çà s’est passé un 4 septembre….


Il y a environ 133 ans :

Le 4 septembre 1886 , Géronimo  géronimose rendait ….

Geronimo, né le 16 juin 1829 dans la tribu apache Bedonkohe près du Turkey Creek, affluent de la rivière Gila (Nouveau-Mexique, alors sous domination mexicaine), et mort le 17 février 1909 à Fort Sill (Oklahoma, États-Unis). Appelé Go Khla Yeh (« celui qui bâille ») à sa naissance, parfois écrit Goyathlay, ou encore surnommé Guu Ji Ya (« l’astucieux »), il est l’un des protagonistes des guerres apaches, le dernier à continuer à se battre contre le Mexique et les États-Unis pour les droits des amérindiens, avant sa reddition en 1886 ,( âgé de 57 ans )…

   Contrairement à ce qu’on pourrait croire , il n’a jamais été chef,! Mais en tant qu’  » homme-médecine  »  (chaman) et guerrier reconnu et respecté, il eut une grande influence sur les Apaches Chiricahuas. Après la mort de Taza, le fils aîné de Cochise, Naiche, le second fils du vieux chef doit partager le contrôle de la tribu avec lui. Son beau-frère Juh , lui ,  était un leader de la tribu des Apaches Nednis.

   En 1858, après le meurtre de sa mère, de sa femme et de ses trois enfants par l’armée mexicaine près d’un village appelé Kas-ki-yeh par les Apaches, il commence des raids de représailles en territoire mexicain. On dit que Geronimo a fait un rêve la veille du jour où les hommes blancs sont arrivés, il aurait rêvé que des hommes de couleur blanche venaient sur leurs terres pour les exterminer.

    Il venge sa famille le 30 septembre 1859, jour de la saint-Jérôme. Les cris des Mexicains invoquant saint Jérôme pour leur défense (« Geronimo ! Geronimo ! ») l’inspirent et il prend alors ce nom. Plus tard, lors d’une autre attaque surprise, les Mexicains tuent sa nouvelle épouse et son fils.
   En octobre 1862, il participe avec les chefs Cochise et Mangas Coloradas à la bataille d’Apache Pass. En janvier 1863, Mangas Coloradas ( malgré l’opposition de Geronimo ) se rend au Fort McLane, dans la petite ville d’Apache Tejo, pour y signer un traité de paix.

En 1871, après près de dix ans de guerre contre les États-Unis, les Apaches Chiricahuas, alors dirigés par Cochise, négocient un accord de paix sur les conseils de Tom Jeffords. Ils obtiennent la création d’une réserve sur leurs terres.
    Mais en 1876, la réserve Chiricahua est fermée par les autorités américaines. La plupart des Indiens sont déportés vers la réserve de San Carlos , fertile mais considérée par les Apaches comme une terre maudite. Geronimo, Naiche et Juh s’enfuient avec une centaine d’individus, tandis que la majorité des Apaches, épuisées des guerres incessantes, acceptent le déplacement. Geronimo est arrêté l’année suivante au Nouveau-Mexique par l’agent indien John P. Clum et transféré à San Carlos. Libéré, il s’enfuit de la réserve quelques mois plus tard. Il gagne le Mexique où il vit de pillages, avant de regagner San Carlos en 1879.
   En septembre 1881, peu après la mort de Nochedelklinne, un leader spirituel apache tué par les soldats, Naiche, Geronimo et Juh s’enfuient à nouveau de leur réserve. Ils lancent de violentes attaques contre les colons blancs avant de s’évanouir dans les montagnes mexicaines. En novembre 1882, ils y abattent les 22 soldats mexicains du capitaine Juan Mata Ortiz.
  Les raids des Apaches débordent du côté États-Unis (en Arizona et Nouveau-Mexique) : en mars 1883, 26 colons américains sont tués. Le général George Crook est chargé de protéger la population blanche et entreprend de traquer les Apaches hostiles dans leurs repaires mexicains. Un camp découvert par les éclaireurs apaches de Crook est attaqué en mai 1883. Les leaders apaches acceptent alors le principe d’une reddition. En 1884, Geronimo s’établit de nouveau dans la réserve de San Carlos.
   Geronimo, en compagnie de Naiche et plusieurs membres de la tribu, s’échappe encore plusieurs fois, vivant de pillages, avant de se rendre. L’arrestation brutale du guerrier Ka-ya-ten-nae le pousse à s’enfuir une nouvelle fois le 17 mai 1885 avec 109 femmes et enfants, et 35 hommes.
  Depuis le Mexique, ses hommes lancent plusieurs raids meurtriers en Arizona et au Nouveau Mexique. Il est de nouveau retrouvé au Mexique par des éclaireurs apaches en mars 1886. Lors d’ une conférence avec le général Crook, il accepte de regagner la réserve avec les soldats américains. Il se ravise plus tard et s’échappe dans les montagnes avec Naiche, une quinzaine de guerriers et quelques femmes et enfants.

