieur en tous cas…
Non , on n’fume pas m’sieur
Ou il faut sortir pour çà !
C’est Lise et Manu qui disent çà .
Et ils font comme çà,ne fument pas :
Pour eux, fumer,c’est mourir à petit feu.
Alors, chez eux , je fais comme eux ..
Quand on aime , une clop en moins , c’est peu …
Et je les aime ,oui, je les aime monsieur
Chez « ces gens là » y a des chiens ,y en a deux …
Je n’aime pas beaucoup les chiens , mais eux
Ben ils m’aiment ;même qu’ils dorment avec moi !
Puis il y a Camille , Camille ma petite fille !
Joli bébé au beau sourire, dont les yeux brillent
Camille que j’aime comme j’ai aimé et aime mon fils
Dites m’sieur,vous croyez qu’elle m’aimera aussi Camille ?
Quand je serais vieux , encore plus vieux …
Quand ils seront gris mes longs cheveux .
Quand elle sera une femme , belle et radieuse
Sera- t- elle comme ses parents heureuse ?
Mais là je suis chez moi ,seul mais bien
Pour être heureux , il suffit d’un rien …
Quelques jours dans une maison avec deux chiens
Mais ces jours chez » eux » ce n’est pas » rien «
L’original !!!!
Parodie —-réaliste + vraie texte
L’odieux
Avec ses vieux thèmes recyclés
On le revoiyait à la, télé
Baver ses amalgames foireux
L’odieux
L’immigration c’est sa rengaine
On sentait la haine dans sa dégaine
Ses longs discours suintaient un peu
L’odieux
Les peurs il en fait ses compères
On sait comment il prospère
Comment la bête immonde grandit
Oh oui, grandit
Avec ses vieux thèmes recyclés
Il avait posé en censuré
Les médias sont tombés dans l’jeu
D’l’odieux
J’l’imagine entre deux rots
Cherchant c’qu’il appelle un bon mot
Un calembour trop pernicieux
Odieux
Comme sa vie doit être monotone
On voit bien qu’il n’aime personne
Un pauvre type plutôt malheureux
J’suis sur, l’odieux
Avec ses vieux thèmes recyclés
Il a pourri la société
Des clones marchent sur ses pas boueux
D’l’odieux
Lui qu’édita des chansons
Pas du reggae, ni d’rock, ni d’sons
C’était plutôt militareux
Avec l’odieux
On s’croyait pourtant protégés
On s’disait si civilisés
Et c’est une si grande régression
Sommes-nous, si con !
Dire qu’sa fille lui a succédé !
Comme quoi les femmes peuvent disjoncter
Y’aurait préféré un morveux
L’odieux
On pouvait le traiter d’crétin
Ajouter tagada tsoin tsoin
Dès qu’il jouait l’candidat sérieux
L’odieux
Mais quand on change de président
Y’a du droit d’antenne pour ces gens
On dit qu’ça permet le débat
J’crois pas
Quand on voit notre démocratie
C’est d’un Coluche qu’avait b’soin l’pays
Lui dirait sans élever la voix
« casse-toi »
Œuvre originale : Mon vieux (M. Fricault / D. Guichard /J. Ferrat)
Interprète originel : Daniel Guichard
Les paroles : « Mon vieux » D.Guichard :
Dans son vieux pardessus râpé
Il s´en allait l´hiver, l´été
Dans le petit matin frileux
Mon vieux.
Y avait qu´un dimanche par semaine
Les autres jours, c´était la graine
Qu´il allait gagner comme on peut
Mon vieux.
L´été, on allait voir la mer
Tu vois c´était pas la misère
C´était pas non plus l´paradis
Hé oui tant pis.
Dans son vieux pardessus râpé
Il a pris pendant des années
L´même autobus de banlieue
Mon vieux.
L´soir en rentrant du boulot
Il s´asseyait sans dire un mot
Il était du genre silencieux
Mon vieux.
Les dimanches étaient monotones
On n´recevait jamais personne
Ça n´le rendait pas malheureux
Je crois, mon vieux.
Dans son vieux pardessus râpé
Les jours de paye quand il rentrait
On l´entendait gueuler un peu
Mon vieux.
Nous, on connaissait la chanson
Tout y passait, bourgeois, patrons,
La gauche, la droite, même le bon Dieu
Avec mon vieux.
Chez nous y avait pas la télé
C´est dehors que j´allais chercher
Pendant quelques heures l´évasion
Tu sais, c´est con!
Dire que j´ai passé des années
A côté de lui sans le r´garder
On a à peine ouvert les yeux
Nous deux.
J´aurais pu c´était pas malin
Faire avec lui un bout d´chemin
Ça l´aurait p´t´-êt´ rendu heureux
Mon vieux.
Mais quand on a juste quinze ans
On n´a pas le cœur assez grand
Pour y loger tout´s ces chos´s-là
Tu vois.
Maintenant qu´il est loin d´ici
En pensant à tout ça, j´me dis
« J´aim´rais bien qu´il soit près de moi »
PAPA…
Et en prime la vidéo :