Au début des années 1900, il était possible de trouver de vrais chevaucheurs de cochon.!!
Loin du féroce chevaucheur de cochon de Clash of Clan et autre Clash Royal, il s’agissait plutôt d’hommes avinés en quête de défi, utiliser un porc comme un cheval représentant une forme de sport extrême.
Des personnes sous l’emprise de l’ivresse voulant jouer les cavaliers sur une monture pas forcément commode : des cochons chassant un ours de leur porcherie :
Cochons chassant un ours de leur porcherie
Certains allant même jusqu’à chevaucher un sanglier, à moins qu’il ne s’agisse d’un cochon laineux :
Cochon » laineux »
après une permanente.
Le genre de défi somme toute risqué, les gens de l’époque ayant souvent déjà du mal à tenir sur un âne :
Chevaucher un âne
et l’animal capable de belles ruades.
Quelques clichés des vrais chevaucheurs de cochon des années 1900 ou 1910, de fiers cavaliers à l’alcool joueur qui ont eu l’opportunité de se faire tirer le portrait en remportant leur challenge:
Plus difficiles à chevaucher encore, excepté pour les oiseaux marins, également les cochons nageurs des Bahamas :
……. l’habit ne fait pas le moine (contrairement à la tonsure) ?
Véritable dictionnaire des proverbes et maximes de France, ma grand-mère m’a maintes fois répété cette mise en garde : « Attention mon chou, l’habit ne fait pas le moine ». Même si elle sent quelque peu le papier jauni d’un vieux livre oublié, cette formule qui appelle à la vigilance face aux apparences, ne m’a jamais semblé aussi pertinente qu’aujourd’hui, à l’heure du virtuel et des fake news. Mais au fait, vu que ce n’est pas ma tendre mamie qui l’a inventée, d’où vient-elle ?
On ne le dira jamais assez : ilne faut jamais se fier aux apparences. Croyez-en mon expérience : elles sont souvent trompeuses. D’ailleurs, on en a tous été victime un jour, ne serait-ce qu’en découvrant un push-up sous le cache-cœur de celle qui, la nuit durant, sur la piste de danse, vous a enivré de son décolleté rebondi. C’est à ne plus savoir à quel »sein » se vouer ! Et ce n’est jamais là qu’un exemple parmi tant d’autres des déceptions engendrées par une hypocrisie habile ou un artifice ingénieux. Ce genre de désillusion a même tendance à se généraliser dans une société où le conseiller en image et le retoucheur photo sont promis à un avenir plus radieux que l’artisan boulanger et le prof de philo.
La mode est en effet au faux-semblant, au tape-à-l’œil, à la mascarade. Un phénomène nourri grassement à ces deux mamelles prolifiques que sont le numérique et le populisme. Être ou paraître, telle est la question que people et politiques ont définitivement tranchée à coup de Photoshop et de promesses électorales. Pourquoi s’en priveraient-ils puisque, à en juger par leurs côtes de popularité sur Instagram pour les uns, dans les urnes pour les autres, la duperie, c’est comme le Loto : c’est facile, ce n’est pas cher et ça peut rapporter gros !
Si notre monde ressemble de plus en plus à un spectacle d’Houdini, le maître incontesté de l’illusion, n’allez pas croire qu’il a viré au trompe-l’œil sous l’effet conjugué de la télévision et d’internet. Il y a belle lurette que ce vernis qu’est l’apparence sauve les meubles de bien des médiocres. En témoigne, cette maxime de Plutarque, le philosophe romain, qui aimait à rappeler à ses contemporains que la barbe ne fait pas le philosophe. »Philosophum non facit barba » pour les inconditionnels de la VOST. Une logique qui a fait son chemin jusqu’à donner au Moyen-âge un proverbe bien connu et encore usité de nos jours, du moins par ceux qui ne lisent pas que des mangas : l’habit ne fait pas le moine.
