© Le Parisien La communauté des Frères de Saint-Jean se base sur la théorie de « l’amour d’amitié», un texte de son fondateur qui entretient une ambiguïté entre amour spirituel et charnel. Un religieux de la communauté de Saint-Jean est jugé devant les assises de Saône-et-Loire pour des agressions sexuelles sur des fillettes et des viols sur une mineure et une majeure. A l’ouverture du procès, jeudi matin, le frère Jean-Dominique Lefèvre, 66 ans, a reconnu «toutes» les agressions sexuelles qui lui sont reprochées entre 1991 et 1999 sur cinq fillettes, en France, et en Roumanie. Il a revanche contesté avoir violé l’une d’elle, Roumaine, ainsi que le viol en 2007 d’une jeune femme de 33 ans.A la barre, le religieux, qui s’exprime difficilement, a raconté comment il avait imposé des caresses à des fillettes, âgées de 8 ans pour la plupart, admettant des «gestes déplacés» liés à des «pulsions». Quand les attouchements étaient dénoncés, il demandait pardon à la famille et était déplacé par sa congrégation.Entre 1992 et 1996, le frère Jean-Dominique Lefèvre est envoyé en mission en Roumanie, où il enseigne le catéchisme et visite des enfants malades à l’hôpital. Il fait alors la connaissance d’une jeune fille de 12 ans, qui l’accuse de viols et dit avoir été témoin d’agressions sexuelles sur des fillettes hospitalisées. «Je ne l’ai jamais violée», a-t-il assuré, avouant des attouchements sexuels à «cinq» reprises sur la jeune fille et des caresses sur trois autres enfants dans un hôpital de Bucarest.
Hormis les cinq cas pour lesquels il est jugé devant les assises, le religieux reconnaît des agressions sexuelles sur «cinq autres enfants en Roumanie et deux ou trois en France», qui n’ont pas tous été identifiés. Il doit par ailleurs comparaître le 2 juin devant le tribunal correctionnel du Puy-en-Velay (Haute-Loire) pour l’agression sexuelle d’une mineure en 1991. S’agissant du viol sur la trentenaire, décédée au cours de la procédure, il a nié, leur relation se bornant, selon lui, à des attouchements consentis.
Comparaissant libre sous contrôle judiciaire, il vit toujours au sein de la communauté de Saint-Jean à Rimont (Saône-et-Loire). Cette congrégation, plusieurs fois mise en cause pour ses dérives sectaires, compte actuellement environ 500 frères. Le verdict est attendu vendredi, mais pourrait intervenir dès ce jeudi.
Je suis outrée de cela
Tu as bien fais de mettre ce billet
Quand tout cela sera t il puni??
Mon dieu je pense à ces enfants
Je suis très dure dans ce que je vais écrire
Mais………………….
Je suis pour la peine de mort
La France part à la dérive
Redressons le bateau avant qu il ne coule
Quoiqu’il coule déjà
Bon weekend Francis avec amitié
Lundi en vacancesssssssssssssssssssssssss bon tu vas me dire qu’à la retraire nous y sommes toujours
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Bonjour Dany
Moi aussi je pense à ces enfants :Ils vont être traumatisés à vie , auront beaucoup de mal pour vivre une vie normale , se marier , avoir des relations sexuelles , des enfants etc…..
C’est le monde entier qui part à la dérive ….et pratiquement personne ne réagit …
Bonne vacances
Amitié
F.
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Il y a eu tellement de scandales … je pense qu’exiger l’abstinence et le célibat a fait des dérives monstrueuses chez les religieux … Il y en aurait peut-être eu mais pas une épidémie de dépravations
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Bonjour Rachel
Possible que ce que tu dis est proche de la vérité , mais tu oublies une chose : Ces prêtres et autres religieux ont choisi de le devenir en toute conscience de ce que cela leurs imposait !
Ceci dit , bien que je ne veuille plus entendre parler de religion car étant athée , je crois que si les curés avaient le droit de se marier ,çà réduirait ce genre d’horreur ….( je dis bien » réduirait » car ces actes pédophiles ne sont pas que le fait des religieux malheureusement..)
F.
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je sais cela .. c’est pour ça que je dis que ça aurait été un mal moins répandu .. c’est comme les couples qui se marient ou non mais se promettent fidélités .. il y a combien de couples qui ont des relations extraconjugales et parmi eux ce sont des pédos ..
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