    C’est le général Nelson Miles ( Crook avait démissioné ), qui est chargé de le poursuivre avec 5 000 hommes et des milliers de volontaires. 3 000 soldats mexicains sont aussi mobilisés contre les Apaches au sud de la frontière. En marge de la poursuite de Geronimo, le général Miles fait déporter en Floride les Chiricahuas vivant en paix dans la réserve de San Carlos.

     Pendant plus de cinq mois, Geronimo et ses partisans réussissent à passer entre les mailles du filet en utilisant la surprise, la mobilité et les connaissances des Apaches des modes de survie dans des conditions extrêmes. La capacité à disparaître de Geronimo était attribuée selon son peuple à des pouvoirs de prémonitions qui l’avertissait de la présence de l’ennemi, pouvoirs liés à son statut de chaman. Épuisé, fatigué de se battre, il finit par se rendre le 4 septembre 1886 avec 16 guerriers, 12 femmes et 6 enfants.

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  Sa reddition a fait l’objet d’une polémique au sein de l’armée américaine, car le général Howard, chef de l’armée américaine de la zone Pacifique, a rendu compte à son chef d’état major, à l’attention du Congrès et du président des États-Unis, de la reddition d’un dangereux hors-la-loi obtenue sans condition, alors que des témoins (notamment le général Stanley) ont rapporté, de leur côté, que Geronimo s’est constitué prisonnier de guerre moyennant la prise en charge humanitaire, sociale et éducative des communautés apaches par l’État fédéral ! 
    Sur ordre spécial du président Grover Cleveland, il est placé sous surveillance militaire étroite à Fort Pickens en Floride avec quatorze de ses braves. Le climat humide de la Floride s’avère malsain pour les Apaches habitués à celui du désert et plusieurs d’entre eux décèdent. Les survivants sont ramenés à Fort Sill, en Oklahoma, en 1887. Geronimo se convertit alors au christianisme et devient fermier !  Il vend des souvenirs à l’Exposition universelle de 1904, étant de ce fait présent aux Jeux Olympiques de Saint-Louis, et participe à la parade d’inauguration de Theodore Roosevelt en 1905.!! 

    Il regrette cependant jusqu’à la fin de ses jours de s’être rendu.

  Il dictera l’histoire de sa vie en 1906 avant de mourir d’une pneumonie à Fort Sill, en Oklahoma, le 17 février 1909. Son dernier vœu fut d’être enterré sur les terres de la rivière Gila.
   Sa tombe au cimetière du camp militaire Fort Sill aurait été profanée vers 1918 par la société secrète Skull and Bones de l’université Yale. Cette société conserverait encore le crâne, deux os, une bride et des étriers de Geronimo dans ses locaux de New Haven. On compterait au nombre des profanateurs Prescott Bush, père de l’ex-président George H. Bush et grand-père de l’ex-président George W. Bush. Cet épisode est considéré comme une légende par plusieurs chercheurs tandis que l‘historien David H. Miller estime que si les membres de la société ont bien profané une tombe, il y a peu de chance que ce soit celle de Geronimo qui ne comportait pas d’indication à l’époque.
    En 2009, année du centenaire de sa disparition, l’arrière-petit-fils de Geronimo entreprend une action contre le gouvernement américain pour rassembler les restes de son aïeul et ramener sa dépouille auprès de son lieu de naissance au Nouveau-Mexique et faire ainsi respecter ses dernières volontés.
   En 2010, le nom  » Geronimo  » a été pris comme nom de code par les États-Unis pour désigner Oussama ben Laden. L’annonce a été faite juste après l’opération militaire héliportée qui a entraîné sa mort à Abbottabad, au Pakistan, le 2 mai 2011. Le message Geronimo-EKIA, contraction de Geronimo, Enemy Killed in Action ( » Geronimo, ennemi tué au combat  ») a servi au commando des Navy Seals6 pour aviser la Maison-Blanche du succès de l’opération. Ce nom d’emprunt a suscité la colère des communautés indiennes américaines

Quelques photos :

Geronimo 1905 (Geronimo 1905 )       Geronimo 2???

Geronimo femme et filssa femme ,son fils.

 

Klik…………


Bien que Manu ne vienne pas manger ce mercredi , mais , il viendra jeudi , la raison exige que je me couche  et essaie de dormir ……D’autant plus que je dois passer chez mon médecin ce jeudi après-midi ……

  => Je n’aurais encore visité aucun blogs  » amis  » cette nuit pffffffffff!

