Hier ,à la télé ……


   

( Pas  » obligé  » de lire , ni commenter )

 

    La télé est toujours  » allumée  » , sans que je la regarde ( un  » fond sonore  » ? ) …..Mais ce jeudi soir , un film m’a interpellé , touché ….

   Il sagit de  » l’emprise  » , histoire d’une femme / mère battue par son mari ……Le film m’a  » touché  » car il a réveillé des souvenirs de mon enfance souvenirs horribles …

 

  Si un lecteur éprouve  l’envie de lire mon billet , je lui conseille de voir la  » prestation  » de M.Lavoine dans le rôle de l’avocat général lors du procès à la fin du film !

P.S: Il faut l’avoir vécu pour comprendre……..

 

 

Cocorico !!!


Coqs, canards, cloches… Qui en veut aux bruits de la campagne ?

    Victoire pour Maurice.!

    Ce coq vivant à Saint-Pierre-d’Oléron (Charente-Maritime) va pouvoir continuer de chanter en paix. Ainsi en a décidé, ce jeudi 5 septembre, le tribunal correctionnel de Rochefort, saisi par les voisins Jean-Louis et Joëlle Biron, des Limousins qui ont acheté sur l’île leur résidence secondaire. Ils ne supportaient plus d’entendre l’animal chanter dès le matin et avaient donc dépêché un huissier pour constater que Maurice pousse la chansonnette très tôt chaque jour. Ils avaient ensuite attaqué les propriétaires, Corinne et Jacky Fesseau.

 

 

    C’est presque devenu une habitude : on ne compte plus le nombre de procès intentés à des cloches, coqs, canards et autres crapauds par des voisins qui ne supportent plus de les entendre. Le cas de Maurice, devenu symbole malgré lui de cette opposition, a même franchi nos frontières, jusqu’aux États-Unis, où il a eu droit aux honneurs du New York Times! Ces conflits de voisinage, hautement médiatisés et en forte hausse, témoigneraient, selon certains, d’une véritable scission du pays, écartelé entre la France des villes et la France des champs.

Traditions contre silence
   Dans ce face-à-face, ce sont deux visions qui s’affrontent. Côté rural, on entend ( c’est le cas de le dire )  défendre ces sons qui font partie du patrimoine historique.      Ils seraient mis en danger par des  » néoruraux  » récemment arrivés des villes qui ne veulent plus entendre un coq chanter ou des cloches sonner. Côté  » néo-rural  » , d’anciens urbains venus échapper au brouhaha citadin défendent coûte que coûte le droit au silence chez soi.
   Au Biot (Haute-Savoie), ce sont, par exemple, les cloches des vaches qui dérangeaient des riverains, essentiellement propriétaires de résidences secondaires. Après une pétition – plus de 120 000 signatures ! – et une manifestation pour défendre les bovins, le maire Henri-Victor Tournier a finalement coupé la poire en deux en gardant les cloches, mais en déplaçant l’abreuvoir pour éloigner les bêtes.

  De nombreux cas similaires existent , sont allé jusqu’en justice pas toujours au ‘ profit  »des  » faiseurs de bruits campagnards  » 

  Le coq Maurice a eu de la chance. Car si la majorité des cas sont réglés à l’amiable, le tribunal, quand il est saisi, n’est pas toujours clément avec les animaux et les églises. Dans le Bas-Rhin, le tribunal administratif a tranché : les cloches d’Asswiller, attaquées par deux couples, devront sonner moins fort entre 22 heures et 7 heures, ou se taire.!

village clocher

Bonnus :