………une culotte » anti – viol » !! ?????

Bien sur , je sais qu’en voyant ce billet , les rares lecteurs vont rire , mais personnellement , je trouve que cette jeune femme , quand on voit la situation dans son pays , a eu une excellent idée et j’espère qu’elle aura du succès .
La jeune Seena Kumari a fait une invention hors du commun pour lutter contrer les violences sexuelles dans son pays : la culotte anti-viol.
En Inde, le nombre d’agressions sexuelles atteint des records. Un fléau contre lequel il est malheureusement bien difficile de lutter. Du haut de ses 19 ans, la jeune Seena Kumari a tenté de lutter contre ce crime à sa manière. Sa solution : elle a inventé une culotte anti-viol.
Une invention inédite
Pour l’année 2015, selon le Bureau national du crime, plus de 34.000 viols ont été commis sur le territoire indien. Pour ce qui est du harcèlement de rue, presque 80% des femmes indiennes déclarent , affirment en avoir déjà été victimes. Une situation désespérante pour elles, puisque la plupart de ces agressions ne sont jamais condamnées par la justice.
Pour contrer ce fléau, Seena Kumari, une jeune femme de seulement 19 ans, a décidé d’inventer un vêtement sophistiqué pour venir en aide aux femmes : la culotte anti-viol. Comment ça marche ? Il s’agit d’un sous-vêtement muni d’une ceinture et d’un boîtier, empêchant toute personne d’enlever la culotte si elle ne connaît pas le code. En cas de tentative pour l’enlever, un GPS envoie la position de la victime, et une caméra prend des photos de l’agresseur. De plus, une alerte est envoyée aux proches de la femme pour prévenir qu’on la menace.

Un projet mature et ambitieux
La jeune Seena explique son projet : « Les femmes n’auront pas besoin de porter le sous-vêtement constamment. Elles peuvent le porter lorsqu’elles voyagent seules ou si elles se trouvent dans un endroit dangereux ». Elle a espoir que son invention aide les femmes à se sentir moins en danger.
Ainsi, elle a envoyé son prototype à la » National Innovation Foundation », afin de la faire breveter et pouvoir étendre sa « culotte anti-viol » le plus rapidement possible. Le but : permettre au plus grand nombre de femmes possible de se protéger à travers le monde entier