LA BURE QUI FIT LES PRINCES
Il est très probable que cette maxime tire sa source des frasques d’un clergé régulier qui, au cœur du Moyen-âge, grisé sans doute par son opulence, maltraite ses vœux, leur préférant une règle bien plus joyeuse que celle de Saint Benoît : celle des trois B, Bouffer, Boire et Baiser. Au point que Grégoire IX, l’un des papes de l’époque, en est irrité et rappelle à l’ordre ces brebis égarées d’un sermon bien senti. » Ce n’est pas à l’habit qu’on reconnaît le moine, avertit-il, mais à l’observation de la Règle et à la perfection de sa vie. » Le coup de gueule est non seulement entendu dans les prieurés, mais il trouve également un écho favorable chez les laïcs. Ceux-ci s’emparent rapidement de la formule grégorienne pour dénoncer tous ceux qui, nobles, magistrats ou dignitaires de l’Église, portent la robe sans en avoir l’étoffe.
Malgré l’évidence de la paternité papale, il est des historiens pour défendre une tout autre version. Selon eux, l’origine de l’expression serait à chercher du côté d’une région tout aussi chère à mon cœur qu’à mon porte-monnaie : la Côte d’Azur. À l’époque qui nous intéresse, ce coin de la Méditerranée n’avait ni le nom, ni l’image paradisiaque qu’on lui accole aujourd’hui. Nous sommes en effet au tout début de l’année 1297. La République de Gênes vient de connaître une guerre civile qui a opposé deux clans rivaux : les Guelfes et les Gibelins. Les premiers sont vaincus et fuient vers la Provence voisine.
Le chemin du salut passe aux abords de Monaco, forteresse génoise bâtie sur un rocher défiant la Grande Bleue. Elle a la réputation d’être imprenable. Une considération dont n’a que faire François Grimaldi. Ce Guelfe rancunier et téméraire se met en tête de prendre sa revanche sur les Gibelins en leur ravissant leur citadelle et les terres alentours. Plutôt que de se lancer à l’assaut des solides remparts, il imagine alors un subterfuge particulièrement culotté.
C’est accompagné par l’un de ses lieutenants, vêtu tout comme lui d’une bure franciscaine, que, le 8 janvier exactement, il se présente aux gardes de Monaco pour leur demander l’asile pour la nuit. Ce que les bons bougres, se pliant alors à l’usage, acceptent sans hésiter. Pour le regretter sans aucun doute ! Car sitôt la garnison assoupie, le faux clerc ouvre les portes de la forteresse, y fait entrer sa petite armée et s’en empare sans trop de difficulté. Toujours évoquée par le blason monégasque avec ses deux moines portant l’épée, cette ruse victorieuse vaut à François une seigneurie (offerte à son cousin, Rainier Ier, qui la perd quatre ans plus tard, sa descendance n’en retrouvant la pleine jouissance qu’en 1331) et un surnom qu’il partage avec l’adorable Benji : la Malice !
BIEN DÉGAGÉ SUR LE DESSUS
L’habit ne fait pas le moine, soit. Mais qu’en est-il de la tonsure ? Là, c’est autre chose. On doit bien reconnaître qu’elle singularise l’homme de foi, personne, à part lui, pas même un Antoine Griezmann sous acide, n’oserait cette coupe aérée. Pour rappel, elle consiste à ne laisser autour d’un crâne fraîchement tondu qu’une frêle couronne de cheveux. Elle n’a d’égale par sa laideur que la Visa découvrable, ce pseudo cabriolet qui a définitivement installé Citroën au sommet du mauvais goût automobile. Une parité qui n’a rien d’étonnant puisque coiffure et voiture partagent un même concept pour le moins obscur : on décapote sur le dessus, mais on ne touche à rien sur les côtés.
Qui a eu cette idée saugrenue ? Pour la Visa, je ne sais pas, mais pour la tonsure, là, c’est signé Anicet, l’un des tout premiers papes de Rome, élu au IIe siècle. Il associa cette hérésie capillaire aux vœux que prononcent les moines à l’heure d’entrer dans les ordres. Pour le Saint Père, la chevelure était en effet l’un des principaux apparats des hommes ordinaires. La tondre marquait ainsi très concrètement un renoncement à la vie laïque et à ses futilités.
Mais dans ce cas, pourquoi ne pas adopter la boule à zéro pure et simple ? Parce qu’il y a naturellement des chauves et des femmes pour trouver ça viril et sexy. Pas vraiment le but recherché par le chef de la Chrétienté qui voulait distinguer ses clercs du commun des mortels et les prévenir de toute tentation charnelle. D’où sa volonté de les enlaidir en leur laissant cet anneau hirsute qui ceint leur crâne d’œuf. Une pincée de symbolisme, la couronne de cheveux monacale évoquant celle d’épines dont on avait affublé Jésus lors de sa crucifixion, pour rendre la sauce moins amère et le tour est joué et l’abbé rasé de près.
