La  » cybersécurité  » ? …..


Que se passe-t-il lorsqu’un pays attaque une entreprise ? En 2009, Google en a fait l’expérience et cela a changé notre vision de la cybersécurité. // EP000 de la série HACKING GOOGLE : => La cyberattaque menée par un gouvernement contre Google pour tenter d’accéder aux comptes Gmail de militants pour les droits humains. À la suite de cette attaque, Google a révolutionné son approche de la cybersécurité, en repensant toute son infrastructure et en développant des équipes d’experts chevronnées pour toujours garder une longueur d’avance sur des menaces en ligne en constante évolution.

Cinq équipes de sécurité d’élite. Quelques histoires inédites. Découvrons les coulisses de la cybersécurité chez Google avec les équipes de hackers qui contribuent à la sécurité de tous sur Internet

Guetteurs. Gardiens. Sentinelles. Face aux menaces, il y a toujours eu des personnes pour protéger les autres. Mais qui s’occupe des menaces qui planent sur internet ? A l’aide d’algorithmes personnalisés issus du moteur de recherche Google et d’une bibliothèque numérique qui regroupe les exploits les plus malveillants, le  »Threat Analysis Group » a contribué à stopper certaines des menaces les plus dangereuses pour Google, ses utilisateurs et internet en général. Leur compréhension approfondie des agresseurs aide à protéger des milliards d’utilisateurs.

Guetteurs. Gardiens. Sentinelles. Face aux menaces, il y a toujours eu des personnes pour protéger les autres. Mais qui s’occupe des menaces qui planent sur internet ? A l’aide d’algorithmes personnalisés issus du moteur de recherche Google et d’une bibliothèque numérique qui regroupe les exploits les plus malveillants, le  »Threat Analysis Group  »a contribué à stopper certaines des menaces les plus dangereuses pour Google, ses utilisateurs et internet en général. Leur compréhension approfondie des agresseurs aide à protéger des milliards d’utilisateurs.

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Voici les  » pompiers  » d’internet, l’équipe d’élite qui répond à l’appel quand le web s’embrase. // EP002 de la série HACKING GOOGLE Lorsque l’équipe de Détection et d’Intervention de Google repère un agresseur, elle doit être rapide et précise. En 2021, après avoir identifié une activité inhabituelle sur le réseau, elle est intervenue, a isolé l’attaquant et l’a expulsé du réseau, éteignant ainsi un incendie numérique avant qu’il ne puisse causer le moindre dommage.

Entrons dans les coulisses avec la  » Red Team  », les hackers d’élite qui se consacrent à attaquer Google. Ils se faufilent dans les bureaux, lancent des campagnes d’hameçonnage et disséminent des logiciels malveillants au sein de l’entreprise. De nombreux systèmes de protection cruciaux ont été mis en place suite aux assauts incessants de la Red Team contre les produits Google.

C’était il y a 149 ans…..



Le 20 novembre 1873, l’Assemblée nationale proroge pour sept ans le mandat présidentiel du maréchal de Mac-Mahon. Les députés, en majorité partisans d’un retour de la monarchie, veulent ainsi se donner du temps pour lever les obstacles ultimes, qui tiennent à la personnalité du prétendant légitime, le comte de Chambord (Henri V). Faute d’y arriver, ils vont devoir s’accommoder d’un régime républicain. Ce sera la IIIe République

L’affaire du drapeau :

Après la chute de l’empereur  Napoléon III

, la France doit supporter l’occupation allemande. Des élections générales entraînent la formation d’une Assemblée nationale conservatrice, avec une majorité de députés favorables à une restauration de la monarchie.

La plus grande partie des monarchistes se tournent vers le prétendant légitime au trône, le comte de Chambord, fils posthume du duc de Berry. 

Ce quinquagénaire, petit-fils de Charles X et fils posthume du malheureux duc de Berry, a vécu en exil en Autriche et épousé une princesse étrangère dépourvue de sympathie pour la France. Le couple n’a pas eu d’enfant.

Le comte de Chambord méconnaît la réalité française, garde la nostalgie du passé et se berce de l’illusion de restaurer une monarchie de droit divin. Il déçoit ses partisans en exigeant dans un manifeste  en date du 6 juillet 1871 que la France renonce au drapeau tricolore bleu-blanc-rouge.

Même les plus farouches monarchistes ne peuvent le suivre dans cette voie, considérant que le drapeau tricolore de la Révolution a acquis sa légitimité du sang de tous les Français qui sont morts pour lui jusqu’aux extrémités de l’Europe.

L’affaire est d’autant plus consternante pour les royalistes que le drapeau blanc ne fut le drapeau français que pendant la Restauration (1815-1830). Avant 1789, il n’existait pas, en effet, de drapeau officiel !!

Sous l’effet de leur déception, les députés se constituent le 31 août 1871 en Assemblée constituante et, votent la première loi constitutionnelle en conférant au chef du pouvoir exécutif,  Adolphe Thiers

, le titre de président de la République.

L’homme qui ne voulut pas être roi……

Deux ans plus tard, le 24 mai 1873, les députés retirent leur confiance à Adolphe Thiers et le remplacent à la présidence de la république par le maréchal de Mac-Mahon

, un monarchiste !

Les monarchistes sont divisés entre les partisans du comte de Chambord, ou légitimistes, et les partisans du comte de Paris, ou orléanistes.Après beaucoup d’hésitations, les deux camps s’accordent sur un plan simple : le comte de Chambord, sans enfant, monte sur le trône, et à sa mort cède le trône au comte de Paris, lequel est jeune et chargé de famille. Avec lui, l’avenir de la monarchie paraît assuré.

Carrosses, costumes… tout se met en place pour le retour du futur roi, le défilé d’intronisation et la cérémonie. Il ne manque plus qu’un vote de pure forme de l’assemblée. C’est une question d’heures.

C’est alors que le prétendant réitère par lettre du 23 octobre 1873 son refus de tout compromis sur le drapeau. Dans la consternation, les députés se résignent à proroger le mandat du maréchal de Mac-Mahon.

La France entre à petits pas dans un régime républicain aussi conservateur que pouvait le souhaiter Adolphe Thiers.