Depuis le jour ou je suis né
Tu n’as pas cesser de m’aimer
Mais c’est pareil pour moi
Je ne peux pas vivre sans toi.
Saches que mon cœur, c’est l’espace
Et qu’ il y a plein de place
Et tout ça, c’est rien que pour toi
Pour que je te garde tout près de moi.
Tu es le soleil qui illumine ma vie
Tu es la lune qui éclaira mes nuits
Afin qu’il n’y ait pas d’ombre sur mon chemin
Et que je vive bien.
Tu es mon diamant
Tout en argent
Tu es mon trésor
Tout en or
Tu es la pierre la plus précieuse
Celle qui est la plus merveilleuse
Celle qui est la plus bleue
Et qui fait briller mes yeux.
Je pourrais réunir tous les éléments de la Terre
Afin de te reconstruire ton univers
Celui qui te fait rêver
Avec tes enfants à tes côtés.
Je pourrais amasser des pétales de roses
Pour te créer un bouquet grandiose.
Je pourrais inventer tous les dieux
Afin qu’ils exaucent tes vœux.
Maman, saches que je ne pourrais cesser de t’aimer
Tu es ma maman tant adorée.
Ils passent les jours, je suis aussi âgé…
Mais ne passe pas mon amour
Jour: 15 juin 2021
Stop pour cette nuit….
Ce fut une journée bien calme , avec de la chaleur …..Sinon , rien » à signaler » hormis l’anniversaire de mon fils : Manu a atteint ses 41 ans ce 14 juin !
Pfffff ! Le temps passe vite, trop vite ? J’avais 25 ans quand il est né ! J’étais bien à l’époque , seul avec mon bébé ,un travail ,de nombreux ami(e)s …..Une voiture aussi lol …..
Aujourd’hui , à par Manu et peu d’ami( e )s réels et » virtuels » , plus de quoi être vraiment heureux .….d’ailleurs , c’est quoi le bonheur ?

Klik
Baisers et poignées de mains prohibés…
Déjà à l’époque : Crainte du COVID ? lol
Au début du XXe siècle, le journaliste Jean Frollo vitupère contre la nouvelle croisade d’hygiénistes qui, promettant de nombreuses maladies à ceux qui font usage du baiser et de la poignée de main, avancent d’irréfutables expériences scientifiques à l’appui nous ôtant en réalité toute raison de vivre…
Nous n’en aurons jamais fini avec les hygiénistes, écrit notre chroniqueur. Ils nous ont privés de vin à cause de l’artériosclérose, de lait à cause de la tuberculose. Ils ont songé à nous priver d’eau à cause de l’appendicite et de la fièvre typhoïde. Aujourd’hui, ils reprennent une campagne commencée il y a quelques années contre le baiser.
Donc, après nous avoir enlevé presque toutes les joies de la table, ils entendent nous refuser celles du cœur. Il ne faut plus s’embrasser. Il ne faut même plus baiser une jolie main. Il faut vivre seul, dans la peur du microbe et, comme disait le poète, perdre, pour vivre, les raisons de vivre. Je doute du succès de cette nouvelle croisade.

Le baiser ( Chromolithographie de 1909 )
Un journal américain vient d’ouvrir une enquête sur la question. On y relève des perles de ce genre. Deux personnes, en s’embrassant, risquent de se communiquer les germes de nombreuses maladies et partout où l’on s’embrasse trop les risques d’épidémies augmentent. Pourquoi ? Un article déjà ancien de la North American Review, retrouve parmi des curiosités d’autrefois nous l’apprend…..
La conclusion de cet article est formelle : » Si une femme pouvait voir avec un microscope tous les germes mortels qui sont accumulés dans la moustache d’un homme, jamais elle ne se laisserait embrasser par lui. » Une expérience scientifique a démontré ce péril. Voici comment :
» Vous prenez une jeune fille, dont vous stérilisez avec soin les lèvres !, vous lui amenez un monsieur imberbe, qui vient de se promener par la ville partout où l’on peut rencontrer des microbes ; vous invitez le monsieur à embrasser la jeune fille, puis, avec une brosse non moins stérilisée que les lèvres de tout à l’heure, vous recueillez sur ces lèvres ce que j’appelle à regret le résidu du baiser. Le tout est placé dans un tube aseptique et envoyé à l’analyse. »
Vous reprenez la même jeune fille. Nouvelle stérilisation aussi consciencieuse que la précédente, vous lui amenez un second monsieur, mais celui-ci n’est pas imberbe. Il porte une moustache »bien française », crânement retroussée et doucement caressante, un second baiser et une seconde cueillette de microbes. Encore un tube de verre, avec envoi à l’analyse.
Or, savez-vous quel est le résultat de ces deux analyses ?
Le monsieur sans moustache a donné un baiser à peu près inoffensif ; le monsieur à moustache, au contraire, a répandu sur les lèvres de la jeune personne une profusion de microbes, savoir microbes de la tuberculose, de la diphtérie, germes de putréfaction, même un certain duvet spécial provenant de la patte d’une araignée !
