Confiance aux infos officielles ???


     En instrumentalisant une létalité que nous savons désormais erronée, en abreuvant la population d’une pléthore de données  » scientifiques  » censées justifier des mesures coercitives, en favorisant l’éclosion de polémiques ( pénurie de masques, respect des protocoles habituels d’élaboration de traitements… ) visant à faire diversion, les instances politiques décisionnaires se sont rendues coupables de crime… à tout le moins contre l’intelligence des plus lucides des Français

     Dans un  entretien vidéo de plus d’une heure réalisé le 25 avril dernier, Jean-Dominique Michel, anthropologue médical de nationalité suisse ayant exercé 15 ans dans le domaine de la santé publique, décrypte sans concession quelques-uns des tenants et aboutissants des dispositions adoptées par plusieurs pays occidentaux regardant la  » crise sanitaire  » découlant du Coronavirus : une mise en perspective intellectuellement salutaire, pointant les manquements et mensonges confinant à une véritable et non moins funeste imposture politique.

   Pour mémoire et afin de rappeler le contexte, d’une létalité (proportion de décès par rapport au nombre de personnes infectées ) de 3,4 % scandée par l’OMS le 4 mars dernier  et d’une étude de l’Imperial Collège à Londres estimant le 12 mars à 500 000 le nombre de victimes potentielles sur le sol français, ces deux estimations ayant constitué le socle des décisions gouvernementales relatives aux restrictions de liberté de circulation et au sabordage économique de notre pays ,un des épidémiologistes de l’Institut Pasteur rapportant le 15 mars dernier que  » les observations de terrain coïncident avec les prédictions du modèle et ont tout autant concouru au processus de décision  » , nous sommes désormais passés, selon les résultats de travaux menés par l’Institut Pasteur  rendus publics le 21 avril, à 0,5 %, une étude émanant de l’Université de Californie du Sud et relayée par Associated Press  ce même 21 avril évaluant quant à elle cette même létalité à environ 0,35 %.

de terrain coïncident avec les prédictions du modèle et ont tout autant concouru au processus de décision  »nous sommes désormais passés, selon les résultats de travaux menés par l’Institut Pasteur  rendus publics le 21 avril, à 0,5 %, une étude émanant de l’Université de Californie du Sud et relayée par Associated Press  ce même 21 avril évaluant quant à elle cette même létalité à environ 0,35 %.

À l’heure où, sans nul doute à seule fin de maintenir le peuple dans l’état de sidération nécessaire à l’acceptation de mesures tant ubuesques que drastiques, les très médiatiques  » crieurs des morts  » du XXIe siècle  à la solde des instances gouvernementales se font un devoir d’égrener quotidiennement, et sans rougir de l’indécente comparaison historique, le nombre de victimes d’une crise sanitaire supposément  » sans précédent  » , alors que la  » grippe espagnole  », sévissant au début du XXe siècle, fit 20 à 50 millions de morts dans le monde ( soit 2,5 à 5 % de la population ) , le choléra du milieu du XIXe siècle ayant quant à lui entraîné plus d’un million de décès pour la seule Europe, et la peste noire au XIVe siècle étant de son côté responsable de la mort de 6 millions de Français, soit le tiers de la population que comptait alors notre pays.

    Sachant qu’à ce jour, on attribue officiellement au Coronavirus le décès d’un peu plus de 200 000 personnes dans le monde, soit 0,003 % de la population, que devons-nous en conclure ? Tout rapprochement de la crise sanitaire actuelle avec les fléaux antérieurs évoqués relève-t-il d’une surprenante méconnaissance historique ou d’une coupable désinformation ?!!!!

 Pressentant que le chiffon rouge de la  » pandémie  », agité par l’OMS, aurait de moins en moins le vent en poupe et que le paramètre létalité aurait bientôt vécu son heure de triste gloire, les autorités gouvernementales françaises ont d’ores et déjà changé leur cheval de bataille, attirant désormais l’attention des confinés de Français sur un autre chiffre plus à même d’inoculer de nouveau l’effroi, justifiant notamment la poursuite mortifère de la mise sous perfusion économique de certains secteurs d’activité, les entraves visant spécifiquement la religion catholique ou encore l’extension du  » masquage  » de la population , moyen, parmi tant d’autres, de jauger du degré de domestication d’un peuple.