Voilà pourquoi la tonsure a sévi dans les monastères pendant près de deux millénaires, jusqu’à ce que Paul VI, en 1972, en rende la pratique facultative.
Et je ne sais pas pour vous, mais moi, rien que de le savoir et de me dire que je vais mourir moins con (en apparence du moins et le plus tard possible), ça me ravit.lol
Ces expressions d’autrefois sont maintenant oubliées ou presque ! Quel dommage, car ces mots anciens sont souvent poétiques et parfois rigolos. Ils font partie du registre familier, argotique ou au contraire soutenu. (Pensant à ma grand-mère et aussi à ma mère …qui les utilisait parfois) ….
Cesvieux mots de français oubliés:
Une »mamie »
15 expressions et mots d’autrefois que seules nos grands-mères peuvent comprendre :
Un fier-à-bras : « Ah quel fier-à-bras celui-là ! » « Il joue au fier-à-bras… » C’est peut-être une expression que vous avez déjà entendue ? Un fier-à-bras est un homme qui fait le fanfaron. C’est une personne qui se fait remarquer et qui affiche un courage… qu’il n’a pas forcément.Un matamore, un vantard quoi ! C’est une expression désuète et familière, mais surtout péjorative.
Rabibocher :Un vieux mot que j’aime bien = comment-economiser.fr parce qu’il veut dire réparer, retaper. Eh oui, nos grands-mères n’étaient pas du genre à jeter un truc dès qu’il était abîmé. Pas de gaspillage ou de gâchis avec elle. Non, si quelque chose était cassé, elle le réparait, le retapait et le rafistolait. Bref, elle le rabibochait. Se rabibocher peut avoir un autre sens, celui de se réconcilier. Si vous vous êtes disputé avec votre amoureux, on espère que vous allez vous rabibocher rapidement.
Une gouape : »Ce type est une sale gouape… » Autrement dit, ce type est un voyou ! Bref quelqu’un de peu recommandable… Il s’agit d’une expression désuète et populaire qui remplace avec panache vaurien ou chenapan. Il vaut mieux dire une petite gouape qu’une petite frappe non ?
Coller son billet : « Allez, je te colle mon billet qu’il ne va pas venir. » Coller son billet, ça veut dire parier, donner sa parole. C’est une façon imagée que nos grands-mères avaient de dire « je te parie ». C’est une expression populaire et assez imagée je trouve, pas vous ? Elle peut être remplacée par « donner son billet », « ficher son billet », « flanquer son billet », « foutre son billet ».
Un puîné : Avec ce terme désuet, on change de registre puisqu’on est dans un langage plus soutenu ! Un puîné ou une puînée est celui ou celle qui est né après. C’est le cadet ou la cadette, le petit frère ou la petite sœur. Ce mot est tout simplement composé de « puis » et « né ». Avec l’usage, le « s » a disparu et a été remplacé par l’accent circonflexe.
Envoyer aux pelotes« Il m’a demandé de l’aide, je l’ai envoyé aux pelotes ! » Cette expression qu’utilisaient nos grands-mères vient de l’argot militaire. Elle signifie éconduire, repousser, ne pas accéder à la demande de quelqu’un. Eh oui, nos grands-mères ne se gênaient pas pour envoyer promener les casse-pieds ! Dans le vocabulaire militaire, le mot pelote désigne le peloton des soldats punis et qui devaient effectuer des corvées.
Gausser ou se gausser« Laissez-moi me gausser, je vous prie… » Nos grands-mères n’étaient pas toujours tendres… Et si elles se gaussaient d’une personne, c’est qu’elles se moquaient d’elle. C’est une expression soutenue, mais désuète pour dire se moquer, tourner quelqu’un en ridicule, en rire, la railler. Être raide patate : Voilà une adorable expression populaire qu’on n’entend plus de nos jours. Être raide patate, c’est être raide dingue amoureux de quelqu’un ! On peut utiliser l’expression également pour dire qu’on est passionné par quelque chose. C’est mignon, n’est-ce pas ? Et vous, vous êtes raide patate de quelqu’un en ce moment ?lol
Tomber sur le paletot : Cette vieille expression a plusieurs sens. Si on dit « il m’est tombé sur le paletot sans crier gare ! » C’est alors une manière familière de dire qu’on s’est fait aborder par quelqu’un de manière très brusque. C’est à la limite de l’agression ! Un synonyme est par exemple assailli ou encore se jeter sur quelqu’un. Mais cette expression a aussi un sens figuré. On utilise également l’expression pour dire que quelque chose est arrivé de façon inattendue.