Canular  » scientifique « 


fouilles
crane

   En 1912 ,la découverte d’ossements humains dans le sud de l’Angleterre ( à Pitdown exactement ) par …Charles Dawson , le paléontologue bien connu , a fait penser pendant de nombreuses années que le chaînon manquant entre nos ancêtres simiens et nous avait été trouvé.  En effet , le crâne de l’homme de Pitdown  ressemblait à celui d’un homme moderne alors que sa mâchoire était semblable à celle d’un singe  !

  Mais ,quelques années plus tard ( en 1920 ) , un anatomiste démontra qu’il s’agissait du montage  » grossier  » d’une mâchoire d’Orang- outang sur un crâne humain !

Il fallut tout de même attendre les années 50 pour que la communauté scientifique  reconnaisse la supercherie .

 

Plusieurs personnes ont été suspectées d'être à l'origine de la supercherie , parmi ces dernières figuraient ………..Charles Dawson lui même et l'écrivain Arthur Conan Doyle !!!!!

En plus, il faut noter que le père de Sherlock Holmes habitait près de et était en train d’écrire un livre sur ………des hommes préhistoriques !!!!

                                                                                                   Ch. Dawson .

Un jour ou………


 

Un jour, tu verras, on se rencontrera,
Quelque part, n’importe où, guidés par le hasard,
Nous nous regarderons et nous nous sourirons,
Et, la main dans la main, par les rues nous irons.
Le temps passe si vite, le soir cachera bien nos coeurs,
Ces deux voleurs qui gardent leur bonheur;
Puis nous arriverons sur une place grise
Où les pavés seront doux à nos âmes grises.
Il y aura un bal, très pauvre et très banal,
Sous un ciel plein de brume et de mélancolie.
Un aveugle jouera de l’orgu’ de Barbarie
Cet air sera pour nous le plu beau, l’plus joli!
Moi, je t’inviterai, la taille, je prendrai
Nous danserons tranquill’ loin des gens de la ville,
Nous danserons l’amour, les yeux au fond des yeux
Vers une nuit profonde, vers une fin du monde.

Mouloudji………….

Ou : MOI ! et la mort…..

Un jour ,tu verras , on se rencontrera…

Quelque part, qui sait où ? Par hasard…

Sans que je , que nul , ne puisse le prévoir

Ce sera le jour , la nuit ? Va savoir??

Ce sera  » par hasard  » ou..selon mon  » bon vouloir  » 

Tu m’attends , tu nous attends tous ,c’est sans espoir.

Tout à l’heure déjà , tu es passée me  » voir  » …

Tu m’a prévenu comme tu le fais toujours 

Te sentant venir , j’ai avalé un comprimé

et me suis allongé, affalé dans le canapé …

Et dans une sorte de coma ai sombré …

Quelques heures après, je me suis éveillé 

Avec un mal de tête et les idées brouillées .

 

Oui , un jour tu viendras , et ,c’est sur , ce jour là ,

Sans que je n’y puisse rien faire , tu m’emporteras 

Mais tu n’auras que ma  » carcasse  » ne te leurres pas !

Car , le paradis , l’enfer ,ce sont foutaises pour moi …

Et dans le cœur de ceux que j’aime et qui m’aiment ,

Après ton passage , pour longtemps, je serais toujours là .

 

Possible aussi que ce ne soit pas par hasard ,

Je peux , comme tous les vivants , choisir l’instant….

Alors , à ton grand  » dam  » , ce ne sera pas un hasard

Non ,  » ma canarde  » : Ce sera selon  » mon bon vouloir  » !

Notre choix : Vivre ou mourir , décision qui n’est plus un hasard………….

 

 

Impôt sur…les portes et le fenêtres !


L’État a toujours fait preuve d’imagination en ce qui concerne les impôts ! Parmi l’une de ses fantaisies figure le célèbre impôt sur les fenêtres et les portes.

Dominique Ramel, alors ministre des finances du Directoire en 1796, a besoin d’argent. Le nouvel État, au sortir de la Révolution Française, a besoin d’argent. C’est alors que Monsieur Ramel a l’idée de s’inspirer d’un des plus vieux impôts du monde, à savoir l’ « ostiarum » initié par Jules César lui-même !