   Car, toujours selon les résultats de l’étude de l’Institut Pasteur publiés le 21 avril dernier, à peine 6 % des Français  auraient été contaminés par le virus ( chiffre qui ne devrait nous inciter à nous interroger, le virus annoncé comme hautement contagieux ayant librement circulé depuis au moins janvier en France, soit durant deux mois et demi avant un confinement au demeurant poreux , laissant ainsi planer le redoutable spectre d’une  » deuxième vague  », plus meurtrière encore. Pourtant, selon des travaux réalisés par l’Université d’Oxford , environ 50 % de la population britannique avait déjà contracté le virus fin mars… Si la Grande-Bretagne n’est certes pas la France et si nous pensions qu’un simple tunnel les séparait, faudrait-il désormais compter avec un gouffre mathématique et sanitaire pour le moins… singulier ?

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Pour finir…


Parce que  » çà  » m’a plu :

Les paroles :

En ces temps confinés on s’est posés un peu
Loin des courses effrénées on a ouvert les yeux
Sur cette époque troublée, ça fait du bien parfois
Se remettre à penser même si c’est pas par choix
Alors entre les cris d’enfants et le travail scolaire

Entre les masque et les gants, entre peur et colère
Voyant les dirigeants flipper dans leur confuse gestion
En ces temps confinés, on se pose des questions

Et maintenant…

Et si ce virus avait beaucoup d’autres vertus
Que celle de s’attaquer à nos poumons vulnérables
S’il essayait aussi de nous rendre la vue
Sur nos modes de vie devenus préjudiciables
Si on doit sauver nos vies en restant bien chez soi
On laisse enfin la terre récupérer ce qu’on lui a pris
La nature fait sa loi en reprenant ses droits
Se vengeant de notre arrogance et de notre mépris
Et est-ce un hasard si ce virus immonde
N’attaque pas les plus jeunes, n’atteint pas les enfants
Il s’en prend aux adultes responsables de ce monde

Il condamne nos dérives et épargne les innocents
Ce monde des adultes est devenu si fébrile
L’ordre établi a explosé en éclats
Les terriens se rappellent qu’ils sont humains et fragiles
Et se sentent peut-être l’heure de remettre tout à plat
Et si ce virus avait beaucoup d’autres pouvoirs
Que celui de s’attaquer à notre respiration
S’il essayait aussi de nous rendre la mémoire
Sur les valeurs oubliées derrière nos ambitions
On se découvre soudain semblables, solidaire
Tous dans le même bateau pour affronter le virus
C’était un peu moins le cas pour combattre la misère
On était moins unis pour accueillir l’aquarius
Et si ce virus avait le don énorme de rappeler ce qui nous est vraiment essentiel

Les voyages, les sorties, l’argent ne sont plus la norme
Et de nos fenêtres on réapprend à regarder le ciel
On a du temps pour la famille, on ralenti le travail
Et même avec l’extérieur on renforce les liens
On réinvente nos rituels, pleins d’idées, de trouvailles
Et chaque jour on prend des nouvelles de nos anciens
Et si ce virus nous montrait qui sont les vrais héros
Ceux qui trimaient déjà dans nos pensées lointaines
Ce n’est que maintenant qu’ils font la une des journaux
Pendant que le CAC 40 est en quarantaine

Bien avant le Corona l’hôpital suffoquait
Il toussait la misère et la saturation
Nos dirigeants découvrent qu’il y a lieu d’être inquiets
Maintenant qu’il y a la queue en réanimation
On reconnaît tout à coup ceux qui nous aident à vivre
Quand l’état asphyxie tous nos services publics
Ceux qui nettoient les rues, qui transportent et qui livrent
On redécouvre les transparents de la république

Et maintenant…

Alors quand ce virus partira comme il est venu
Que restera-t-il de tous ses effets secondaires
Qu’est-ce qu’on aura gagné avec tout ce qu’on a perdu

Est-ce que nos morts auront eu un destin salutaire

Et maintenant…
Et maintenant…
Et maintenant…
Et maintenant…

En période de confinement, la  » première nécessité  » varie…


….d’un pays à l’autre :

   Face à la propagation du coronavirus à travers le monde, de nombreux gouvernements ont mis en place des restrictions drastiques… avec quelques exceptions culturelles…..

