Un grand artiste , grand homme est mort ……….


Le chanteur-compositeur Leny Escudero est décédé ce vendredi à l'âge de 82 ans. 
Le chanteur-compositeur Leny Escudero est décédé ce vendredi à l’âge de 82 ans.  Capture d’écran You tube

Le chanteur et compositeur engagé Leny Escudero est décédé ce vendredi à 82 ans. Leny Escudero, de son vrai nom Joaquim Escudero, devenu célèbre dans les années 60 et 70 avec des titres comme «Pour une amourette» et «Ballade à Sylvie», est mort «des suites d’une insuffisance respiratoire aiguë», a précisé son épouse ce lundi.

 Chanteur engagé d’origine gitane par son père, l’interprète né en Espagne, fait un tour du monde dans les années 70. Il revient en France et écrit notamment sur l’actualité qui le touche : la guerre d’Espagne, les dictatures, les inégalités. Son album Escudero 71 reçoit ainsi en 1971 le Grand prix de l’Académie Charles-Cros (une association française créée en 1947 par un groupe de critiques et de spécialistes du disque). 

Fort d’une carrière de 20 albums, Leny Escudero est aussi apparu dans quelques films et téléfilms, dont Louis la Brocante en 2002.

Les paroles :
J’ai vécu
Au siècle des réfugiés
Une musette au pied de mon lit
Avec la peur au ventre
Des humiliés
Des sans logis
Qui tremblent
Les oubliés
Aux mal-partis
Ressemblent

Ils sont toujours les bras ballants
D’un pied sur l’autre mal à l’aise
Le cul posé entre deux chaises
Tout étonné d’être vivant
Ils sont souvent les en-dehors
Ceux qui n’écriront pas l’histoire
Et devant eux c’est la nuit noire
Et derrière eux marche la mort

Ils sont toujours les emmerdants
Les empêcheurs les trouble-fêtes
Qui n’ont pas su baisser la tête
Qui sont venus à contre temps
Dans tel pays c’est mal venu
Venir au monde t’emprisonne
Et chaque jour on te pardonne
Puis on ne te pardonne plus

J’ai vécu
Au siècle des réfugiés
Une musette au pied de mon lit
Avec la peur au ventre
Des humiliés
Des sans logis
Qui tremblent
Les oubliés
Aux mal-partis
Ressemblent

On peut souvent les voir aussi
Sur les photos des magazines
Essayant de faire bonne mine*
Emmenez-moi au loin d’ici
Ils ont des trous à chaque main
C’est ce qui reste du naufrage
Ils n’ont pas l’air d’être en voyage
Les voyageurs du dernier train

Ils sont toujours les séparés
Le cœur perdu dans la pagaille
Les fous d’amour en retrouvailles
Qui les amènent sur les quais
Et puis parfois le fol espoir
Si elle a pu si elle arrive
De train en train à la dérive
Et puis vieillir sans la revoir

J’ai vécu
Au siècle des réfugiés
Une musette au pied de mon lit
Avec la peur au ventre..

Seulement …


  Un passage rapide seulement pour montrer que je suis toujours en vie lol  au cas où cela intéresserait un(e) de mes contacts ….

J’ai tenté de me connecter plusieurs fois ce soir déjà , mais c’était le bin’s ! Impossible de me connecter , finalement après moult manipulations , j’ai réussi ….

De toute façon , je n’avais rien à écrire : Ce fut une journée brève  lol ( me suis éveillé en catastrophe vers 15h30 , 16h 00 !!!! ) et encore , c’est Fripon qui a insisté pour que je finisse par  m’extirper des bras de Morphée ! Sinon , le temps  = brrrrr : Pluie froide  et vent .

Bien entendu , le coiffeur est remis à une date ultérieure …….

Voilà : Sur ces mots sans intérêt , je retourne devant la télé puis au lit ….

A demain….