  L’idée est on ne peut plus simple : les riches ont de grandes maisons, et plus la maison est grande, plus il y a  de portes et de fenêtres. Pour simplifier le système, l’État a donc l’idée de faire compter les portes et fenêtres par ses agents du fisc et d’établir une assiette fiscale. Par exemple, voici ci-dessous l’un des articles de la loi sur cet impôt :

« Article 3 : Les portes et fenêtres, dans les communes au-dessous de cinq mille âmes, payeront 0,25F; de cinq à dix mille, 0,25F ; de dix à vingt-cinq mille, 0,30F; de vingt-cinq à cinquante mille, 0,40F; de cinquante à cent mille, 0,50F; de cent mille et au-dessus, 0,60F. Les portes-cochères et celles de magasins, de marchands en gros, commissionnaires et courtiers, payeront double contribution. »

La conséquence de cet impôt, qui n’a d’ailleurs rapporté que peu de recettes, sera tragique d’un point de vue sanitaire. En effet, cette contribution poussa à la construction de bâtiments insalubres, certaines fois sans fenêtre ! D’ailleurs beaucoup de propriétaires, pour garder leur statut de « riche » tout en évitant l’impôt, se mirent à peindre de fausses portes et fenêtres sur leurs maisons, à la grande surprise des agents du fisc. Mais la première retombée de cet impôt concerne une hausse des maladies liée au manque de lumière et au manque d’espace dans les habitats.

En effet, les propriétaires, étant poussés à construire le moins de fenêtres et portes possibles, entassèrent bon nombre de familles dans des espaces privés d’air et de lumière. Ce qui eut pour conséquence des cas de rachitisme chez les nouveau-nés notamment, maladie des os très grave due au manque de vitamine D. La France n’a pas été la seule touchée par ce mal, puisque l’Angleterre mit en place l’impôt sur les portes et fenêtres un siècle plus tôt sous Guillaume III et eut pour surnom «  le Malade Anglais », étant donné la catastrophe sanitaire qu’entraîna cet impôt.

Bien heureusement, ce même impôt disparut en France en 1926, soit 12 ans après la création de l’impôt sur le revenu.

L’impôt sur les portes et les fenêtres n’a pas été le seul impôt loufoque : il y eut un impôt sur les perruques et les chapeaux, sur le savon et même sur les abeilles ! L’État est si créatif…

Ramel

anecdotes  » historiques »


En 1901, Paris aurait organisé un concours pour éliminer les rats ! 

 La ville s’inquiétait en effet de l’envahissement des souterrains par ces rongeurs : Le rat de Paris , selon la municipalité est un animal très particulier , pas bête du tout , qui n’aurait rien de commun avec le « grossier  » rat des campagnes ou le  » naïf   » rat de province …..

   Alors on s’est adressé aux spécialistes du poison. Et on a ouvert un véritable concours. Ces  « Borgias  » des rats sont assez nombreux, et chacun possède sa formule, naturellement infaillible, et dont il garde jalousement le secret. Un certain nombre d’entre eux se sont présentés. On leur a donné à chacun un lot à purger de ces rongeurs malins et sournois, le privilège de détruire les rats de Paris devant être accordé à celui qui aurait obtenu les meilleurs résultats. Les concurrents commencèrent par étudier le terrain. Puis, quand arriva le moment d’entamer la campagne, ils disparurent tous comme par enchantement. Les difficultés les avaient effrayés.

   Un seul resta et entreprit résolument sa tâche. Il semble d’ailleurs qu’il en a été récompensé, car il a pu présenter au directeur de l’hygiène un « tableau » assez abondant, et l’administration a décidé de lui permettre de continuer ses essais. Si ceux-ci restent satisfaisants, ce mortel courageux et heureux sera chargé de poursuivre en grand sa besogne. Nous aurons un fonctionnaire de plus. Celui-là du moins sera utile, et, à une époque où tout se rapetisse, on ne sera pas surpris de voir un « capitaine de raterie » remplacer les capitaines de louveterie à peu près disparus.

Médecin  » coquin » !


Au départ, il contactait ses maîtresses via un site de rencontres en ligne. Ensuite, il leur donnait rendez-vous dans son cabinet, profitant ainsi de sa position pour séduire nombre de demoiselles. Entre 17h00 et 19h00, les consultations n’avaient plus rien de médicales : il s’agissait de retrouver ses multiples maîtresses loin des yeux de son épouse. Pour ce généraliste basé en Ariège, tout semblait fonctionner comme sur des roulettes. Sauf qu’à la suite d’échanges de mails avec ces différentes femmes, son épouse a fini par découvrir le pot-aux-roses, si l’on peut dire.

Peu après, elle en avertit le Conseil de l’Ordre des médecins et demande le divorce………….

Là, comme on peut s’en douter, la sanction est tombé pour le mari volage.

  La chambre disciplinaire d’Occitanie de l’Ordre l’a donc sanctionné pour avoir « usé très régulièrement de sa qualité de médecin et de son cabinet médical à des fins d’activités sexuelles qu’il organise de manière habituelle à partir de sites de rencontres ».

Le verdict est donc tombé : suspension de toute activité lié au médical pendant six mois, dont trois ferme, assortie d’une amende de 1500 euros