Samedi 14 mars le premier ministre français, Edouard Philippe Résultat d’images pour Édouard Philippe , annonçait solennellement  » la fermeture à compter de minuit de tous les lieux recevant du public non indispensable à la vie du pays. Il s’agit notamment des restaurants, cafés, cinémas, discothèques (…). Il s’agit également de tous les commerces à l’exception des commerces essentiels  ».

Mais que veut dire, au juste,  » essentiels  » ? On peut constater que, si plusieurs Etats adoptent des stratégies de lutte contre l’épidémie globalement similaires, cette notion   » souffre  » de quelques exceptions culturelles :

 

En France : Les cavistes…….et libraires …

   Interrogé dans la matinée du  19 mars , le ministre de l’économie et des finances,    Bruno Le Maire Résultat d’images pour Bruno Le Maire a plaidé pour que les librairies, durement frappées par la concurrence des géants de la vente en ligne, relèvent du commerce de première nécessité.  » C’est ma conviction  », aurait insisté le locataire de Bercy, se disant  » prêt à rouvrir la question  » de leur statut.

    Le sort de ce secteur reste encore en suspens , mais une autre question a été tranchée dès le début de la semaine : la situation des cavistes. Ainsi, le décret publié dans la foulée des annonces du premier ministre faisait, de manière assez floue, mention des  » commerces alimentaires, pharmacies, banques, stations-service ou de distribution de la presse  », pouvant donner lieu à diverses interprétationsUn second arrêté, détaillant les structures concernées, confirme l’autorisation d’ouverture pour les  » commerces de détail de boissons en magasin spécialisé  », comme les cavistes donc.Résultat d’images pour illustrations homme avec un béret

  Certains ont cependant   choisi de baisser leurs rideaux, notamment plusieurs grands réseaux, comme Nicolas, La Vignery ou  »Le Repaire de Bacchus  », qui ont annoncé cesser leur activité pour une durée indéterminée.

En Belgique : Les salons de coiffure….

En Belgique, les mesures drastiques de fermeture des commerces prises par le gouvernement ne concernent pas les salons de coiffure, qui peuvent rester ouverts, à condition de n’accueillir qu’un client à la fois et sur rendez-vous.
En Belgique, les mesures drastiques de fermeture des commerces prises par le gouvernement ne concernent pas les salons de coiffure, qui peuvent rester ouverts, à condition de n’accueillir qu’un client à la fois et sur rendez-vous. 

   Dans  » le plat pays  », les lieux accueillant du public et les commerces non essentiels ont été fermés à compter du week-end du 14 et du 15 mars… mais les Belges peuvent toujours aller  » se faire une beauté  ». Le gouvernement a, en effet, assoupli ses directives et autorisé les salons de coiffure à rester ouverts la semaine, uniquement sur rendez-vous et en accueillant un seul client à la fois.

   Une décision qui ne fait, cependant, pas l’unanimité, notamment auprès des représentants du secteur  »  Coiffure.org  » ?? , qui parle d’une  » décision très contradictoire  » de la part des autorités fédérales : impossible d’y garantir la distance sanitaire d’un mètre entre les personnes.

En Autriche : Les parcs et aires de jeux…

Une patrouille de policiers dans le Stadtpark dont l’ouverture au public a été maintenue, à Vienne, le 20 mars.

   Dans le pays, où un confinement sévère a été décidé très tôt, il y a eu une bataille politique autour des parcs, notamment pour la capitale, Vienne, où ils sont une véritable fierté locale. Les écologistes, qui gouvernent ici avec les conservateurs, ont obtenu qu’  » aller se promener  » fasse partie des exceptions de sortie autorisées.