Ça m’est tombé sur le paletot! Enfin, cela peut aussi avoir le sens d’insulter ou de critiquer vivement. « Ma mère m’est tombée sur le paletot. » (Et au fait, vous savez ce que c’est un paletot) ? C’est un vêtement qui se porte par-dessus les autres vêtements.
un paletot:
Il est généralement boutonné sur le devant.
Au débotté : là, c’est le gistre vestimentaire avec cette expression démodée. À l’origine, l’expression vient de « se débotter » qui veut tout simplement dire : enlever ses bottes. Par extension, cela devient le moment où on enlève ses bottes en arrivant chez soi. Et au sens figuré, au débotté veut dire à l’improviste. « Il m’a pris au débotté » : cela vient du fait qu’on a enlevé ses bottes et qu’on n’a pas eu le temps de les remettre.
Bigre !: C’est une vieille expression qui exprime la surprise, la crainte, le dépit ou l’étonnement. Elle peut aussi vouloir dire l’admiration. Cette expression vient du mot « bougre ». D’ailleurs, on peut aussi dire bougrement ou bigrement. « C’est bigrement bon ! » Et comme dit le Capitaine Haddock dans Tintin : « bigre, il s’agit d’ouvrir l’oeil ! »
Ça ne vaut pas un kopeck !
Un kopeck était de la monnaie russe qui vaut un centième de rouble. Le kopeck a été progressivement dévalué. Autrement dit, il ne vaut pas grand-chose ! Quand votre grand-mère disait, ça ne vaut pas un kopeck, ça veut dire que ça ne vaut rien… Cela n’a aucune valeur. Un peu dans la même idée, vous avez peut-être entendu votre grand-mère dire, ce »n’est trois fois » rien ou pour trois francs six sous…
S’ébaudir :
Ce verbe qu’on n’utilise plus beaucoup vient du verbe s’esbaudir. En ancien français, » bald » veut dire « joyeux ». S’ébaudir veut dire se divertir, se réjouir, s’égayer souvent bruyamment. C’est évidemment une expression ancienne, mais vous pouvez toujours la glisser lors d’un repas. « Son histoire passionnante nous a ébaudis ! » Cela produit toujours son petit effet ! Mais attention, de nos jours, cette expression est un peu ironique…
Contre-aimer:
On vient de vous faire une déclaration d’amour ?On vous a enfin dit « je t’aime » ? Ne répondez pas : moi aussi… C’est tellement banal ! Non dites plutôt : je te contre-aime ! Eh oui, « contre-aimer » signifie « aimer en retour ». C’est bien plus classe et original vous ne trouvez pas lol ?
Avoir de la conversationAttention, cette expression est un faux-ami ! Bien sûr, on peut reconnaître qu’une personne a de la conservation, sans aucune arrière-pensée. C’est le cas si une personne qui a de la présence d’esprit et qui parle facilement de différents sujets. Mais attention quand vous l’utilisez pour qualifier une femme ! Car elle a un sens un peu plus grivois… Elle peut signifier : avoir une belle poitrine, avoir une poitrine généreuse. Autrement dit, il y a du monde au balcon !
Qu’est-ce que j’ai fait du papier Qui me dit d’aller voter ? Des bull’tins qu’mon voisin M’a remis hier matin En m’disant : « Lisez tout, faites votre choix Et ne vous en moquez pas ! Vo-tez hein bon ! »
Où est l’adresse du bureau ? Où sont les clés d’mon auto ? Où est donc l’isoloir ? Où je dois faire mon devoir ? Oui je sais, je perds tout mais pas mes droits Et vous moquez pas de moi ! Vo-tez hein bon !
Quel nom m’a dit mon mari Mon père ma meilleure amie Ma belle-soeur de Hambourg Et ma tante de Saint-Flour ? Où sont donc les photos des candidats ? Ah oui ça y est les voilà !
