Stop….


C’est bon là : J’arrête d’écrire sur mes blogs étant donné que personne ne lit ou commente ; inutile d’écrire  ici ………….

_____________________________________________________

Idem pour les blogs !………théoriquement

    N’ouvrez pas un grand salon à vos amis, mais ayez une maison bien petite, bien simple ; et peu accourront, sans doute ; mais sur ceux-là, du moins, vous pourrez compter dans la bonne comme dans la mauvaise fortune. Car si l’utilité ne doit pas être la base de l’amitié, elle doit en découler clandestinement, sans se faire voir. Or, c’est dans les jours de détresse que l’amitié luit alors, comme un rayon vivifiant et réparateur.
Citation de Louis-Auguste Martin ; Esprit moral du XIXe siècle (1855)

La comtesse de Castiglione ?


castiglione.jpg

Pourquoi cette femme fut elle célèbre ?

  Née sous le nom de Virginia Oldoïni, la comtesse de Castiglione est une femme au parcours pour le moins singulier. En plus d’avoir été l’amante de l’empereur des Français Napoléon III, l’aristocrate piémontaise a, au cours de sa vie, développé une grande passion pour la photographie.
   Cette obsession narcissique qui l’a amenée à être la femme la plus photographiée de son époque  ( on compte plus de 400 portraits ) lui a également valu le qualificatif  de  »la plus belle femme de son siècle ».
Une jeune courtisane
  Fille unique du marquis Filippo Oldoïni Rapallini, Virginia Oldoïni naît à Florence (1837) et reçoit une éducation digne de l’aristocratie piémontaise, en apprenant très jeune le français, l’anglais et des disciplines nobles comme la danse et la musique.

   En plus d’être bien éduquée, la jeune italienne s’illustre particulièrement par sa beauté, au point d’être surnommée  »La Perla d’Italia » (La Perle d’Italie) par ses admirateurs.
   C’est ainsi que, très courtisée, la jeune Virginia (alors âgée de 17 ans) épouse le comte Francesco Verasis de Castiglione (dont c’est le deuxième mariage), héritant du même coup du titre de comtesse.
   Après avoir mis au monde un fils (1855), Virginia se lasse néanmoins de sa vie de jeune maman et se met à mener une vie de séductrice, en prenant pour amants des jeunes officiers locaux et ,  finalement , le roi de Sardaigne Victor-Emmanuel II, lui-même.
  Constatant le charme exercé par sa cousine sur la gent masculine, Camillo CavourCavour  ( un homme d’État piémontais, important partisan et acteur de l’unité italienne. Il est considéré, avec Giuseppe Garibaldi, Victor-Emmanuel II et Giuseppe Mazzini, comme l’un des « pères de la patrie » italienne ). propose à la comtesse de travailler pour les intérêts de l’Italie en allant séduire l’empereur Napoléon III, afin d’exercer une influence sur sa politique.
Emballée par la possibilité de jouer un rôle important dans l’histoire, Virginia accepte et arrive à Paris ,en décembre 1855 , accompagnée de son mari et de son fils.
Si Narcisse était une femme !
   Présentée au couple impérial en 1856, la comtesse ne tarde pas à attirer Napoléon III dans ses filets.
  Dés lors maîtresse régulière de l’empereur, elle s’illustre, par ailleurs, par des scandales qui font parler d’elle dans toute l’Europe :
   Non-respect du protocole, retards répétés aux rendez-vous, accoutrements très osés… la  »Perle d’Italie » fait tout pour se faire remarquer, pour le meilleur comme pour le pire.
  De même, mûe par un narcissisme dévorant, la jeune Virginia noue fort naturellement une relation passionnelle avec la photographie (un art qui n’est alors qu’à ses balbutiements).
  Voulant à tout prix immortaliser sa personne, elle collabore avec l’atelier parisien des frères Mayer et de Pierre-Louis Pierson, durant près de 40 années.
Habillée de ses plus belles robes et de ses plus fastueuses parures, la comtesse est, au total, photographiée sur plus de 450 portraits dont les poses et les prises de vue marquent durablement l’histoire de la photographie.
   Toutefois, elle que l’on perçoit désormais comme  »la plus belle femme de son siècle » finit par lasser son entourage.
   Ainsi, après avoir été écartée par Napoléon III (en 1858), l’influence de Virginia faiblit et ne se matérialise qu’à des occasions très ponctuelles (comme lors de la guerre franco-prussienne de 1870).
   Peu à peu vieille et délaissée, elle meurt finalement dans l’anonymat le plus total (1899), à l’aube d’un nouveau siècle qui semble bien loin de ses fantaisies.

 » les lendemains  »


Lorsqu’on subit l’échec on est dans le malheur ,

La plus grande détresse est la peine du cœur .

Il faut garder l’espoir , sans perdre confiance .

Demain apportera sa manne d’espérance .

L’avenir montrera le prix du dévouement …

Qui fût toujours donné pour l’environnement .

Servir, mais sans compter , pour le bonheur des autres ,

Voulant pour eux , être le meilleur des  apôtres .

Gardez la tête haute en étant malheureux

Et savoir préserver son honneur  » vertueux  » ,

C’est le sort qui revient à l’homme politique

Quand la force du peuple exige qu’il abdique .

Ainsi se fait l’histoire , impitoyablement ,

Avec ses jours sereins , ses bouleversements .

Mais afin d’honorer sa valeur disparue ,

On inscrira son nom , au pignon d’une rue .

 

 

A crédit…..


Depuis quelques temps, je vis  » à crédit  » …..

   Bien entendu çà signifie que je n’ai plus de moyens financiers suffisants pour vivre / survivre …..Alors, je  » rogne  » sur mes dépenses , écris ici et là pour annuler des  » trucs  » ( résilier des assurances , abonnements à des magazines etc…)  , mais çà n’y change rien , placards et réfrigérateur sont vides  , même le pain manque ! Les factures impayées s’accumulent  etc.….Alors , quand j’ose , surmonte ma honte , je passe à mon ancien magasin  dont le propriétaire me laisse acheter quelques  » trucs  » sans payer  , il note sur son cahier …..Emmanuel , mon fils , passera  bientôt m’a t il dit pour m’emmener au super -marché où il m’achètera de quoi survivre quelques temps ……….

Cette situation me rappelle mon enfance , quand ma mère nous envoyait au magasin  » SPAR  »magasin 1 avec une liste de course  et là nous devions dire à la  » dame  »  :  » Maman a demandé que vous  » marquiez  » , et elle notait sur un cahier , cahier où figuraient d’autres clients dans la même situations que nous …..C’était différent à l’époque , les commerçants du village nous connaissaient , avaient confiance et nous , les enfants bahhh nous trouvions çà  » normal  » …..

Cela aura au moins un point disons positif : Je ne peux plus acheter de cigarettes , bien sur ce n’est pas facile , mais je m’habitue ,  » fume  » la fameuse  » vapoteuse  » quand je suis a bout,  » en manque « …………….

  Je me demande s’il arrive qu’on se donne la mort dans ce cas ? 

Klik ( Direction la télé , ne pas penser , puis dormir longtemps, trèèèèèèèès longtemps )