Le silence de la nuit
La nuit patine sur le boulevard
Où cascade la pluie en rafales ;
Je ressens une drôle de fringale
Qui ne résorbe pas mon cafard.
Je baguenaude dans la bourrasque,
Toujours en quête d’un absolu ;
Vais-je distinguer mon inconnue,
Quand elle enlèvera son masque ?
À trop brouiller mes souvenirs,
Je pourrais m’en mordre les doigts ;
La trouverai-je une autre fois,
Celle qui sera dans mon avenir ?
Le nuit m’étouffe de son silence,
Faut-il donc rêver d’un amour
Qui me jouerait de mauvais tours,
Comme au temps de mon adolescence ?
Bernard Lanza
bel écrit, mais quel pessimisme !! rien ne sert de ressasser le passé, il faut aller vers l’avenir. bonne soirée. amitiés
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Oui » Ajax »,on peut voir çà comme pessimiste ,mais le présent n’est il pas l’avenir du passé dont il est issu et l’avenir sera « fruit ,issu » du présent devenu passé ????
Ne dis pas que je suis com..pliqué ,je le sais lol
Merci pour ton commentaire à bientôt
F.
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