   Après quelques jours de confusion pendant lesquels des mairies avaient décidé de fermer les espaces verts, le vice-chancelier écologiste Werner Kogler a annoncé fièrement sur Twitter, jeudi 19 mars :  » les parcs et les aires de jeux ouvrent à nouveau leurs portes !  » 

  » Les gens ont besoin de quelque chose pour respirer  » a justifié le ministre de la santé, Rudolf Anschober 2020 Rudolf Anschober Ministerrat am 8.1.2020 (49351370946) (cropped).jpg, également écologiste, en précisant que seules les sorties solitaires ou en famille étaient autorisées, en maintenant un mètre de distance avec les autres promeneurs.

Aux Pays-Bas : Les coffee-shops…

Dans un « coffee-shop », à La Haye (Pays-Bas), le 15 mars.

    Aux Pays-Bas, c’est un autre type de commerces qui a rouvert partiellement ses portes, mardi 17 mars : les fameux  » coffee-shops  » . Le gouvernement néerlandais avait décidé de la fermeture de ces boutiques où l’on peut acheter et consommer du cannabis, le dimanche 15 mars, ainsi que de l’ensemble des écoles, bars, restaurants et maisons closes du pays jusqu’au 6 avril.

Mais dans le but  d’éviter une éventuelle résurgence du trafic de drogues, La Haye a finalement » rétro pédalé  » et choisi d’autoriser les commandes, mais uniquement à emporter. Les consommations sur place, elles, restent prohibées.

A San Francisco : Les dispensaires de cannabis !

Dans un dispensaire de cannabis à San Francisco, le 18 mars.

    De l’autre côté de l’Atlantique, en Californie, dans l’ouest des Etats-Unis, la municipalité de San Francisco a elle aussi été contrainte de faire machine arrière sur certaines des mesures prises, lundi 16 mars, dans le cadre du confinement. Dès le lendemain, la maire, London Breed, faisait ainsi savoir que les dispensaires de marijuana garderaient finalement leurs portes ouvertes pour les clients.

   »Le cannabis est un médicament essentiel pour de nombreux habitants, a fait valoir le département de la santé publique de San Francisco dans un tweet. Les dispensaires peuvent continuer à fonctionner comme des entreprises essentielles pendant cette période, tout en pratiquant la distanciation sociale et d’autres recommandations de santé publique.  »

 

En Pologne : La messe !

   Si de nombreux pays, dont la France, ont décidé de réduire les offices religieux dans le cadre de la lutte contre l’épidémie, avec le soutien des représentants des différents cultes, la Pologne fait jusque-là exception.

   L’Eglise de ce pays très catholique a refusé de se plier aux directives du gouvernement lors de l’annonce, le 10 mars, de la fermeture des établissements accueillant du public et la décision de limiter les rassemblements publics. A la différence de la Conférence épiscopale italienne qui avait  » accepté  » la décision de Rome de suspendre l’organisation des  » cérémonies civiles et religieuses  », son homologue polonaise avait dans un premier temps appelé à augmenter le nombre de services pour pouvoir diminuer le nombre de fidèles rassemblés à chacun d’eux et ainsi se conformer aux recommandations sanitaires.

    Son président, l’archevêque Stanislaw Gadecki Image illustrative de l’article Stanisław Gądecki  , avait alors souligné:  » de la même façon que les hôpitaux soignent les maladies du corps, les églises servent, entre autres, à soigner les maladies de l’âme !! C’est pourquoi il est inimaginable que nous ne puissions pas prier dans nos églises.  »

  Mais, sous la pression du gouvernement et de l’opinion publique, les évêques ont fini par assouplir leur position en  » recommandant  » aux autorités diocésaines l’attribution de « dispenses » de messes dominicales aux personnes âgées ou malades, qui éviteront ainsi d’être en situation de péché. Ces fidèles sont invités à y participer via les médias audiovisuels et sur Internet.!