Mmmmmh… ouais ! Ouais. Si on veut. Ouais. Ah ouais ! A la rigueur. Vo-tez hein bon !
Quelles initiales m’a-t-on dit Pour repérer les partis ? ONM, TNP RTF, RAPT LS qui ? C’est SK, non c’est pas ça SVP n’vous moquez pas ! Vo-tez hein bon !
SNCF, T & E PMU, SGDG EDF, HLM CIC, CQFD J’abandonne, j’suis K.O. y a trop de choix Mais ne faites pas comme moi ! Vo-tez hein bon !
Z’avez pas vu Mirza? Oh la la la la la la Z’avez pas vu Mirza? Oh la la la la la la Z’avez pas vu Mirza? Oh la la la la la la
Où est donc passé ce chien Je le cherche partout Où est donc passé ce chien Il va me rendre fou Où est donc passé ce chien Oh – ça y est je le vois!… Veux tu venir ici, Je ne le répéterai pas Veux-tu venir ici, Mmmmm, sale bête va!… Veux-tu venir ici Oh – Il est reparti…
Où est donc passé ce chien Je le cherche partout Où est donc passé ce chien Il va me rendre fou Où est donc passé ce chien Oh ça y est je le vois!… C’est bien la dernière fois Que je te cherche comme ça Veux tu venir ici Je ne le répéterai pas Veux tu venir ici Ohé ne bouge pas Veux tu venir ici Oh yeah! satané Mirza
Si vous connaissez çà , vous n’êtes pas né hier lol
_______________________________________________
Suzanne Yvonne Henriette Marie Galopet dite Suzanne Gabriello, née le 24 janvier 1932 à Paris 18ᵉ et morte le 9 août 1992( il y a environ 29 ans ! ) à Paris 13ᵉ, est une actrice et chanteuse française. Elle était la fille de l’acteur et chansonnier André Gabriello.
Nino Ferrer, nom de scène d’Agostino Arturo Maria Ferrari, est un auteur, compositeur et chanteur italien, d’expression principalement francophone, né le 15 août 1934 et mort le 13 août 1998, naturalisé français à sa demande en 1989.
P.S : S. Gabriello a été l’une des compagnes de Jacques Brel, qui écrivit pour elle Ne me quittes pas, bien que ce soit lui qui l’ait quittée. Son poste de présentatrice à l’Olympia a aidé la montée en succès de Brel.
» Dans le monde actuel , on investit cinq fois plus en médicaments pour la virilité masculine et en silicone pour les femmes , que pour la guérison d’Alzheimer ….D’ici quelques années , nous aurons des vieilles aux gros seins et des vieux aux pénis bien raides , mais aucun d’entre eux ne se souviendra à quoi çà sert . »
Antônio Drauzio Varella ; né le 3 mai 1943 à Sao Paulo ( Brésil ) est un médecin brésilien , éducateur ,scientifique et vulgarisateur de sciences médicales dans la presse et la télévision …Il est aussi , en plus de la médecine , commentateur public sur des questions telles que les conditions de prisons, le bien- être social , le gouvernement , la littérature . Il est » connu » pour son athéisme » professé » et le scepticisme …..
Avec ces histoires de coronavirus , on a un boulevard pour interdire l’ensemble des rassemblements et les manifestations, de plus ce Covid-19 occupe tout l’espace médiatique ce qui nous permet d’avancer masqués sans attirer l’attention de la populace , je me suis donc dit qu’on pourrait balancer un 49 -3 sur les retraites dès samedi soir histoire de tirer avantage de cette crise sanitaire pour tombée du ciel pour » la leur mettre bien profonde »
ça c’est vraiment un » plan de fils de pute » , ça me plait » !
» mon trésor » est souvent employé pour parler ( dire à ) d’un enfant qu’on l’aime
….Mais…
Faire un enfant , ce ne serait pas seulement une initiative personnelle , c’est aussi un » acte citoyen »qui permet de soutenir la natalité nationale et de » booster » l’économie .
A tel point qu’en 1938 , les jeunes couples français qui n’avaient pas d’enfant dans les années suivant leur mariagese voyaient réclamer une » taxe de compensation familiale »! Cette taxe fut mise en place par le gouvernement Daladier
Daladier ?
pour soutenir la croissance du pays et son repeuplement après la guerre !
On aurait pu se demander » à quand l’acte sexuel notarié »