Il est donc scientifiquement établi que le baiser est chose dangereuse. A la rigueur, on peut se permettre cette imprudence, quand on n’a ni barbe ni moustache. En tout autre cas, il est criminel d’embrasser une femme, car on ne sait pas quelles maladies on est exposé à lui communiquer.
D’ailleurs, le baiser n’est pas seul proscrit. Je me souviens d’un congrès, vieux de cinq ans environ, où il fut savamment expliqué que la poignée de main est presque aussi dangereuse. Car, après la bouche, la main est, paraît-il, la partie du corps la plus riche en microbes. Il y a, dit-on, 25 000 microbes sur le bras et 80 000 dans la main. Cela tient aux sillons, aux » lignes » où se lit l’avenir et où s’embusque aussi le germe nocif.
Les poignées de main sont particulièrement redoutables de la part de certaines personnes. Les plus malsaines sont celles des changeurs, qui manient toute la journée des pièces de monnaie qui ont beaucoup circulé. Puis viennent, par ordre de nocuité, les médecins, les coiffeurs, les bouchers et les charcutiers.
Pour éviter ce risque, que faire ? Ne plus se serrer la main évidemment. Mais ne plus embrasser les femmes et ne plus serrer la main aux hommes, c’est, en vérité, trop peu, surtout pour ceux d’entre les Français à qui ces deux gestes sont également habituels. Faudra-t-il adopter le salut oriental, porter la main sur le cœur, sur les lèvres et sur le front ? Ou encore le salut militaire ?
Edouard VII
avait, d’ordinaire, la main droite seule gantée. Comme il était fort élégant et lançait les modes, on adopta cet usage, comme on avait adopté celui du pantalon relevé. Le roi en souriait et expliquait de la meilleure grâce du monde les raisons qui l’avaient décidé à garder la main droite seule gantée. C’est, disait-il, que c’est la plus exposée au contact des hommes et des choses, celle par conséquent qui demande à être le plus protégée.
Si l’on songe à tout cela, mieux vaut mourir. C’est l’avis même qu’exprimait un Américain, président d’une ligue contre la tuberculose, en disant : » Embrasser présente peut-être quelque danger. Mais celui qui n’ose courir quelques risques pour déposer un baiser sur de jolies lèvres n’est pas digne du nom d’homme. »Voilà qui est parler, et cet hygiéniste fait honneur aux femmes de son entourage.
Ne laissons pas, en effet, l’hygiène devenir persécutrice et défendons le droit au baiser. Il y a des pays où on le proscrit comme immoral. Il y en a d’autres ( à New-York par exemple ) où des règlements de police en limitent la durée.!! On y lit, en effet : » Tout baiser d’une durée plus longue qu’une minute est immoral et, en conséquence, les agents ont le devoir et le droit de l’interrompre. »
Ne troublons pas les adeptes du baiser par la crainte du microbe s’ajoutant à celle du policeman. Car, à toujours tout redouter, on finit par ne se plaire à rien et si l’hygiène rend la vie impossible, mieux vaut sacrifier la première que la seconde.!!!!
» les gens de peu »
» Les gens de peu » Paroles:
Je chante les petites gens Au quotidien pas très grisant Ceux dont on ne parle jamais Ou que l'on préfère oublier Lorsqu'ils passent sur le trottoir On les regarde sans les voir Ils sont discrets et silencieux Ceux qu'on appelle « les gens de peu » Et dans leur petit univers La vie semble bien ordinaire Ils ont ces mots du quotidien Faire le repas sortir le chien Ils n'intéressent pas les médias Un peu comme s'ils n'existaient pas On ne les prend pas au sérieux Ceux qu'on appelle « les gens de peu » Ils n'ont guère pour s'évader Que les séries à la télé Les voyages , et le cinéma Ils n'ont pas les moyens pour ça Et les courses s'il faut les faire Ils se contentent du nécessaire Le superflu, c'est pas pour eux Ceux qu'on appelle « les gens de peu » Ouvriers, chômeurs , retraités Peuplant banlieues ou vieux quartiers Ils subissent l'indifférence Le mépris des « hautes instances » Mais ils ne se plaignent jamais Et font comme si de rien n'était Ils gardent leurs blessures pour eux Ceux qu'on appelle « les gens de peu » Lorsque l'on fait un pas vers eux On peut lire au fond de leurs yeux Les mots qu'on n'ose prononcer Amour et solidarité Et dans ce monde sans lumière Ces gens si simples nous éclairent Ils sont notre coin de ciel bleu Ceux qu'on appelle « les gens de peu » Je chante les petites gens Au quotidien pas très grisant Mais qui parlent avec le cœur Et sont ce qu'on a de meilleur Je voulais faire cette chanson Écrire ces mots sans ambition Pour que l'on pense un peu à eux Ceux qu'on appelle « les gens de peu » Parce que nous sommes si proche d'eux Ceux qu'on appelle « les gens de peu »