Le East End de Londres ….


……. par Jack London en 1902

Le célèbre écrivain Jack London

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Jack London

a mis en images le East End de Londres en 1902.

La banlieue londonienne pauvre du début du 20eme siècle où il a vécu quelques mois, se rapprochant de la ville dont il a le nom.

L’auteur de San Francisco plutôt versé dans l’aventure et la nature avec croc blanc

Croc blanc ,le livre.

ou l’appel de la forêt

L’appel de la forêt, livre .

(que j’ai lu plusieurs fois dans mon enfance) en a issu un roman intitulé le peuple de l’abîme en 1903.

Vivant dans le quartier de quartier de Whitechapel, il a témoigné de la pauvreté de ces endroits à l’époque, choqué par les conditions terribles dans lesquelles vivaient vieillards et jeunes hommes, avec parfois pas d’autres choix que de dormir debout.

Quelques images de East End de Londres par Jack London en 1902 :

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Pas très loin de notre époque (la pauvreté, les S.D. F,etc….)

Parce Que je ne suis pas vacciné…


.…..contre le COVID :

Ces vaccins qui ont marqué l’histoire de la médecine:

1796: Les premiers pas de la vaccination

1796 : Les premiers pas de la vaccination

Alors que la variole, aussi appelée “petite vérole”, touche une grande partie de la population depuis des centaines d’années, le médecin anglais Edward Jenner constate que les personnes qui s’occupent de la traite des vaches ne développent pas la maladie. Les laitières sont en fait protégées de la variole par la maladie de la vache, une pathologie bénigne qui fait apparaître des pustules sur leurs mains et leurs avant-bras. Edward Jenner a l’idée d’injecter un peu de pus d’une laitière dans le bras d’un jeune enfant qui ne contractera jamais la variole. Pas encore connue sous ce nom, la vaccination est née.

Photo 1885: Pasteur découvre le vaccin contre la rage

1885 : Pasteur découvre le vaccin contre la rage

C’est l’une des maladies les plus effrayantes du moment : une fois contractée, la rage est à l’époque inexorablement mortelle. Lorsque Louis Pasteur débute ses recherches pour trouver un vaccin contre la rage, il s’est déjà illustré dans la conception de divers vaccins contre le choléra chez les poules, contre le rouget chez le porc ou encore contre la maladie du charbon chez les vaches.

Photo :1885: Pasteur découvre le vaccin contre la rage

1885 : Pasteur découvre le vaccin contre la rage

En 1885, après avoir fait des tests prometteurs sur des lapins, Louis Pasteur injecte pour la première fois son vaccin contre la rage sur à un jeune garçon. Mordu quatorze fois par un chien enragé, Joseph Meister reçoit dix jours de traitement qui l’empêchent effectivement de contracter la rage. C’est la consécration pour Louis Pasteur, dont l’institut aujourd’hui mondialement connu sera créé trois ans plus tard.

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1921: La naissance du BCG

1921 : La naissance du BCG

Au début du XXè siècle, la tuberculose, aussi appelée “peste blanche”, fait 100 000 à 200 000 morts en France. Le vétérinaire Camille Guérin et le médecin Albert Calmette unissent leurs forces pour étudier la maladie. Pendant 13 ans, Camille Guérin se penche sur la bactérie responsable de la maladie chez la vache et développe un bacille tuberculeux inoffensif qui ouvre la voie à l’immunité.

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1921: La naissance du BCG

1921 : La naissance du BCG

Décidés à le rendre accessible dans le monde entier, Guérin et Calmette refusent de déposer un brevet. Le BCG est le seul vaccin au monde qui porte les initiales de ses fondateurs.

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1926 : La naissance des vaccins associés

Les années 1920 marquent la conception de nombreux vaccins tels que ceux contre la diphtérie en 1923 et contre le tétanos et la coqueluche en 1926. En travaillant sur la diphtérie et le tétanos, le vétérinaire français Gaston Ramon découvre que la combinaison de plusieurs vaccins dans une même seringue permet de bonnes réponses immunitaires. C’est la raison pour laquelle les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche et la poliomyélite sont souvent rassemblés dans une même injection aujourd’hui.

Photo :1932: le vaccin contre la fièvre jaune

1932 : le vaccin contre la fièvre jaune

Dès le milieu du 19è siècle, les épidémies de fièvre jaune se multiplient en Afrique et en Amérique du Sud. Transmise par le moustique, la maladie provoque frissons, douleurs musculaires, maux de tête et une jaunisse chez certains patients. Après de longues et difficiles recherches, un premier vaccin voit le jour à l’Institut Pasteur de Dakar en 1932. Une découverte qui permet l’éradication de la maladie en Afrique francophone.

Photo 1932: le vaccin contre la fièvre jaune

1932 : le vaccin contre la fièvre jaune

La fièvre jaune est encore aujourd’hui un enjeu de santé publique dans le monde. Selon l’OMS, 200 000 cas de fièvre jaune sont détectés chaque année ainsi que 30 000 décès causés par la maladie. Comme le rappelle l’Institut Pasteur, la maladie refait actuellement son apparition dans certains pays africains et sud-américains où la couverture vaccinale n’est pas suffisante. Des cas de fièvre jaune ont également été déclarés en Chine pour la première fois.

Photo 1944: un premier vaccin contre la grippe

1944 : un premier vaccin contre la grippe

En 1944, le médecin Thomas Francis Junior est chargé de développer un vaccin contre la grippe pour protéger les soldats américains en pleine Seconde guerre mondiale. Grâce à des travaux réalisés sur un oeuf de poule ???, le premier vaccin et trouvé et la première campagne de vaccination antigrippe est lancée.

Photo 1955: Jonas Salk met au point le premier vaccin contre la poliomyélite

1955 : Jonas Salk met au point le premier vaccin contre la poliomyélite

Très contagieuse, la poliomyélite couramment appelée polio frappe principalement les enfants et peut provoquer une paralysie irréversible chez le malade. En 1955 (année de pa naissance), le médecine américain Jonas Salk met au point un vaccin qui arrive trois ans après une importante épidémie aux épidémies. Aujourd’hui, selon l’ONU, les efforts accrus de vaccination dans le monde rendent possible l’éradication complète de la maladie dans les années à venir.